Sébastien Delogu doit être jugé pour « violences aggravées » et « refus de se soumettre aux opérations de relevés signalétiques » lors d'une altercation devant le lycée Saint-Exupéry de sa circonscription le 10 mars 202320,21. Les syndicats du lycée ont pris sa défense après une communication du parquet sur une enquête le soupçonnant d'avoir causé « une incapacité totale de travail (ITT) n'excédant pas huit jours » par des coups de pieds dans les chevilles du proviseur adjoint et d'une conseillère principale d'éducation du lycée22 devant le portail lors de la contestation de la réforme des retraites22,23. Il dément par un communiqué le jour-même. Selon un autre communiqué, des syndicats CGT, FO, Snes et SUD, il a été « pris à partie physiquement par un membre de la direction » alors qu'il s'interposait24 après qu'un cadre du lycée et un policier aient « ceinturé et mis au sol un élève » avant de le relâcher et d'accuser les enseignants présents d'être « responsables » du blocage. Selon lui, il rencontrait initialement des salariés d'une entreprise voisine21, ensuite alertés par l'incident devant le lycée21, où il a été « attrapé par le bras » et bousculé avec « une benne à ordure »21. L'audience du 13 décembre 2023 est renvoyée au 25 juin 202422 puis à janvier 2025 pour éviter un jugement pendant la campagne des élections législatives 20.