Critiquer ne veut pas forcément dire qu'on est "contre" quelque chose ou quelqu'un.
Je critique des personnes ou des groupes que j'aime, et dont j'attends des améliorations.
On ne critique pas ce dont on se fout complètement. On méprise ou on insulte...
Alors oui, je continuerai de critiquer la RN pour son inexistence idéologique entre deux élections. Absence qui condamne le parti à avancer à un rythme d'escargot.

L'ANGLETERRE et ce qui s'y passe était l'occasion d'informer les Français de souche de ce qui les attend, s'ils tardent trop à voter pour un parti patriote.
Tous les ingrédients y étaient : attaque et assassinats d'enfants blancs, gouvernements traîtres qui privilégient les immigrés, répression injuste, droite d'affaire et gauche sociale même combat (équivalents LR, PS/LFI), elles importent toutes deux des centaines de milliers d'étrangers par an.
Tout était là, disponible, évident, convaincant, il suffisait de relayer les vidéos, de s'indigner, de dire "vite, donnez-nous la main où nous plongerons aussi vers ce chaos".

Au lieu de quoi, on a eu un message mou de #bardella qui a mentionné une seule fois l'attaque à #southporth puis presque rien... jusqu'à la fin des JO, une déclaration dans laquelle Jordan se réjouit que tout se soit bien passé pendant cette compétition (bah tout s'est super bien passé sous le mandat de Macron, ça donne vachement envie de voter pour vous).

Qui conseille ces gens ? Pourquoi rien ne change en profondeur malgré les défaites répétées ? A quel moment la droite musclera son jeu et prendra au sérieux son rôle historique : sauver les fesses des peuples européens ?
On ne gagnera que si les partis nationalistes deviennent exceptionnels et ambitieux, et ce n'est pas le cas actuellement.