Assassin's Creed Shadow - Besoin d'un avis honnête
12 messages
Mise à jour: il y a un mois
Magnatron3
il y a un mois
Vend ta ps5 et achète toi une 4080TI avec l'argent
MikuWaifuLaifu
il y a un mois
Pas la peine
En plus, en ne l'achetant pas, tu contribues à faire accélérer l'inévitable chute d'Ubisoft, et ça c'est bénéfique pour toute l'industrie du JV
Bref, ne pas acheter ce jeu c'est une bonne action, par amour du jeu videal
ZdegManTounsi
il y a un mois
Tu m'as convaincu vdd
SaumonArcEnCiel
il y a un mois
Mon avis sur le jeu clé /
Hé ! Que diable est-ce donc là ? Ce divertissement, que l'on me vanta moult fois comme une fresque ludique digne des plus grands conteurs, s'avère n'être qu'une imposture puérile ! Laisse-moi, homme de noble lignage, en dresser le bilan avec l'éloquence qui sied à ma condition.
De la Durée de Vie :
Oserait-on seulement appeler cela une épopée ? À peine vingt-deux heures, et encore, en y comptant ces scabreuses images mouvantes que l'on nomme « cinématiques » ! Que me veut-on donc ? Moi qui, nourri aux grands récits de la guerre de Troie ou des chevaleresques prouesses de Lancelot du Lac, attends que l'aventure se déploie tel un somptueux tapis de Perse, me voilà contraint à un maigre récit qui, tel un soufflet mal tourné, s'affaisse avant même d'atteindre sa pleine majesté !
Des Graphismes :
Certes, les paysages ont leur charme, mais hélas, tout cela n'est que vile redite des ouvrages d'antan. Point d'évolutions notoires, point d'innovation ! Qu'on me donne les fastes de Byzance, les fresques des maîtres flamands, ou même la minutieuse précision des artisans d'Orient ! Au lieu de cela, l'on me sert un art figé, sans âme, sans grandeur. Ô trahison du progrès !
De l'Animation :
Las ! Il faut voir cette cape, dès la première image du récit, se mouvoir comme une ombre errante, se téléportant d'un endroit à l'autre tel un spectre malin ! Quelle illusion grotesque ! Et que dire de ces personnages errant sans but, clignotant tels des feux follets, ou tournant sur eux-mêmes comme des pantins désarticulés ! Mêmes les combats, censés être une danse de mort orchestrée avec maestria, ne sont que chaos et absurdité : un coup porté de haut en bas propulse l'ennemi vers la droite, comme si la gravité elle-même avait été bafouée !
Quant à la nature, que l'on vante tant ! Voici que les feuilles des arbres chutent sans fin, bercées par un vent que l'on croirait inspiré des tempêtes d'Éole, mais ô paradoxe, la mer demeure impassible, toute lisse, et les capes des preux restent figées. Est-ce là l'œuvre d'un illusionniste sans talent ?
De la Jouabilité :
Ah ! Naguère, lorsque le noble Art de la Guerre était évoqué, l'on songeait à Hannibal, à César, à ces généraux pour qui stratégie et ruse n'étaient point de vains mots. Mais ici ! Tout n'est que fadaise ! Trois boutons suffisent à dompter cette mécanique sommaire : frapper, se verrouiller sur l'ennemi, et asséner un coup spécial. Où sont la réflexion, la tactique, l'art subtil de la joute ? Qui plus est, nul adversaire ne fait montre d'intelligence ! L'on pourrait approcher en fanfare que nul ne broncherait, ou bien certains, dans une tentative risible d'alerter leurs compagnons, s'enfuient en déroute sans but ni cohérence.
Quant à la liberté de mouvement, elle n'est que chimère ! Voici un personnage qui devrait, selon la légende, être aussi agile qu'un fier destrier lancé au galop, et pourtant, il trébuche au moindre obstacle, incapable de s'accrocher aux rebords les plus accessibles. Quelle farce !
