1. Effectifs militaires
Russie : Environ 1 million de militaires actifs, avec une réserve mobilisable de plus de 2 millions de personnes.
France : Environ 200 000 militaires actifs, avec une réserve mobilisable d'environ 3,5 0000 personnes.
2. Chars de combat
Russie : Environ 12 000 chars (principalement des T-72, T-80 et T-90), avec une capacité de production élevée en temps de guerre.
France : Environ 222 chars Leclerc en service actif. Le parc de chars est jugé trop réduit face aux capacités russes.
3. Artillerie
Russie : Plus de 6 500 pièces d'artillerie et environ 4 500 lance-roquettes multiples. La Russie dispose également de plusieurs milliers de mortiers, d'armes lourdes et de systèmes d'artillerie mobiles.
France : Environ 120 canons Caesar et quelques dizaines de lance-roquettes. La France a une capacité d'artillerie bien inférieure à celle de la Russie.
4. Missiles balistiques et tactiques
Russie : La Russie possède des milliers de missiles balistiques intercontinentaux (ICBM) et de missiles tactiques (Iskander), avec une capacité de frappe à longue portée significative.
France : La France dispose de missiles balistiques lancés depuis ses sous-marins nucléaires (M51) et des missiles de croisière Scalp. Cependant, la capacité en nombre est bien inférieure à celle de la Russie.
5. Armes nucléaires
Russie : Environ 6 000 ogives nucléaires, incluant des ogives stratégiques et tactiques, ce qui en fait la première puissance nucléaire mondiale en termes de quantité.
France : Environ 290 ogives nucléaires, principalement portées par des sous-marins nucléaires et des missiles aéroportés. Bien que moins nombreuses, elles constituent une force de dissuasion importante.
6. Production militaire mensuelle
Russie : La Russie dispose d'une industrie militaire de masse, capable de produire plusieurs centaines de chars, d'artillerie, et d'équipements par mois en temps de guerre. Cette capacité repose sur une économie de guerre orientée vers la production de matériel militaire.
France : La capacité de production française est beaucoup plus limitée, avec des chaînes de production plus lentes, en grande partie concentrées sur des équipements sophistiqués mais en petit nombre. En temps de guerre, la production française ne pourrait pas suivre le rythme imposé par la Russie.