[ALERTE] Leur fils vote Bardella, leur réaction va vous étonner
lprktskl
il y a 9 mois
Fake j'espère.
padopad
il y a 9 mois
Ironique on penserait que le but des profs c'est d'apprendre à leurs enfants de penser par eux-mêmes
Mais non c'est plutôt les embrigader dans leur délire gauchiste
Après c'est des idéalistes, ils en sont encore à la lutte des classe, aux pin's "touche pas à mon pote" + propagande france inter / libération
Comme dirait Goebels "L'avenir appartient à celui qui contrôle la jeunesse"
c'est un peu plus subtil que ça, meme si l'ironie et l'embrigadement idéologique est vrai jusqu'aux notions d'influences du genre: " mes parents me disent que je suis libre de faire ce que je veux..."
les parents se heurtent à leur propre liberté de merde.
Maybourne05
il y a 9 mois
Ce genre de gauchistes en phase terminal qui préféraient que leur gosse soit un délinquant plutôt que de voter RN
Le gars a du s'en prendre plein la gueule dans le 93 avec des parents profs
padopad
il y a 9 mois
La grande tolérance des gauchistes : appeler libération parce que leur fils ne vote pas comme eux
le polit buro obligé d'appeler le polit buro pour se rassurer de son égarement.
CzernyMost
il y a 9 mois
Ce genre de gauchistes en phase terminal qui préféraient que leur gosse soit un délinquant plutôt que de voter RN
Le gars a du s'en prendre plein la gueule dans le 93 avec des parents profs
lprktskl
il y a 9 mois
Et encore il est poli le gamin "Je n'ai pas à expliquer mon vote" il aurait pu lâcher la tirade qu'il pense et ses parents seraient à l'hosto ils auraient fait un malaise.
DucdeGuyenneIII
il y a 9 mois
Et encore il est poli le gamin "Je n'ai pas à expliquer mon vote" il aurait pu lâcher la tirade qu'il pense et ses parents seraient à l'hosto.
J'ai l'impression que c'est le genre de gamin normal dans une famille de kassos, force à lui
lprktskl
il y a 9 mois
[16:39:32] <DucdeGuyenneIII>
J'ai l'impression que c'est le genre de gamin normal dans une famille de kassos, force à lui
Ses parents à deux doigts de l'envoyer à l'hôpital psychiatrique.
Forumeur01
il y a 9 mois
Ces gens sont sincèrement malades mentalement.
CzernyMost
il y a 9 mois
c'est aussi pour ça que les adultes et parents seront incapables de comprendre le basculement.
Là, c'est aussi le cliché des bobos profs de français qui ont encore leur pin's "La jeunesse emmerde le FN".
Ils admettent quand même que voter à gauche est un vote de privilégiés (la gauche c'est censé être la lutte des classes) et ils taclent les "gamins pauvres qui se font chier à la campagne".
Vivement que leur fils gagne sa vie, il pourra se barrer de chez ces tarax
padopad
il y a 9 mois
Là, c'est aussi le cliché des bobos profs de français qui ont encore leur pin's "La jeunesse emmerde le FN".
Ils admettent quand même que voter à gauche est un vote de privilégiés (la gauche c'est censé être la lutte des classes) et ils taclent les "gamins pauvres qui se font chier à la campagne".Vivement que leur fils gagne sa vie, il pourra se barrer de chez ces tarax
oui enfin seulement il se heurtera à leur supposée liberté d'inquisiteur par la suite.
fulesmodox2
il y a 9 mois
les golems originels, de véritables philistins abreuvés aux merdias, bêtes et consuméristes, trop fatigués pour pouvoir réfléchir, mais assez pour savoir qu'il faut écouter ce qu'on leur dit. Des animaux.
CzernyMost
il y a 9 mois
oui enfin seulement il se heurtera à leur supposée liberté d'inquisiteur par la suite.
lprktskl
il y a 9 mois
Dans une petite salle de leur maison, où chaque coin respire des souvenirs de bonheur passé, Marie et Jean Dupont s'assoient l'un à côté de l'autre, leurs mains jointes dans une étreinte silencieuse. Leurs visages sont marqués par l'inquiétude et la fatigue, des traits autrefois lumineux maintenant assombris par une douleur incessante. Aujourd'hui, ils ont décidé de parler. De partager une vérité amère qu'ils cachent depuis trop longtemps.
