Divorce:
Aux États-Unis, les femmes sont responsables de 69 % des divorces, souvent de manière implicite en plus. Les fonds publics sont utilisés pour soutenir les mères célibataires, et l'État oblige souvent les pères à payer des pensions alimentaires après le divorce. Ce phénomène, où les femmes épousent un homme puis le quittent sans raison valable pour obtenir une pension alimentaire, est parfois appelé "viol de divorce". Bien que certaines femmes justifient cela par le fait que les hommes de la génération Baby Boom trichent un peu plus que les femmes de la même génération, les femmes de la génération millénaire tricheraient davantage que les hommes, surtout avec l'essor des applications de rencontre et des réseaux sociaux

Le taux de divorce de 50 % souvent cité est souvent interprété comme un signe que les humains, et particulièrement les femmes dans les pays modernes, ne sont pas faits pour la monogamie. Cependant, parmi les premiers mariages, seulement 35 % se terminent par un divorce. Le taux global de 50 % est principalement dû à une minorité de personnes qui divorcent et se remarient plusieurs fois. Les divorces surviennent généralement autour de la quatrième année de mariage, souvent lorsque le premier enfant commence à devenir plus autonome. Le nombre de partenaires sexuels avant le mariage influence également le taux de divorce, probablement en raison de différences génétiques dans la vitesse de l'histoire de vie

Pour les femmes ayant zéro partenaire sexuel avant le mariage (environ 5 %), il y a seulement 5 % de chances que leur mariage se termine en divorce après cinq ans. Celles ayant un seul partenaire avant le mariage ont environ 20 % de chances de divorce, tandis que celles ayant dix partenaires ou plus ont un taux de divorce de 33 % après cinq ans. Selon les données du CDC, 20 % des femmes âgées de 40 à 44 ans n'ont eu des relations sexuelles qu'avec une seule personne, contre 11 % de femmes de la même tranche d'âge ayant eu des relations avec 15 personnes ou plus

Les taux de divorce varient aussi selon les origines ethniques. Parmi les femmes hispaniques et latinas, 45 % ont eu des relations sexuelles uniquement avec une seule personne ou sont vierges, contre 29 % des femmes blanches et 19 % des femmes noires. Les femmes hispaniques et latinas semblent donc être plus "K-sélectionnées" (ayant moins d'enfants mais investissant davantage dans leur éducation) que les femmes blanches ou noires. De plus, les femmes hispaniques trichent moins souvent (environ 13 %) comparé aux femmes blanches (16 %) et noires (22 %)

https://www.insee.fr/fr/statistiques/2381492
SpoilAfficherMasquerhttps://web.stanford.edu/~mrosenfe/Rosenfeld_gender_of_breakup.pdf https://www.sciencedaily.com/releases/2015/08/150822154900.htm https://www.researchgate.net/publication/11203353_Cohabitation_Marriage_Divorce_and_Remarriage_in_the_United_States https://ifstudies.org/blog/number-1-in-2018-who-cheats-more-the-demographics-of-infidelity-in-america https://www.abs.gov.au/statistics/people/people-and-communities/marriages-and-divorces-australia/latest-release https://www.stats.govt.nz/information-releases/marriages-civil-unions-and-divorces-year-ended-december-2017 https://ifstudies.org/blog/counterintuitive-trends-in-the-link-between-premarital-sex-and-marital-stability/ https://www.cdc.gov/nchs/data/ad/ad362.pdf (page 29)

Infidélité:

En 2018, le magazine féministe Babe.net a célébré le constat que les jeunes femmes trompent désormais plus que les hommes avec son article intitulé "Les femmes détestent la monogamie encore plus que les hommes, confirmant la nature des femmes émancipées." Bien que l'infidélité féminine soit en hausse, les données de 2010 à 2016 montrent que les taux d'infidélité sont en réalité similaires chez les jeunes hommes (10 %) et les jeunes femmes (11 %). L'écart se creuse avec l'âge, les hommes étant généralement plus infidèles, mais les femmes mentent plus souvent sur leur infidélité, rendant cet écart probablement moins important qu'il n'y paraît. Ce constat est loin des 50 % de femmes infidèles mentionnés par Babe.net, chiffre provenant du livre "Untrue" de Wednesday Martin

