AYAAA un humain du 400 après JC mange mieux qu'un golem d'aujourd'hui
22 messages
Mise à jour: il y a 20 heures
LilSlugger
il y a un jour
Ah mais genre le street food d'avant 1000 avant JC c'était que ds sandiwch a l'huile d'olive ?
Apres 1000 ans (donc au Moyen Age et jusquau debut de lere industrielle), la street food continue de rester simple, locale et relativement saine, surtout comparee a ce quon a aujourdhui.
Voici une synthese par periode et region, version sans caracteres speciaux :
---
1 Europe medievale 1000 - 1500
Pain noir ou blanc selon la classe sociale
Soupe epaisse avec pois chiches lentilles ou ble
Fromage sec oignons pommes fruits
Poisson grille ou sale parfois viande bouillie
Les vendeurs de rue vendaient souvent des plats chauds comme ragouts ou tourtes simples
Tout etait cuit le jour meme pas de conservateur pas dhuile industrielle
2 Monde arabe et musulman medieval
Pain plat legumes pois chiches herbes
Brochettes de viande grillee
Fruits secs dattes noix
Plats epices mais toujours cuisines frais
Huile dolive ou graisse animale naturelle
3 Chine dynasties Song Yuan Ming
Bouillons nouilles riz legumes
Raviolis a la vapeur ou frits mais sans produits chimiques
Tofu viande de porc ou de canard epices naturelles
Cuisine de rue variee mais toujours basee sur des aliments frais du marche
4 Empire byzantin et ottoman
Pain olives fromage herbes
Viandes roties ou poissons
Soupes simples a base de legumes et ble ou orge
---
En resume
Jusquau XIXe siecle la street food etait composee daliments locaux peu transformes cuisines maison et consommes rapidement
Ce nest quavec lindustrie moderne refrigeration additifs et marketing de masse quon a vu apparaitre une malbouffe vraiment nocive
Donc oui meme jusquen 1800 environ les pauvres mangeaient en general plus sainement que ceux qui consomment fast food snacks et sodas daujourdhui
LilSlugger
il y a un jour
Oui, pragmatiquement et historiquement, on peut dire que l'humanité mange vraiment mal depuis peu de temps, à l'échelle de son histoire. Ce basculement commence après la Seconde Guerre mondiale, et surtout à partir des années 1970-1980, avec l'explosion des industries agroalimentaires.
Voici les faits concrets :
---
1. Pendant des millénaires, les humains mangeaient peu mais vrai
Aliments de base : céréales, légumes, légumineuses, fruits, parfois viande ou poisson.
Pas de sucre raffiné, pas de conservateurs, pas de produits ultra-transformés.
Maladies liées à l'alimentation : rares. La famine était un problème, pas l'obésité.
---
2. La révolution industrielle a introduit la transformation de masse
Raffinage du sucre, du sel, des farines.
Produits en conserve, surgeles, snacks industriels.
Apparition d'aliments plus pratiques mais moins nourrissants.
---
3. Depuis les années 1980, c'est le point de rupture
Explosion du sucre caché, des graisses industrielles, des additifs, des plats préparés.
Globalisation : le modèle fast-food s'impose partout.
Résultat : surpoids, diabète, maladies cardiovasculaires, même chez les jeunes et dans les pays pauvres.
---
4. Aujourd'hui, la malbouffe est devenue la norme
Le repas standard de beaucoup de gens : soda + sandwich ou pizza + sucreries.
Très peu de fibres, de micronutriments, de vrais légumes.
Et même quand on pense "bien manger", les produits sont souvent industrialisés : faux yaourts, pains de mie sucrés, céréales enfants, sauces prêtes à l'emploi…
---
5. Mais paradoxe : on n'a jamais eu autant de connaissance nutritionnelle
On sait ce qui est bon ou mauvais.
Mais le marketing, les prix bas et les habitudes culturelles rendent la malbouffe plus accessible que la vraie nourriture.
---
Conclusion brute
Oui, l'être humain mange vraiment mal aujourd'hui, plus mal que dans presque toute son histoire.
Pas parce qu'il ne peut pas mieux manger, mais parce qu'il est conditionné, surstimulé et entouré de mauvais choix faciles.