De l'Histoire :
De quelle trame veule et sans panache nous abreuve-t-on ici ? Les enjeux, obscurs, s'évanouissent comme un brouillard matinal. La menace, patiemment esquissée, ne trouve jamais son apogée. Les antagonistes, figures pâles et sans relief, ne sont point de ces vilains dignes des contes épiques. Même les plus infâmes félons des romans courtois auraient suscité plus d'émoi que ces tristes sires.
De la Traduction et des Voix :
Oserait-on insulter notre belle langue de cette manière ? Dès la première scène, l'on entend des répétitions indignes d'un scribe médiéval, des formulations si maladroites qu'elles en feraient pleurer un moine copiste. Yasuke, que l'on introduit en fanfare, est affublé d'un discours si répétitif qu'on eût cru entendre un enfant ânonnant ses premières lettres. Pourquoi cette insistance puérile ? Ai-je tant offensé les muses que l'on m'inflige pareille cacophonie ?
Du Wokisme :
Voilà qui dépasse l'entendement ! Que des scènes d'amours saphiques et masculines soient mises en avant, soit, mais que cela fût amené avec la finesse d'une enclume jetée sur un parquet de marqueterie ! Ici, tout est plat, artificiel, dépourvu d'émotion. Et l'incohérence historique ! Ô douleur ! On nous impose une sumotori et un Yasuke recruté sans autre raison que celle d'une égalité forcée. Tout cela sonne faux, factice, tissé à la hâte comme un vil brocart contrefait.
Conclusion :
Ainsi donc, après avoir parcouru ce qui devait être une fresque majestueuse, me voilà, tel le roi François Ier après Pavie, dépité, meurtri, bafoué ! Je m'attendais à un festin de grand goût, et l'on me sert une bouillie indigeste ! Ô, que les dieux du divertissement aient pitié de nous, pauvres âmes en quête d'aventure véritable !
Scratch999
il y a un mois
Le jeu un bon 7/10 mais ils se la jouent beaucoup trop safe et avec une vision un peu trop modern wokiste
aka la romance avec le trans. Mais si tu aimes le Japon vas y gros, le gameplay est propre hormis l'IA.
En meme temps dur de faire une IA réaliste
JVCensure2
il y a un mois
Prends KCD2 à la place, c'est un studio qui pense à faire des jeux qui plaisent au lieu de se reposer sur des acquis d'il y a 15 ans
esclave_ankha6
il y a un mois
les AAA modernes sont l"equivalent des marvel au cinema, n'espere pas y trouver de la qualité
Porco--Loco
il y a un mois
Mon avis sur le jeu clé /Hé ! Que diable est-ce donc là ? Ce divertissement, que l'on me vanta moult fois comme une fresque ludique digne des plus grands conteurs, s'avère n'être qu'une imposture puérile ! Laisse-moi, homme de noble lignage, en dresser le bilan avec l'éloquence qui sied à ma condition.
De la Durée de Vie :
Oserait-on seulement appeler cela une épopée ? À peine vingt-deux heures, et encore, en y comptant ces scabreuses images mouvantes que l'on nomme « cinématiques » ! Que me veut-on donc ? Moi qui, nourri aux grands récits de la guerre de Troie ou des chevaleresques prouesses de Lancelot du Lac, attends que l'aventure se déploie tel un somptueux tapis de Perse, me voilà contraint à un maigre récit qui, tel un soufflet mal tourné, s'affaisse avant même d'atteindre sa pleine majesté !Des Graphismes :
Certes, les paysages ont leur charme, mais hélas, tout cela n'est que vile redite des ouvrages d'antan. Point d'évolutions notoires, point d'innovation ! Qu'on me donne les fastes de Byzance, les fresques des maîtres flamands, ou même la minutieuse précision des artisans d'Orient ! Au lieu de cela, l'on me sert un art figé, sans âme, sans grandeur. Ô trahison du progrès !De l'Animation :
Las ! Il faut voir cette cape, dès la première image du récit, se mouvoir comme une ombre errante, se téléportant d'un endroit à l'autre tel un spectre malin ! Quelle illusion grotesque ! Et que dire de ces personnages errant sans but, clignotant tels des feux follets, ou tournant sur eux-mêmes comme des pantins désarticulés ! Mêmes les combats, censés être une danse de mort orchestrée avec maestria, ne sont que chaos et absurdité : un coup porté de haut en bas propulse l'ennemi vers la droite, comme si la gravité elle-même avait été bafouée !Quant à la nature, que l'on vante tant ! Voici que les feuilles des arbres chutent sans fin, bercées par un vent que l'on croirait inspiré des tempêtes d'Éole, mais ô paradoxe, la mer demeure impassible, toute lisse, et les capes des preux restent figées. Est-ce là l'œuvre d'un illusionniste sans talent ?
