Titre : Le Pacte de la Nation

Dans une France tiraillée entre scandales politiques et crises économiques, Marine Le Pen vient de réaliser l'impensable. Grâce à ses ressources, elle démantèle un réseau tentaculaire dirigé par un personnage inattendu : Daniel Cohn-Bendit. Derrière les discours et les apparences, Cohn-Bendit avait mis en place une organisation d'influence et de corruption profondément enracinée dans les sphères médiatiques et financières. Les révélations choquent la nation.

La chute de ce réseau déchaîne des forces invisibles. Cohn-Bendit, furieux, ne compte pas en rester là. Il contacte ses alliés au sein de la mafia européenne, bien décidés à effacer Le Pen de la carte politique une fois pour toutes. La menace d'un assassinat plane, dans l'ombre, prête à frapper.

Pendant ce temps, dans un luxueux penthouse parisien, Bernard Arnault, l'homme le plus riche de France, prend une pause entre deux parties de Dofus, son jeu en ligne favori. Les rumeurs de cette tentative d'assassinat contre Marine arrivent jusqu'à lui. En général, Arnault reste en retrait des conflits politiques, concentré sur ses affaires. Pourtant, cette fois, quelque chose résonne en lui. Peut-être est-ce le sentiment qu'il a trop longtemps fermé les yeux sur les dangers qui menacent la souveraineté de la France. Peut-être est-ce simplement l'adrénaline d'un bon combat qu'il retrouve dans ses aventures en ligne.

Contre toute attente, il prend une décision aussi soudaine qu'audacieuse : soutenir Marine Le Pen. Non pas par conviction idéologique, mais par pur patriotisme. Il sait qu'il a tout à perdre. Ses relations d'affaires, ses investissements à l'international, sa réputation parmi l'élite mondialisée... Pourtant, l'idée d'un assassinat orchestré par une mafia, et surtout que la France puisse plonger dans le chaos, réveille un sens profond du devoir.

Bernard Arnault décide de faire plus que simplement offrir un soutien verbal. Il débarque à un meeting de Marine Le Pen, sans prévenir, sous les yeux ébahis des journalistes et du public. Vêtu avec une élégance discrète, il monte sur scène, et avec un sourire assuré, il prend le micro :

"Je suis ici pour une raison simple : la France est notre bien commun. Peu importe nos divergences politiques, il est de notre devoir à tous de la protéger. À chaque meeting, je m'engage à offrir un million d'euros à une personne présente, au hasard. Ce n'est pas pour acheter des votes. C'est un acte de foi dans notre peuple, car si nous voulons nous en sortir, c'est ensemble."

Le public est sidéré. Et ce geste symbolique enflamme la presse. À chaque meeting de Marine, des centaines de milliers de personnes affluent, dans l'espoir de toucher cette manne tombée du ciel, mais surtout fascinées par ce partenariat improbable entre deux figures antagonistes.

Les menaces de la mafia se précisent, mais Bernard Arnault, avec ses moyens colossaux, finance secrètement un service de sécurité à la hauteur, protégeant Le Pen dans ses déplacements. Ensemble, ils deviennent une force imprévisible, capable de renverser la table de la politique française.

Chaque meeting se transforme en un événement national. Les discours passionnés de Marine sont ponctués par des éclats d'excitation lorsque le nom du nouvel heureux millionnaire est annoncé. La presse internationale ne sait plus quoi penser : entre le sensationnalisme de cette alliance improbable et le jeu de la mafia qui, en coulisses, prépare son attaque ultime.

Au sommet de la tension, un attentat est déjoué lors d'un meeting clé à Marseille. Grâce aux hommes d'Arnault et à une fuite dans les rangs mafieux, la tentative d'assassinat échoue, mais la menace reste omniprésente.

L'épilogue approche. Marine Le Pen, portée par ce soutien inattendu et par la ferveur populaire, s'apprête à franchir un cap historique : devenir présidente de la République française. Cohn-Bendit, lui, en exil forcé, médite sur sa déchéance. La mafia, affaiblie mais toujours présente, n'a pas dit son dernier mot.

Et Bernard Arnault, au sommet de sa tour d'ivoire, songe, entre deux parties de Dofus, à la fragilité du pouvoir et aux paris risqués qu'on fait au nom de la patrie.

Heureusement que c'est qu'un immigré

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