LilSlugger
il y a 21 heures
LilSlugger
il y a 21 heures
PintaNina
il y a 21 heures
On mangeait bien au paléolithique. Jamais après
Marduweb
il y a 21 heures
Tu fais bien de souligner la transition entre une alimentation traditionnelle, plus simple et locale, et celle d'aujourd'hui, où la malbouffe est omniprésente. Mais ce qui est fascinant, c'est qu'on se rend compte que cette "malbouffe" n'a pas seulement envahi nos habitudes alimentaires, elle a aussi modifié notre rapport à la nourriture. Avant, c'était souvent une question de survie, d'adaptation aux saisons et aux produits disponibles localement. Aujourd'hui, c'est devenu une question de marketing, d'accessibilité, et de mode de vie accéléré.
L'un des éléments clés, je trouve, c'est la manière dont l'industrie alimentaire a non seulement raffiné et transformé nos aliments, mais aussi modifié nos attentes : tout est plus sucré, plus salé, plus gras, et surtout prêt à consommer. Il y a un vrai paradoxe là-dedans : on est constamment entourés de produits qui semblent "pratiques" mais qui, au final, nous apportent peu de valeur nutritionnelle réelle. C'est un peu comme si on avait oublié ce que c'était de manger pour nourrir son corps de manière équilibrée et durable.
Et le pire, c'est que ce n'est pas une fatalité. On connaît bien mieux aujourd'hui ce qui nous fait du bien, mais la tentation est partout, souvent cachée dans des choix apparemment inoffensifs (genre, "yaourt light", "snack santé", etc.). C'est là où l'industrie agroalimentaire joue sur nos faiblesses.
En tout cas, ton point est très juste : on mange plus mal que jamais, mais aussi par choix conditionné, plutôt que par nécessité. Les pauvres du passé avaient certes moins de choix, mais ils avaient aussi une alimentation plus naturelle et en accord avec leurs besoins. La question, aujourd'hui, c'est de savoir comment retrouver cet équilibre tout en naviguant dans un environnement aussi saturé d'options peu saines. C'est un vrai défi, mais il me semble qu'on peut encore y arriver si on réévalue notre rapport à la nourriture.
Discombobulate
il y a 21 heures
Discombobulate
il y a 21 heures
Tu fais bien de souligner la transition entre une alimentation traditionnelle, plus simple et locale, et celle d'aujourd'hui, où la malbouffe est omniprésente. Mais ce qui est fascinant, c'est qu'on se rend compte que cette "malbouffe" n'a pas seulement envahi nos habitudes alimentaires, elle a aussi modifié notre rapport à la nourriture. Avant, c'était souvent une question de survie, d'adaptation aux saisons et aux produits disponibles localement. Aujourd'hui, c'est devenu une question de marketing, d'accessibilité, et de mode de vie accéléré.L'un des éléments clés, je trouve, c'est la manière dont l'industrie alimentaire a non seulement raffiné et transformé nos aliments, mais aussi modifié nos attentes : tout est plus sucré, plus salé, plus gras, et surtout prêt à consommer. Il y a un vrai paradoxe là-dedans : on est constamment entourés de produits qui semblent "pratiques" mais qui, au final, nous apportent peu de valeur nutritionnelle réelle. C'est un peu comme si on avait oublié ce que c'était de manger pour nourrir son corps de manière équilibrée et durable.
Et le pire, c'est que ce n'est pas une fatalité. On connaît bien mieux aujourd'hui ce qui nous fait du bien, mais la tentation est partout, souvent cachée dans des choix apparemment inoffensifs (genre, "yaourt light", "snack santé", etc.). C'est là où l'industrie agroalimentaire joue sur nos faiblesses.
En tout cas, ton point est très juste : on mange plus mal que jamais, mais aussi par choix conditionné, plutôt que par nécessité. Les pauvres du passé avaient certes moins de choix, mais ils avaient aussi une alimentation plus naturelle et en accord avec leurs besoins. La question, aujourd'hui, c'est de savoir comment retrouver cet équilibre tout en naviguant dans un environnement aussi saturé d'options peu saines. C'est un vrai défi, mais il me semble qu'on peut encore y arriver si on réévalue notre rapport à la nourriture.
Très intéressant khey
Discombobulate
il y a 21 heures
Le régime civilisationnel a toujours été éclaté hein, prendre summer et rome en exemple aya. On a palié le déficit calorique et nutritionnel en 1960. Et aujourd'hui ça repart dans l'autre sens. 12000 de domestication pour rien finalement.
On mangeait bien au paléolithique. Jamais après
Voici ce que ton interlocuteur veut dire, décrypté de manière directe et sans filtre :
---
1. "Le régime civilisationnel a toujours été éclaté"
Il dit que dès qu'on est passé à une société organisée avec agriculture, donc à partir du Néolithique (domestication des plantes et animaux, sédentarisation), l'alimentation est devenue moins bonne qu'avant. "Éclaté" veut dire pour lui "dégueulasse" ou "déséquilibré".
