Et ça coûte 150 milliards en aide sociale à côté de ça, une augmentation de 300 % de la délinquance, et la fin de la France en tant que nation.

ça n'empêchera pas ce parti d'aller au Bundestag et de s'unir aux autres partis pour s'opposer dès que nécessaire à tes idoles nazies, j'en ai bien peur

et la discrimination, souvent raciale ou issu des origines est malheureusement bien marquée en France et c'est inquétant. Bien que le RN propose des choix pour réduire l'insécurité, bah malheureusement, certains idées sont contre productive, malgré la présence policière, car les mesures ultra repressives contre un groupe n'est pas une solution, et cela renforce l'insécurité, et c'est un cercle vicieux.

J'ai utilisé chatgpt pour faire un cercle vicieux sur le RN et voici le résultat : Discours stigmatisant et polarisation sociale

Les prises de position du RN sur l'immigration reposent souvent sur un discours polarisant qui stigmatise les immigrés et présente ces derniers comme une menace pour l'ordre public. En mettant en avant des arguments simplistes et en généralisant sur l'ensemble des populations immigrées, ce discours alimente les peurs et les ressentiments au sein de la population. Cette rhétorique contribue à la formation d'un climat de suspicion généralisé, où certains citoyens se sentent vulnérables et isolés. Ce sentiment de vulnérabilité est exploité politiquement, renforçant ainsi le soutien aux politiques restrictives.

Renforcement des politiques répressives

Face à ce climat de peur, le RN prône le renforcement des mesures sécuritaires. Cela se traduit par une augmentation des contrôles, des expulsions et une surveillance accrue des populations immigrées. Ces politiques, en apparaissant comme des solutions immédiates pour lutter contre l'insécurité, viennent cependant créer une ambiance de répression qui peut, à long terme, saper la cohésion sociale. La stigmatisation des immigrés renforce l'isolement de certains quartiers ou communautés, créant des zones de tension où le dialogue social se trouve fortement compromis.

Effets pervers sur la cohésion sociale

La mise en œuvre de politiques répressives peut engendrer un effet de rejet et de marginalisation. Lorsque des segments de la population se sentent ciblés et exclus, ils peuvent développer un sentiment de défiance envers les institutions de l'État. Ce phénomène contribue à l'émergence de comportements déviants et à la formation de réseaux de solidarité en marge du système officiel. Au lieu d'être intégrées, ces populations se retrouvent en situation de précarité, ce qui peut engendrer des tensions sociales accrues et, paradoxalement, alimenter les situations d'insécurité que les politiques répressives prétendent éradiquer.

Cycle de l'insécurité et de la répression

Le résultat de ce processus est un cercle vicieux : le discours alarmiste alimente des politiques répressives, qui à leur tour accentuent la marginalisation et les tensions sociales. L'augmentation des tensions se traduit par une hausse réelle des incidents de délinquance et de violences dans certains quartiers. Ces incidents sont ensuite utilisés par le discours sécuritaire pour justifier de nouvelles mesures restrictives, bouclant ainsi le cycle. Plus l'État adopte une politique d'exclusion et de répression, plus le sentiment d'insécurité se propage, créant un environnement propice à la radicalisation et à l'émergence d'un climat de défiance généralisée.

Impact économique et social de l'insécurité accrue

Au-delà des répercussions sur la cohésion sociale, ce cercle vicieux a également des effets négatifs sur l'économie. L'insécurité, qu'elle soit réelle ou perçue, freine l'investissement, réduit l'attractivité de certains territoires et nuit à l'activité économique. Les entreprises hésitent à s'implanter dans des zones perçues comme instables, ce qui conduit à une diminution des opportunités d'emploi pour l'ensemble des citoyens. Paradoxalement, c'est précisément dans ces contextes de tension que se trouve le socle des arguments en faveur d'une approche plus inclusive et intégratrice, qui reconnaît la valeur ajoutée des immigrés pour la vitalité économique du pays.

Ce n'est pas la continuité de la RDA, car Die Linke ne montre aucune escalade à un régime autoritaire, bien que ce soit un parti disant populiste. Ces idées social-démocratiques, qu'on retrouve chez LFI, peut potentiellement passer à une nouvelle forme de démocratie inspiré de la Suisse.

" Die Linke procède au départ d'un accord de non-concurrence entre le PDS, successeur du Parti socialiste unifié d'Allemagne de l'ex-RDA et la WASG, scission du SPD, en vue des élections fédérales allemandes de 2005. "

https://fr.wikipedia.org/wiki/Die_Linke

C'est bien issu de la fusion du partie de la rda et du partie de gauche de la RFA en 2005

LFI c'est full science po + math sup