De la Jouabilité :
Ah ! Naguère, lorsque le noble Art de la Guerre était évoqué, l'on songeait à Hannibal, à César, à ces généraux pour qui stratégie et ruse n'étaient point de vains mots. Mais ici ! Tout n'est que fadaise ! Trois boutons suffisent à dompter cette mécanique sommaire : frapper, se verrouiller sur l'ennemi, et asséner un coup spécial. Où sont la réflexion, la tactique, l'art subtil de la joute ? Qui plus est, nul adversaire ne fait montre d'intelligence ! L'on pourrait approcher en fanfare que nul ne broncherait, ou bien certains, dans une tentative risible d'alerter leurs compagnons, s'enfuient en déroute sans but ni cohérence.Quant à la liberté de mouvement, elle n'est que chimère ! Voici un personnage qui devrait, selon la légende, être aussi agile qu'un fier destrier lancé au galop, et pourtant, il trébuche au moindre obstacle, incapable de s'accrocher aux rebords les plus accessibles. Quelle farce !
De l'Histoire :
De quelle trame veule et sans panache nous abreuve-t-on ici ? Les enjeux, obscurs, s'évanouissent comme un brouillard matinal. La menace, patiemment esquissée, ne trouve jamais son apogée. Les antagonistes, figures pâles et sans relief, ne sont point de ces vilains dignes des contes épiques. Même les plus infâmes félons des romans courtois auraient suscité plus d'émoi que ces tristes sires.De la Traduction et des Voix :
Oserait-on insulter notre belle langue de cette manière ? Dès la première scène, l'on entend des répétitions indignes d'un scribe médiéval, des formulations si maladroites qu'elles en feraient pleurer un moine copiste. Yasuke, que l'on introduit en fanfare, est affublé d'un discours si répétitif qu'on eût cru entendre un enfant ânonnant ses premières lettres. Pourquoi cette insistance puérile ? Ai-je tant offensé les muses que l'on m'inflige pareille cacophonie ?Du Wokisme :
Voilà qui dépasse l'entendement ! Que des scènes d'amours saphiques et masculines soient mises en avant, soit, mais que cela fût amené avec la finesse d'une enclume jetée sur un parquet de marqueterie ! Ici, tout est plat, artificiel, dépourvu d'émotion. Et l'incohérence historique ! Ô douleur ! On nous impose une sumotori et un Yasuke recruté sans autre raison que celle d'une égalité forcée. Tout cela sonne faux, factice, tissé à la hâte comme un vil brocart contrefait.Conclusion :
Ainsi donc, après avoir parcouru ce qui devait être une fresque majestueuse, me voilà, tel le roi François Ier après Pavie, dépité, meurtri, bafoué ! Je m'attendais à un festin de grand goût, et l'on me sert une bouillie indigeste ! Ô, que les dieux du divertissement aient pitié de nous, pauvres âmes en quête d'aventure véritable !
FoulcherXXV
il y a un mois
les AAA modernes sont l"equivalent des marvel au cinema, n'espere pas y trouver de la qualité
Les AAA pour conchiotteux avec la couverture médiatique qui va avec oui
Knifos
il y a un mois
Je ne l'ai pas fait donc pas d'avis
ZdegManTounsi
il y a un mois