C'est la conscience du monde et de ses rouages sous-jacents qui rend malheureux

D'ailleurs, tu penses pas que le fait que la Nature soit Dieu (dans le registre spinoziste) inclut que l'individualité de l'homme est un non sens, j'ai du mal à croire qu'on parvient à s'extraire des autres parce qu'on est justement une partie de ce TOUT.

Cette même nature nous liant par les mécanismes qu'on connaît que trop bien sur le saint Forum (l'amour, le développement du système limbique et cérébral qui incorpore la mémoire et l'expérience dans l'optimisation de la recherche du plaisir)

Ne serait-ce que par le sentiment d'utilité qu'on ressent par l'intermédiaire de nos actions communes sur le tout, l'égo de l'homme est bien trop axé dans la recherche de son affirmation dans l'espèce pour l'espèce (dans le but d'une propagation)

Quant aux évangiles apocryphes dont tu fais référence, la recherche du divin par le prisme de soi n'est qu'un énième mirage pour accepter la transition entre la pulsion de vie et celle de mort on en revient à cette notion de TOUT indissociable ou la contribution de l'être n'est qu'une énième pièce insérée pour maintenir et perpétuer le mécanisme du vivant.