Américanisation avant : Johnny Hallyday, Eddy Mitchell
20 messages
Mise à jour: il y a 5 mois
BlackdeProvince
il y a 5 mois
Johnny c'est déjà l américanisation avec le rock
John-D0e
il y a 5 mois
Les deux Jean-Philippe Smet et Claude Moine qui ont américanisé leur nom le lemgo
malchance90
il y a 5 mois
Bah ça en dit surtout long sur la décadence culturelle américaine plus que française
L'américanisation se fait au niveau de la culture américaine
Amérique dont tu parles = Elvis Presley, Little Richard, Jerry Lee Lewis (vague rock'n roll)
Amérique aujourd'hui = x rappeur qui fait l'objet de la promotion de l'industrie selon l'agenda qu'on doit poussé
Forcément ce qui ressort en France c'est pas génial, mais les goûts et les couleurs.
PetitMarcel
il y a 5 mois
Olivier Lesgougues Alias Mac lesggy
Ragout2Golems
il y a 5 mois
Je ne suis pas sûr qu'il y ait une continuité entre les américanisés d'avant et de nos jours. Les premiers avaient un talent artistique, ils étaient simplement obsédés par les us et coutumes de l'autre côté de l'Atlantique. Leurs chansons avaient une certaine profondeur.
Maintenant, vulgarité extrême, borborygmes, stupidité portée au pinacle, refus de tout ce qui sort du triptyque ego/matérialisme/sexe...
Ragout2Golems
il y a 5 mois
Bah ça en dit surtout long sur la décadence culturelle américaine plus que françaiseL'américanisation se fait au niveau de la culture américaine
Amérique dont tu parles = Elvis Presley, Little Richard, Jerry Lee Lewis (vague rock'n roll)
Amérique aujourd'hui = x rappeur qui fait l'objet de la promotion de l'industrie selon l'agenda qu'on doit poussé
Forcément ce qui ressort en France c'est pas génial, mais les goûts et les couleurs.
Ragout2Golems
il y a 5 mois
C'est évidemment vrai. J'ai préféré ne pas en parler pour ne pas être 410 en 3 minutes, mais c'est l'arbre qui cache la forêt
Toutefois, cette africanisation va de pair avec une américanisation : les rappeurs dégénérés adulés par les quoicoubix prennent bien plus pour modèle les rappeurs afro-américains aliénés par le capitalisme que leurs ancêtres congolais ou sénégalais qui avaient un mode de vie bien plus simple
Marcasse
il y a 5 mois
T'écoutes du Eddy Mitchell ? Pour son talent ou pour sa voix d'exception ?
Ragout2Golems
il y a 5 mois
malchance90
il y a 5 mois
Ce n'est pas vrai, si on parle du Rock'n roll c'est justement la conciliation du meilleur de la musique populaire de l'Amérique de la campagne (country) et afro américaine. C'est juste que la culture gangsta rap (et surtout les industriels) a ruiné la communauté afro américaine de ses talents.
Fats domino, little richard, chuck berry etc... Ils ont tous influencé le rock et c'est celui-ci qui a fait rayonné l'américanisation, pas seulement eux bien sûr, d'autres comme Elvis.
Il y aussi eu Mikael Jackson plus tard avec la pop. Non vraiment la rupture c'est le gangsta rap dans les années 90
Eulkorbak
il y a 5 mois
Koba la D bordel avec sa voix de chiotte et son BAT7
face à lui EUL DJO avec eus n'harley davidson et s'grosse voix
malchance90
il y a 5 mois
Le vrai problème c'est que l'industrie de la musique est complètement contrôlée pour faire du chiffre, on ne scout pas pour des talents, ont créé des "stars" dans des laboratoires marketings qui visent des démographies et font du bourrage de crâne pour vendre leurs merdes
Là où avant les artistes disposaient d'une liberté créative sans limite et devaient disposer d'un réel talent et travailler dur pour réussir à percer dans la musique
Aujourd'hui n'importe qui peut percer aux États-unis, il suffit qu'une équipe marketing de te créer une fausse réputation de gangster badass et simule quelques embrouilles avec d'autres rappeurs dans le circuit et c'est bon. Ou alors avoir une belle gueule ou un corps sexy
C'était plus compliqué de vendre de l'image dans les années 50, on vendait plus le son que l'inverse, donc fallait aussi faire avec de bons artistes avec de bonnes cordes vocales et des belles paroles
Ragout2Golems
il y a 5 mois