Marie commence, sa voix tremblante mais déterminée : "Notre fils, Thomas, est dépendant à l'héroïne." Un silence lourd s'installe, comme si ces mots avaient le pouvoir de suspendre le temps. "C'est difficile à admettre," continue-t-elle, les larmes coulant silencieusement sur ses joues, "mais nous ne pouvons plus rester silencieux."
Jean prend la relève, sa voix grave et remplie de tristesse. "Thomas était un garçon plein de vie, passionné par ses études et le sport. Il avait des rêves, des ambitions. Mais tout a changé il y a trois ans. Nous avons remarqué qu'il devenait distant, qu'il s'isolait de plus en plus. Puis, un jour, nous avons trouvé des seringues dans sa chambre. Ce fut un choc inimaginable."
Les mains de Marie se crispent sur celles de son mari. "Nous avons tout essayé," dit-elle, sa voix se brisant. "Des thérapies, des centres de désintoxication, mais rien ne semble fonctionner. L'héroïne a une emprise sur lui que nous ne pouvons pas briser."
Jean hoche la tête, les yeux fixés sur un point invisible. "C'est comme si nous avions perdu notre fils," murmure-t-il. "L'homme que nous voyons maintenant n'est plus le Thomas que nous avons élevé. Il est prisonnier d'une drogue qui détruit tout sur son passage."
Marie se tourne vers la caméra, ses yeux suppliants. "Nous voulons dire à tous les parents qui passent par la même chose : vous n'êtes pas seuls. Il faut en parler, il faut demander de l'aide. Nous espérons que notre histoire pourra peut-être aider quelqu'un, quelque part."
Jean conclut, sa voix pleine de désespoir mais aussi d'une résilience silencieuse : "Nous ne savons pas ce que l'avenir nous réserve. Chaque jour est une bataille. Mais nous aimons notre fils et nous nous battrons pour lui, jusqu'à notre dernier souffle."
Le témoignage des Dupont est un rappel poignant des ravages de la dépendance. Leur courage à exposer leur douleur au grand jour est un appel à la compréhension, à l'empathie, et surtout, à l'action pour tous ceux qui sont confrontés à cette terrible réalité.
Cousbl
il y a 9 mois
Récidiver putain le vocabulaire criminel
FoulcherXXIX
il y a 9 mois
Jolie fanfic
Je sais que ça existe des golems un peu comme ça mais là c'est trop
CzernyMost
il y a 9 mois
Dans une petite salle de leur maison, où chaque coin respire des souvenirs de bonheur passé, Marie et Jean Dupont s'assoient l'un à côté de l'autre, leurs mains jointes dans une étreinte silencieuse. Leurs visages sont marqués par l'inquiétude et la fatigue, des traits autrefois lumineux maintenant assombris par une douleur incessante. Aujourd'hui, ils ont décidé de parler. De partager une vérité amère qu'ils cachent depuis trop longtemps.Marie commence, sa voix tremblante mais déterminée : "Notre fils, Thomas, est dépendant à l'héroïne." Un silence lourd s'installe, comme si ces mots avaient le pouvoir de suspendre le temps. "C'est difficile à admettre," continue-t-elle, les larmes coulant silencieusement sur ses joues, "mais nous ne pouvons plus rester silencieux."
Jean prend la relève, sa voix grave et remplie de tristesse. "Thomas était un garçon plein de vie, passionné par ses études et le sport. Il avait des rêves, des ambitions. Mais tout a changé il y a trois ans. Nous avons remarqué qu'il devenait distant, qu'il s'isolait de plus en plus. Puis, un jour, nous avons trouvé des seringues dans sa chambre. Ce fut un choc inimaginable."
Les mains de Marie se crispent sur celles de son mari. "Nous avons tout essayé," dit-elle, sa voix se brisant. "Des thérapies, des centres de désintoxication, mais rien ne semble fonctionner. L'héroïne a une emprise sur lui que nous ne pouvons pas briser."
Jean hoche la tête, les yeux fixés sur un point invisible. "C'est comme si nous avions perdu notre fils," murmure-t-il. "L'homme que nous voyons maintenant n'est plus le Thomas que nous avons élevé. Il est prisonnier d'une drogue qui détruit tout sur son passage."
Marie se tourne vers la caméra, ses yeux suppliants. "Nous voulons dire à tous les parents qui passent par la même chose : vous n'êtes pas seuls. Il faut en parler, il faut demander de l'aide. Nous espérons que notre histoire pourra peut-être aider quelqu'un, quelque part."
