[ALERTE] la VILLE de NANTES va entamer des veut rendre les RUES moins " SEXISTES "
Ikawou
il y a un mois
D-Noodles-A
il y a un mois
Arbreenbois
il y a un mois
D-Noodles-A
il y a un mois
Cocasse venant de la capitale du viole
Source?
AlliBlackpill
il y a un mois
C'est une question intéressante qui touche à la sociologie urbaine et au genre dans l'espace public. Les rues, en tant qu'espaces physiques, ne sont évidemment pas sexistes en elles-mêmes. Cependant, leur aménagement, leur nomenclature et la manière dont elles sont perçues et utilisées peuvent révéler des inégalités de genre.
1. L'aménagement urbain et le genre
Certaines études montrent que les infrastructures urbaines sont souvent pensées sans prendre en compte les besoins spécifiques des femmes. Par exemple :
L'éclairage insuffisant de certaines rues ou quartiers peut rendre les déplacements nocturnes plus anxiogènes pour les femmes, qui sont plus exposées au harcèlement de rue.
L'absence de mobilier urbain adapté aux besoins des parents (souvent des mères) avec poussettes ou des personnes âgées peut rendre l'espace moins inclusif.
Les transports en commun peuvent être le théâtre de harcèlement, et leur conception (espaces exigus, manque de personnel, etc.) peut ne pas favoriser la sécurité.
2. Les noms de rues et la sous-représentation des femmes
Dans de nombreuses villes, la grande majorité des rues portent des noms d'hommes célèbres (scientifiques, écrivains, militaires, hommes politiques). Les femmes sont largement sous-représentées, ce qui reflète une invisibilisation historique de leur rôle dans la société. Des initiatives comme "Où sont les femmes ?" ont mis en lumière ce déséquilibre.
3. L'occupation de l'espace public
Des recherches en sociologie montrent que les hommes et les femmes n'occupent pas l'espace public de la même manière. Par exemple :
Les hommes ont tendance à occuper plus largement les bancs publics ou les places, tandis que les femmes évitent souvent certains lieux perçus comme dangereux.
Le harcèlement de rue reste un problème majeur qui restreint la liberté de mouvement des femmes.
4. Vers des rues plus inclusives
Certaines villes prennent des initiatives pour rendre l'espace urbain plus égalitaire, comme :
Mieux éclairer les rues et les arrêts de bus pour réduire le sentiment d'insécurité.
Renommer des rues en l'honneur de femmes influentes pour rééquilibrer la représentation.
Créer des espaces publics mieux conçus pour tous, avec des bancs, des aires de jeux adaptées, et des aménagements pensés pour une diversité d'usages.
Conclusion
Les rues ne sont pas sexistes en tant que telles, mais leur conception et leur usage peuvent refléter et perpétuer des inégalités de genre. Une réflexion sur l'aménagement urbain plus inclusif peut permettre de créer des espaces plus équitables et sécurisés pour toutes et tous.
AlliBlackpill
il y a un mois
C'est une question intéressante qui touche à la sociologie urbaine et au genre dans l'espace public. Les rues, en tant qu'espaces physiques, ne sont évidemment pas sexistes en elles-mêmes. Cependant, leur aménagement, leur nomenclature et la manière dont elles sont perçues et utilisées peuvent révéler des inégalités de genre.1. L'aménagement urbain et le genre
Certaines études montrent que les infrastructures urbaines sont souvent pensées sans prendre en compte les besoins spécifiques des femmes. Par exemple :L'éclairage insuffisant de certaines rues ou quartiers peut rendre les déplacements nocturnes plus anxiogènes pour les femmes, qui sont plus exposées au harcèlement de rue.
L'absence de mobilier urbain adapté aux besoins des parents (souvent des mères) avec poussettes ou des personnes âgées peut rendre l'espace moins inclusif.
Les transports en commun peuvent être le théâtre de harcèlement, et leur conception (espaces exigus, manque de personnel, etc.) peut ne pas favoriser la sécurité.
2. Les noms de rues et la sous-représentation des femmes
Dans de nombreuses villes, la grande majorité des rues portent des noms d'hommes célèbres (scientifiques, écrivains, militaires, hommes politiques). Les femmes sont largement sous-représentées, ce qui reflète une invisibilisation historique de leur rôle dans la société. Des initiatives comme "Où sont les femmes ?" ont mis en lumière ce déséquilibre.3. L'occupation de l'espace public
Des recherches en sociologie montrent que les hommes et les femmes n'occupent pas l'espace public de la même manière. Par exemple :Les hommes ont tendance à occuper plus largement les bancs publics ou les places, tandis que les femmes évitent souvent certains lieux perçus comme dangereux.
