Memento mori. La conscience de ta fin aiguise la valeur du présent.

"Ouin ouin la vie a aucun sens à quoi bon en profiter" : Chercher un sens à tout est une projection humaine. L'univers n'a peut-être aucun sens.
Et si c'est le cas, c'est à toi de le créer.

Tu n'es pas tes pensées.
Mais tant que tu t'identifies à elles, tu restes prisonnier de ton mental.

Si tu crois que tout ce que tu penses est vrai ou reflète ta véritable identité, tu t'enfermes dans les limites du mental : peurs, jugements, croyances, scénarios imaginaires…

Si tu penses « je suis nul » et que tu y crois, tu souffres.

Si tu penses « je dois tout contrôler » et que tu t'identifies à cette idée, tu vis dans l'anxiété.

S'identifier à ses pensées, c'est perdre la liberté intérieure et être emporté par le flot mental.

Vous allez crever un jour bordel, qu'est ce que vous attendez pour vous bouger le cul et vivre pleinement ?

Nous sommes de passage, et cette fragilité rend chaque moment d'autant plus précieux.
C'est précisément parce que ta vie est éphémère qu'elle a tant de valeur. Alors, aime sans retenue, ris sans honte, ose sans attendre, et cesse de remettre à plus tard ce qui compte vraiment.

Il ne s'agit pas de vivre dans l'angoisse de la fin, mais dans la conscience de l'urgence de vivre. Car un jour, il sera trop tard.

Et le pire serait que tu te retournes avec des regrets. Profite donc, non pas pour fuir, mais pour honorer ta vie, pleinement, intensément, maintenant.

Ne te contente pas juste de noter, agis.