L'article de Babe.net note correctement que les femmes se lassent sexuellement plus vite que les hommes, mais en déduit à tort que cela prouve une nature promiscue chez les femmes. Chez la plupart des espèces monogames, y compris les humains, les couples participent à une activité sexuelle intense au début, avant que celle-ci ne diminue pour permettre un plus grand investissement dans l'élevage des enfants. Par exemple, le campagnol des prairie, monogame pour la vie, s'engage dans une période de 36 heures d'activité sexuelle pour favoriser le lien avec la femelle. Cependant, ce déclin du désir sexuel chez les femmes dans les relations à long terme ne peut pas être entièrement expliqué par l'investissement dans les enfants, car ce déclin se manifeste même sans avoir eu d'enfants
Ce qu'on observe par les chiffres est que chez les moins de 30 ans les femmes trompent plus (ce qui est logique car les femmes à cette âge on plus de valeur sexuelle , donc plus d'opportunité de tromper) or chez les + de 30 ans c'est les hommes qui trompent le plus (car les hommes vieillissent mieux et peuvent avoir plus de valeur avec le temps)

Même si certaines femmes trouvent le sexe occasionnel avec plusieurs partenaires agréable, il est fallacieux de conclure que ce comportement est nécessairement naturel ou bénéfique. Par exemple, le chocolat est un superstimulus, mais en consommer excessivement est malsain. De même, les mécanismes de plaisir dans le cerveau, qui ont évolué pour motiver des actions favorisant le succès reproductif, ne signifient pas que ces mécanismes ont évolué pour encourager la consommation de drogues ou la promiscuité. Les femmes extrêmement promiscues ont historiquement été moins reproductivement réussies en raison de la violence et de l'infanticide auxquels elles étaient souvent exposées

Enfin, il est affirmé que les anthropologues ont trouvé que les meilleures mères, à travers les espèces, sont celles qui ont le plus de partenaires sexuels. Si cela peut être vrai pour certaines espèces promiscues afin de créer une incertitude paternelle, ce n'est pas le cas chez les humains. La théorie selon laquelle les femmes ayant des relations avec de nombreux hommes augmentent leurs chances d'une grossesse saine et d'une meilleure progéniture est incorrecte. Dans les rares cultures humaines où la promiscuité est bénéfique, comme dans certaines tribus sud-américaines qui croient à la paternité partielle, il existe tout de même de la jalousie entre les partenaires, et un trop grand nombre de prétendus pères entraîne un manque d'investissement parental

Tendance en big 2024:

Avec la montée exponentielle des divorces et des familles brisées, ainsi que la diminution des mariages depuis l'émergence du féminisme et le déclin de la famille avec l'industrialisation, les femmes considèrent la polyandrie comme une solution à l'inceldom et à la solitude masculine générale

Le problème est que le polyamour à court terme et à forte friction dans un marché sexuel libre rend l'inceldom inévitable, à moins qu'un programme social ou gouvernemental spécifique ne soit mis en place pour y remédier. L'augmentation du nombre d'incels pendant la montée du polyamour conduit inévitablement à une société polygame, peu importe combien de femmes croient que leur polyandrie individuelle entraîne une polyandrie sociétale. Beaucoup s'inquiètent de la montée du polyamour à court terme avec la désintégration du mariage et proposent la monogamie forcée comme solution, y compris NKL et Jordan Peterson

CONCLUSION:
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LOGOS DU GOAT CHAUDKHEY

J'aimerai bien me marier et voir ma (future) copine dans une belle robe blanche.

la pill du weekend

NA TU RELLE