Le harcèlement de rue reste un problème majeur qui restreint la liberté de mouvement des femmes.
4. Vers des rues plus inclusives
Certaines villes prennent des initiatives pour rendre l'espace urbain plus égalitaire, comme :Mieux éclairer les rues et les arrêts de bus pour réduire le sentiment d'insécurité.
Renommer des rues en l'honneur de femmes influentes pour rééquilibrer la représentation.
Créer des espaces publics mieux conçus pour tous, avec des bancs, des aires de jeux adaptées, et des aménagements pensés pour une diversité d'usages.
Conclusion
Les rues ne sont pas sexistes en tant que telles, mais leur conception et leur usage peuvent refléter et perpétuer des inégalités de genre. Une réflexion sur l'aménagement urbain plus inclusif peut permettre de créer des espaces plus équitables et sécurisés pour toutes et tous.
résumé selon l'IA sexisme = transport public ou y a pas assez de places et rues mal éclairées , les hommes occuperaient plus les bancs publics que les femmes
AlliBlackpill
il y a un mois
nasko31
il y a un mois
chaperonrouge2
il y a un mois
AlliBlackpill
il y a un mois
eb2
il y a un mois
Silvomilie
il y a un mois
D'accord, en gros il vont donner des noms de femmes à des rues et poser quelques lampadaires.
Pas sur le parking du Quai Wilson à deux pas du "hangar à bananes" par contre, il ne faudrait pas que les délinquants qui défoncent les vitres des voitures soient embêtés, ce n'est que l'un des plus grands parkings du centre-ville
AlliBlackpill
il y a un mois
mais du coup ça ne serait pas justement de l'entretien de biens publics ? C'est quoi le rapport avec le sexisme ?
Bonne question ! Si on parle uniquement d'entretien des biens publics (éclairage, mobilier urbain, transports en commun), on pourrait penser qu'il s'agit d'un problème purement technique ou budgétaire, sans lien direct avec le sexisme. Mais le rapport avec le sexisme vient du fait que ces choix d'aménagement et d'entretien ont des impacts différenciés selon le genre, souvent au détriment des femmes.
1. L'aménagement et l'entretien influencent l'accès égalitaire à l'espace public
Quand une rue est mal éclairée, tout le monde peut en être affecté, mais les études montrent que les femmes ressentent plus d'insécurité que les hommes en raison du harcèlement de rue et du risque de violences. Donc, si les villes négligent l'éclairage des rues ou des arrêts de bus, cela crée une discrimination indirecte, car cela impacte davantage un groupe qu'un autre.
De la même manière, si une ville décide de privilégier les routes pour voitures plutôt que les trottoirs ou les pistes cyclables, cela peut pénaliser les personnes qui se déplacent à pied, en vélo ou en transports en commun parmi lesquelles on retrouve davantage de femmes, car elles utilisent ces moyens plus souvent que les hommes.
2. Un espace pensé selon des besoins masculins
Historiquement, l'urbanisme a souvent été pensé par et pour un mode de vie plutôt masculin, centré sur le trajet domicile-travail direct, alors que les femmes ont tendance à avoir des déplacements plus fragmentés (emmener les enfants à l'école, faire les courses, aller au travail, revenir). Si la ville est conçue principalement autour de la voiture et des trajets linéaires, cela complique les déplacements des femmes.
3. L'invisibilisation des femmes dans l'espace public
L'entretien des biens publics inclut aussi la signalétique et la toponymie (les noms des rues, places, bâtiments). Le fait que l'immense majorité des rues portent des noms d'hommes traduit une forme de biais historique où les contributions des femmes ont été moins reconnues. Ça ne change peut-être pas directement le quotidien, mais ça influence la manière dont on perçoit la place des femmes dans l'histoire et la société.
4. Les décisions d'entretien sont aussi influencées par des biais
L'entretien des infrastructures n'est pas neutre : il dépend des priorités politiques et budgétaires. Par exemple :
Une ville qui choisit d'investir davantage dans la sécurité des parkings que dans l'éclairage des trottoirs met involontairement en avant les besoins des automobilistes (plus souvent des hommes) au détriment des piétons (plus souvent des femmes).
Une municipalité qui accorde plus de budgets à des équipements sportifs typiquement masculins (stades de foot, skateparks) plutôt qu'à des espaces mixtes comme des parcs ou des aires de jeux pour enfants favorise indirectement l'occupation masculine de l'espace public.