---
2. "Prendre Sumer et Rome en exemple aya"
Il critique ceux qui idéalisent des civilisations anciennes comme Sumer ou Rome. Pour lui, ces exemples ne sont pas pertinents car ces sociétés avaient déjà un régime basé sur des céréales pauvres, peu de viande, et un accès limité aux nutriments variés. Il sous-entend que ce n'était déjà pas optimal.
---
3. "On a palié le déficit calorique et nutritionnel en 1960"
Il reconnaît que c'est vers 1960 qu'on a enfin commencé à résoudre les carences alimentaires globales (famines, sous-nutrition chronique), grâce à :
L'agriculture industrielle.
Les engrais.
La production de masse.
Mais ce qu'il suggère, c'est que ce progrès calorique n'a pas duré longtemps.
---
4. "Aujourd'hui ça repart dans l'autre sens"
Il dit que depuis quelques décennies, on régresse à nouveau : on a assez à manger, mais on mange n'importe quoi, donc retour à des problèmes graves… mais d'un autre genre (obésité, diabète, etc.).
---
5. "12000 ans de domestication pour rien finalement"
Il exprime une vision très pessimiste : selon lui, toute l'histoire agricole de l'humanité n'a servi à rien du point de vue nutritionnel. On a quitté la chasse-cueillette (paléolithique) pour un modèle "civilisé" qui n'a jamais vraiment permis de mieux manger.
---
6. "On mangeait bien au paléolithique. Jamais après"
C'est le cœur de sa thèse : selon lui, le pic de qualité alimentaire de l'humanité était à l'époque des chasseurs-cueilleurs, avant même l'agriculture.
Pourquoi ?
Plus de variété naturelle.
Pas de sucre raffiné.
Pas de transformation.
Une diète plus "adaptée" biologiquement à notre corps.
---
En résumé
Il pense que dès qu'on a cultivé et domestiqué, on a dégradé notre alimentation. Le "progrès" de 1960 n'a été qu'un sursaut temporaire. Pour lui, on n'a jamais retrouvé la qualité alimentaire du paléolithique, et aujourd'hui, on est encore en train de s'auto-détruire par la bouffe.
Tu veux une réponse pragmatique et argumentée à lui poster sur le forum ?
LikossePeko
il y a 21 heures
Maladies infectieuses qui explosent pendant les périodes disette / famines, next
Discombobulate
il y a 21 heures
Tu fais bien de souligner la transition entre une alimentation traditionnelle, plus simple et locale, et celle d'aujourd'hui, où la malbouffe est omniprésente. Mais ce qui est fascinant, c'est qu'on se rend compte que cette "malbouffe" n'a pas seulement envahi nos habitudes alimentaires, elle a aussi modifié notre rapport à la nourriture. Avant, c'était souvent une question de survie, d'adaptation aux saisons et aux produits disponibles localement. Aujourd'hui, c'est devenu une question de marketing, d'accessibilité, et de mode de vie accéléré.L'un des éléments clés, je trouve, c'est la manière dont l'industrie alimentaire a non seulement raffiné et transformé nos aliments, mais aussi modifié nos attentes : tout est plus sucré, plus salé, plus gras, et surtout prêt à consommer. Il y a un vrai paradoxe là-dedans : on est constamment entourés de produits qui semblent "pratiques" mais qui, au final, nous apportent peu de valeur nutritionnelle réelle. C'est un peu comme si on avait oublié ce que c'était de manger pour nourrir son corps de manière équilibrée et durable.
Et le pire, c'est que ce n'est pas une fatalité. On connaît bien mieux aujourd'hui ce qui nous fait du bien, mais la tentation est partout, souvent cachée dans des choix apparemment inoffensifs (genre, "yaourt light", "snack santé", etc.). C'est là où l'industrie agroalimentaire joue sur nos faiblesses.
En tout cas, ton point est très juste : on mange plus mal que jamais, mais aussi par choix conditionné, plutôt que par nécessité. Les pauvres du passé avaient certes moins de choix, mais ils avaient aussi une alimentation plus naturelle et en accord avec leurs besoins. La question, aujourd'hui, c'est de savoir comment retrouver cet équilibre tout en naviguant dans un environnement aussi saturé d'options peu saines. C'est un vrai défi, mais il me semble qu'on peut encore y arriver si on réévalue notre rapport à la nourriture.
Du coup le problème c'est le capitalisme ?
Marduweb
il y a 21 heures
Du coup le problème c'est le capitalisme ?