Jean conclut, sa voix pleine de désespoir mais aussi d'une résilience silencieuse : "Nous ne savons pas ce que l'avenir nous réserve. Chaque jour est une bataille. Mais nous aimons notre fils et nous nous battrons pour lui, jusqu'à notre dernier souffle."
Le témoignage des Dupont est un rappel poignant des ravages de la dépendance. Leur courage à exposer leur douleur au grand jour est un appel à la compréhension, à l'empathie, et surtout, à l'action pour tous ceux qui sont confrontés à cette terrible réalité.
lfimpuissant
il y a 9 mois
je me demande pourquoi ils vont pas voir un psy pour eux au lieu de vouloir envoyer plutot leur gamin
toujours la faute des autres, si ces autres ne sont pas comme eux
apres ca pronent la tolerance
juste du bon gros virtue signaling
tu comprends mieux l education dans le 93, avec des profs comme eux, qui vont dans le sens de futur delinquant
ils auraient balancé samuel paty
d'ailleurs, à l epoque, un prof de la meme ecole de ce dernier etait pret à dire que c etait un fach*, jusqu à qu'il decouvre qu'il s est fait decapiter et là, magiquement, ca l'ouvre plus. Ah ben ouai, le virtuel signaling aurait été trop evident
vahid_dit
il y a 9 mois
En même temps, y a rien de pire que les profs dans une famille. Ils savent toujours mieux que tout le monde, et sont les premiers donneurs de leçon, car ils sont plus cultivé que toi, et ton avis est toujours stupide.
Je le plains
Holodomarre
il y a 9 mois
C'est pourtant simple à comprendre mais les boomers nourris à la télé depuis des dizaines d'années galèrent encore à comprendre le vote RN
CTFHero
il y a 9 mois
Terrible
3BodyBlem
il y a 9 mois
Je suis persuadé que pléthore de ces articles sont des fakes imaginés par des pigistes parisiens
J'ai du mal à croire qu'entre deux Sauternes au café de Flore, ils trouvent les moyens et le temps de rentrer en contact avec de tels zinzins
C'est comme avec les news Google et ses innombrables articles improbables qui feraient rougir les pires topics sur Doctissimo (Quoique nan, Doctissimo c'est le fond des abysses).
Du style "Ma mère m'a incité à tromper mon mari", "En trouple avec le petit copain de ma nièce" ou bien "Enceinte d'un pervers narcissique, dois-je me mettre un airpod dans l'utérus diffusant des interviews de Caroline Fourest pour déconstruire mon fœtus ?"
Nimuleu
il y a 9 mois
eux qui arrêtent pas de parler de tondus et de libération, à chaque fois c'est eux les plus grosses balances et traîtres
des déchets
lfimpuissant
il y a 9 mois
clair, la gauche a bien changé, c est delation, balance et menace de violence à gogo
CzernyMost
il y a 9 mois
Ca me rappelle un topic avec une prof qui se plaignait sur twitter que son fils trainait avec des musulmans au lycée et qu'il se radicalisait, mais qui rageait quand on lui disait les termes et qui a fini par supprimer ses postsEdit :
1) Elle crache sur les "FACHO"
Golem :2) Son fils fréquente des comme vous et moi et ça tourne mal
Ayaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
IlllIlIllIII
il y a 9 mois
IlllIlIllIII
il y a 9 mois
Ayaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
Un classique de la sélection naturlich
Xiaomied_--
il y a 9 mois
C'est un article du gorafi les golems
CzernyMost
il y a 9 mois
Un classique de la sélection naturlich
From "tous des fachos" to "lycée mal famé"
L'hypocrisie des gauchos
GayPasLu
il y a 9 mois
Quelqu'un a l'article complet ?
CzernyMost
il y a 9 mois
Quelqu'un a l'article complet ?
Page 9 ! Un vrai régal
17Caca-AKB48
il y a 9 mois
Ca me rappelle un topic avec une prof qui se plaignait sur twitter que son fils trainait avec des musulmans au lycée et qu'il se radicalisait, mais qui rageait quand on lui disait les termes et qui a fini par supprimer ses postsEdit :
1) Elle crache sur les "FACHO"
Golem :2) Son fils fréquente des comme vous et moi et ça tourne mal
DucdeGuyenneIII
il y a 9 mois