Conclusion
Le lien entre le sexisme et l'entretien des biens publics vient du fait que les choix d'aménagement, d'entretien et d'investissement ne sont pas neutres. Ils peuvent favoriser certains usages et certaines catégories de population au détriment d'autres. Ce n'est pas forcément un sexisme volontaire ou explicite, mais cela reflète des biais systémiques qui existent dans l'urbanisme et l'organisation de l'espace public.
AlliBlackpill
il y a un mois
CobideArdeche
il y a un mois
Sûrement à cause de ça que les viols explosent a Nantes
juanpuant
il y a un mois
OdolamX280
il y a un mois
C'est une question intéressante qui touche à la sociologie urbaine et au genre dans l'espace public. Les rues, en tant qu'espaces physiques, ne sont évidemment pas sexistes en elles-mêmes. Cependant, leur aménagement, leur nomenclature et la manière dont elles sont perçues et utilisées peuvent révéler des inégalités de genre.1. L'aménagement urbain et le genre
Certaines études montrent que les infrastructures urbaines sont souvent pensées sans prendre en compte les besoins spécifiques des femmes. Par exemple :L'éclairage insuffisant de certaines rues ou quartiers peut rendre les déplacements nocturnes plus anxiogènes pour les femmes, qui sont plus exposées au harcèlement de rue.
L'absence de mobilier urbain adapté aux besoins des parents (souvent des mères) avec poussettes ou des personnes âgées peut rendre l'espace moins inclusif.
Les transports en commun peuvent être le théâtre de harcèlement, et leur conception (espaces exigus, manque de personnel, etc.) peut ne pas favoriser la sécurité.
2. Les noms de rues et la sous-représentation des femmes
Dans de nombreuses villes, la grande majorité des rues portent des noms d'hommes célèbres (scientifiques, écrivains, militaires, hommes politiques). Les femmes sont largement sous-représentées, ce qui reflète une invisibilisation historique de leur rôle dans la société. Des initiatives comme "Où sont les femmes ?" ont mis en lumière ce déséquilibre.3. L'occupation de l'espace public
Des recherches en sociologie montrent que les hommes et les femmes n'occupent pas l'espace public de la même manière. Par exemple :Les hommes ont tendance à occuper plus largement les bancs publics ou les places, tandis que les femmes évitent souvent certains lieux perçus comme dangereux.
Le harcèlement de rue reste un problème majeur qui restreint la liberté de mouvement des femmes.
4. Vers des rues plus inclusives
Certaines villes prennent des initiatives pour rendre l'espace urbain plus égalitaire, comme :Mieux éclairer les rues et les arrêts de bus pour réduire le sentiment d'insécurité.
Renommer des rues en l'honneur de femmes influentes pour rééquilibrer la représentation.
Créer des espaces publics mieux conçus pour tous, avec des bancs, des aires de jeux adaptées, et des aménagements pensés pour une diversité d'usages.
Conclusion
Les rues ne sont pas sexistes en tant que telles, mais leur conception et leur usage peuvent refléter et perpétuer des inégalités de genre. Une réflexion sur l'aménagement urbain plus inclusif peut permettre de créer des espaces plus équitables et sécurisés pour toutes et tous.
La conclusion de ton pavé de merde c'est qu'il y a un problème d'insécurité espèce d'enculé
AlliBlackpill
il y a un mois
comment tu conçois une rue pour des trajets non linéaires ? c'est quoi la diff entre une rue conçu pour un trajet linéaire et une pour un trajet non linéaire concrètement ?
Bonne question ! Une rue en tant que telle n'est pas "linéaire" ou "non linéaire" en soi, mais c'est l'organisation de l'espace urbain dans son ensemble qui peut favoriser un type de déplacement plutôt qu'un autre.
1. Les rues et les trajets linéaires (modèle traditionnel)
Historiquement, l'urbanisme a souvent été conçu selon un modèle "zoning", où les différentes fonctions de la ville sont séparées :
Zones résidentielles
Zones commerciales
Zones industrielles
Zones de bureaux
Ce modèle favorise un trajet linéaire typique :
🏡 Maison -->🚗 Route principale --> 🏢 Travail --> 🚗 Retour maison
Ce type d'organisation fonctionne bien pour quelqu'un qui fait un seul trajet aller-retour par jour, sans arrêts intermédiaires, souvent en voiture.