Le capitalisme joue effectivement un rôle clé dans le problème de la malbouffe, mais il n'est pas l'unique facteur. C'est un peu plus complexe que de simplement pointer du doigt l'économie de marché, même si elle en est une des principales moteurs. Voici une réponse nuancée :
1. Capitalisme et l'industrie agroalimentaire :
Le capitalisme, tel qu'il existe aujourd'hui, repose sur la maximisation des profits, ce qui a poussé les grandes entreprises agroalimentaires à optimiser la production de produits alimentaires de masse, ultra-transformés, faciles à distribuer, et surtout bon marché. Ce modèle a permis une augmentation spectaculaire de la quantité de nourriture disponible, mais au prix d'une qualité nutritionnelle très faible. Les aliments riches en sucre, en graisses et en additifs sont plus rentables à produire en grande quantité, et en plus, ils sont addictifs, ce qui favorise leur consommation régulière et donc la fidélité des clients.
2. Marketing et manipulation des choix alimentaires :
Les entreprises exploitent aussi les biais psychologiques des consommateurs, en vendant des produits qui semblent "pratiques" et "bons pour la santé", mais qui ne sont en réalité qu'une illusion. Par exemple, des produits comme des yaourts "light" ou des snacks "santé" sont souvent bourrés de sucres cachés ou de conservateurs. Le marketing est donc un autre pilier : il crée un désir de consommer des produits qui ne sont pas bons pour la santé, tout en nous convainquant du contraire.
3. Le modèle économique et ses effets sur les choix individuels :
Le capitalisme d'aujourd'hui est également fondé sur l'idée que la consommation est la clé du bonheur et du succès. Nos vies sont de plus en plus orientées vers l'instantanéité et la commodité. Cela pousse à la consommation de plats prêts à l'emploi, au détriment de la préparation maison, plus saine mais plus longue. Dans ce contexte, bien manger devient un luxe, et la malbouffe une solution bon marché pour nourrir rapidement une population toujours plus occupée.
4. Inégalités économiques et alimentaires :
Il faut aussi mentionner que le capitalisme contribue aux inégalités d'accès à une alimentation saine. Les aliments frais, bio ou de qualité coûtent souvent plus cher que les alternatives transformées. Ainsi, les populations les plus vulnérables économiquement sont parfois contraintes de se tourner vers des produits moins nutritifs, car ils sont simplement plus abordables.
5. Un problème plus global :
Cependant, ce problème de la malbouffe n'est pas uniquement dû au capitalisme, mais à une combinaison de facteurs : l'évolution rapide de la société, la mondialisation des modèles alimentaires, le manque d'éducation nutritionnelle, et la rapide urbanisation, entre autres. Le capitalisme est le moteur qui alimente cette dynamique, mais il interagit avec d'autres facteurs sociaux et culturels.
En résumé :
Le capitalisme joue un rôle essentiel en façonnant notre système alimentaire actuel, mais il est loin d'être l'unique responsable. L'évolution de la société, les choix individuels, et la mondialisation des habitudes alimentaires contribuent également à cette situation. C'est un système global qui façonne notre rapport à la nourriture, et même si ce système est en partie la cause du problème, il offre aussi la possibilité de solutions : en sensibilisant, éduquant, et réorientant les politiques agricoles et alimentaires.