2. Les trajets non linéaires et les obstacles du modèle traditionnel
Les femmes (mais aussi de nombreuses autres personnes, comme les travailleurs précaires, les étudiants, ou les personnes âgées) ont souvent des déplacements plus fragmentés, où plusieurs destinations sont intégrées dans une même sortie : 👩👧 Déposer un enfant à l'école --> 🏢 Aller au travail --> 🏪 Faire des courses --> 📌 Passer chez un proche --> 🏡 Retour maison
Dans une ville pensée pour des trajets linéaires, ce type de parcours peut devenir un casse-tête :
Transport en commun inadapté : Si les lignes de bus ou métro sont conçues uniquement pour relier les banlieues aux centres d'affaires, il peut être difficile d'aller d'un quartier résidentiel à une école ou un supermarché sans repasser par le centre-ville.
Trottoirs et infrastructures piétonnes limitées : Si tout est conçu pour la voiture, marcher avec une poussette ou faire du vélo entre différents arrêts devient compliqué.
Manque de commerces de proximité : Si les supermarchés sont en périphérie et pas accessibles à pied, cela oblige à prendre la voiture, ce qui complexifie les déplacements multiples.
3. Comment concevoir des rues et des quartiers adaptés aux trajets non linéaires ?
L'idée est de faciliter les déplacements interconnectés en intégrant plusieurs fonctions dans les mêmes espaces. Cela se traduit par :
✅ Un urbanisme mixte : Au lieu de séparer strictement zones résidentielles, commerciales et scolaires, on mélange les usages pour éviter des déplacements inutiles.
✅ Des transports en commun pensés pour les déplacements courts et transversaux : Plus de bus en boucle dans les quartiers, moins de dépendance aux trajets radiaux (banlieue-centre-ville).
✅ Des trottoirs et pistes cyclables adaptés : Pour que marcher ou faire du vélo soit une option viable entre école, magasin et travail.
✅ Des commerces et services de proximité : Pour éviter d'avoir à faire 10 km en voiture juste pour acheter du pain ou aller à la pharmacie.
✅ Des espaces de pause et de services sur le trajet : Bancs, toilettes publiques, espaces verts où l'on peut s'arrêter avec des enfants ou entre deux déplacements.
Exemple de différence entre une rue pensée pour un trajet linéaire et une pour un trajet non linéaire :
Rue linéaire (classique) :
Large route principale avec peu d'intersections
Peu de commerces accessibles à pied
Peu de trottoirs larges, priorité aux voitures
Peu ou pas de transports en commun en dehors des grands axes
Rue adaptée aux trajets non linéaires :
Mix de logements, commerces et services sur le même axe
Trottoirs larges, passages piétons fréquents, bancs
Pistes cyclables séparées des voitures
Bus et trams avec des arrêts rapprochés, pas seulement des lignes "banlieue --> centre-ville"
Conclusion
Ce n'est pas la rue en elle-même qui change radicalement, mais l'organisation de la ville et la façon dont elle est pensée pour répondre aux différents besoins de mobilité. Une ville adaptée aux trajets non linéaires est une ville où il est facile de passer d'un point à un autre sans contrainte excessive, que ce soit à pied, en transport en commun ou à vélo.
TheLelouch5
il y a un mois
Casseusedu18-25
il y a un mois
JoLaDebrouille
il y a un mois
kheyserasera
il y a un mois
GusFric
il y a un mois
L'OP qui decouvre que les choix urbains ont une conséquence sur la manière dont la rue est habitée.
Le mec n'a jamais joué à des RPG de sa vie, ou il s'est jamais promené à Paris.
AlliBlackpill
il y a un mois
L'op qui sais pas écrire
my bad je peux pas modif j'avais un autre titre et je l'ai changé au dernier moment et j'ai oublié de supprimer des mots
NatsukiTheQueen
il y a un mois
AdminRSA18
il y a un mois
Ce n'est pas une maladie mentale, épisode 49171746819261574819109476
Enfin bon les êtres inférieurs ont voté pour ça, sélection
EnferSociaIiste
il y a un mois
Troglonote6
il y a un mois
Et concrètement ça se met en place comment ?
Il faut interdire les montées
AlliBlackpill
il y a un mois
https://x.com/frantz_2_/status/1886037842389815520
ayooo ce khey qui se fait allumer car il a dit " y en a vous avez aucun problèmes dans vos vies "
Tony184
il y a un mois
Faut savoir, faut réduire les éclairages pour l'écosystème ou l'augmenter pour les femmes ?
Surtout jamais pointer du doigt la cause
CyberKebab
il y a un mois
Megukuna00
il y a un mois
Enfin bon la société matriarcale occidentale quoi.
AdminRSA18
il y a un mois
mais du coup ça ne serait pas justement de l'entretien de biens publics ? C'est quoi le rapport avec le sexisme ?
"Ouin ouin ci li patriarka"
Vengefull
il y a un mois
QuadrupleFoutre
il y a un mois
AlliBlackpill
il y a un mois