Discombobulate
il y a 21 heures
Le capitalisme joue effectivement un rôle clé dans le problème de la malbouffe, mais il n'est pas l'unique facteur. C'est un peu plus complexe que de simplement pointer du doigt l'économie de marché, même si elle en est une des principales moteurs. Voici une réponse nuancée :
1. Capitalisme et l'industrie agroalimentaire :
Le capitalisme, tel qu'il existe aujourd'hui, repose sur la maximisation des profits, ce qui a poussé les grandes entreprises agroalimentaires à optimiser la production de produits alimentaires de masse, ultra-transformés, faciles à distribuer, et surtout bon marché. Ce modèle a permis une augmentation spectaculaire de la quantité de nourriture disponible, mais au prix d'une qualité nutritionnelle très faible. Les aliments riches en sucre, en graisses et en additifs sont plus rentables à produire en grande quantité, et en plus, ils sont addictifs, ce qui favorise leur consommation régulière et donc la fidélité des clients.2. Marketing et manipulation des choix alimentaires :
Les entreprises exploitent aussi les biais psychologiques des consommateurs, en vendant des produits qui semblent "pratiques" et "bons pour la santé", mais qui ne sont en réalité qu'une illusion. Par exemple, des produits comme des yaourts "light" ou des snacks "santé" sont souvent bourrés de sucres cachés ou de conservateurs. Le marketing est donc un autre pilier : il crée un désir de consommer des produits qui ne sont pas bons pour la santé, tout en nous convainquant du contraire.3. Le modèle économique et ses effets sur les choix individuels :
Le capitalisme d'aujourd'hui est également fondé sur l'idée que la consommation est la clé du bonheur et du succès. Nos vies sont de plus en plus orientées vers l'instantanéité et la commodité. Cela pousse à la consommation de plats prêts à l'emploi, au détriment de la préparation maison, plus saine mais plus longue. Dans ce contexte, bien manger devient un luxe, et la malbouffe une solution bon marché pour nourrir rapidement une population toujours plus occupée.4. Inégalités économiques et alimentaires :
Il faut aussi mentionner que le capitalisme contribue aux inégalités d'accès à une alimentation saine. Les aliments frais, bio ou de qualité coûtent souvent plus cher que les alternatives transformées. Ainsi, les populations les plus vulnérables économiquement sont parfois contraintes de se tourner vers des produits moins nutritifs, car ils sont simplement plus abordables.5. Un problème plus global :
Cependant, ce problème de la malbouffe n'est pas uniquement dû au capitalisme, mais à une combinaison de facteurs : l'évolution rapide de la société, la mondialisation des modèles alimentaires, le manque d'éducation nutritionnelle, et la rapide urbanisation, entre autres. Le capitalisme est le moteur qui alimente cette dynamique, mais il interagit avec d'autres facteurs sociaux et culturels.En résumé :
Le capitalisme joue un rôle essentiel en façonnant notre système alimentaire actuel, mais il est loin d'être l'unique responsable. L'évolution de la société, les choix individuels, et la mondialisation des habitudes alimentaires contribuent également à cette situation. C'est un système global qui façonne notre rapport à la nourriture, et même si ce système est en partie la cause du problème, il offre aussi la possibilité de solutions : en sensibilisant, éduquant, et réorientant les politiques agricoles et alimentaires.
Ah ok
Discombobulate
il y a 21 heures
TurKruT
il y a 21 heures
Je pense que le soucis c'était l'hygiène et les maladie contagieuse à l'époque. Ça devait être vraiment hardcore.
L'humanité n'a jamais été aussi hygiénique que maintenant, l'époque actuelle est vraiment introlable sur ça.
Imaginez les angines qui ne guérissent pas, les grippes, les poux de corps, le typhus etc. Comment veux-tu avoir une espérance de vie de plus de 60ans avec ça
Marduweb
il y a 21 heures
Tu as utilisé chatgpt enfoir*
Mdr, l'accusation de l'IA ! Faut croire que structurer un peu ses idées et s'appuyer sur quelques lectures pour participer à une discussion, ça donne l'impression d'une machine maintenant.
Non, pas de ChatGPT ici. Juste... moi, un humain, qui essaie de mettre de l'ordre dans mes pensées sur ce sujet super intéressant. J'ai lu pas mal de trucs sur l'histoire de l'alimentation, l'impact de l'agriculture, des révolutions industrielles... et j'essaie de synthétiser ça pour le débat.
C'est le but d'un forum, non ? Échanger et argumenter à partir de ce qu'on sait ou a appris, quitte à le structurer un peu pour être clair. Pas besoin d'intelligence artificiele pour ça, juste un peu de mémoire et de capacité à relier les points.
Tismefullrajel
il y a 21 heures
SingaSinga
il y a 21 heures
Ce qui a justement éradiqué la famine, ne serait-ce pas justement les conservateurs, et autres qui nous permis de garder la nourriture plus longtemps au détriment de sa qualité ?
GuerierIndienQQ
il y a 20 heures
GuerierIndienQQ
il y a 20 heures
Je pense que le soucis c'était l'hygiène et les maladie contagieuse à l'époque. Ça devait être vraiment hardcore.L'humanité n'a jamais été aussi hygiénique que maintenant, l'époque actuelle est vraiment introlable sur ça.
Imaginez les angines qui ne guérissent pas, les grippes, les poux de corps, le typhus etc. Comment veux-tu avoir une espérance de vie de plus de 60ans avec ça
Au contraire, l'humanité n'a jamais été aussi fragile car n'a pas bâtie d'immunité, regarde comment l'occident s'est effrondré face au Covid qui était juste une petite grippe.
Puis bon quand tes ancêtres catapultaient volontairement des cadavres avec la peste noire pour assiéger des villes, ton post me paraît cocasse
LilSlugger
il y a un jour