[BORDEL] Ils deviennent ZINZINS à cause de leurs TOILETTES

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L'Affaire de la Cuvette Insidieuse : Un mystère sans fin à Valcourt Valcourt, 28 avril 2025 - Dans une maison modeste de la rue des Érables, un phénomène aussi trivial qu'inexplicable a transformé la routine d'un jeune couple en une obsession feutrée. Léa et Marc, 29 et 31 ans, tous deux enseignants, ont rapporté un détail perturbant : la cuvette de leurs toilettes est tiède. Pas chaude, pas brûlante, mais juste tiède, d'une manière qui défie toute explication. Ce qui semblait anodin s'est mué en une énigme insidieuse, les poussant à questionner leur maison, leurs habitudes et, parfois, leur propre raison. L'histoire a débuté un soir d'hiver, alors que Léa, après une longue journée de correction de copies, s'est rendue dans leur petite salle de bain. « Je me suis assise, et j'ai tout de suite senti quelque chose d'étrange », raconte-t-elle, les sourcils froncés. « La cuvette n'était pas froide, comme d'habitude. Elle était… tiède. Pas comme si Marc venait de l'utiliser, mais une chaleur bizarre, constante. » Intriguée, elle a appelé son conjoint, qui a confirmé la sensation. « On a ri, au début. On s'est dit que c'était rien, peut-être un truc avec les tuyaux. » Mais le lendemain, la tiédeur était toujours là. Et le jour suivant aussi. Chaque fois qu'ils s'asseyaient, la porcelaine semblait les accueillir avec cette chaleur subtile, presque moqueuse. « Ça devenait agaçant », confie Marc. « On a commencé à vérifier tout le temps, comme si on allait surprendre la cuvette en train de… je ne sais pas, de chauffer toute seule ? » Ils ont inspecté la salle de bain, cherchant une source de chaleur : radiateur, tuyau, câble électrique. Rien. La pièce était aussi froide que le reste de la maison, mal isolée contre les hivers de Valcourt. Léa, méthodique, a pris des notes. « J'ai mesuré la température avec un thermomètre de cuisine. La cuvette était à 27°C, stable, peu importe l'heure. Le carrelage autour ? 18°C. Ça n'avait aucun sens. » Les recherches en ligne n'ont rien donné : des discussions sur des problèmes de plomberie banals ou des anecdotes farfelues, mais rien qui collait. Ils ont interrogé des amis, qui ont haussé les épaules ou plaisanté sur des « toilettes maudites ». « On riait avec eux, mais en rentrant, on se regardait en silence. On savait que c'était pas normal », murmure Léa. Les semaines ont passé, et la tiédeur est devenue une présence constante, presque oppressante. Marc a commencé à éviter les toilettes, préférant celles de l'école où il travaille. Léa, plus têtue, s'asseyait par défi, mais chaque contact avec la cuvette la laissait mal à l'aise. « C'était comme si… je sentais une intention. Pas une personne, pas un fantôme, mais quelque chose qui voulait qu'on remarque. » Une nuit, elle s'est réveillée en sursaut après un rêve où la cuvette vibrait doucement, émettant un bourdonnement grave. Elle n'a rien dit à Marc, de peur qu'il ne la prenne pour une folle. Ils ont fait venir un technicien, un certain Paul, qui a examiné la plomberie avec un mélange d'ennui et de curiosité. « J'ai rien trouvé », a-t-il conclu après une heure. « Vos tuyaux sont vieux, mais normaux. Peut-être une poche d'air chaude quelque part, mais franchement, je vois pas. » Il a proposé de démonter la cuvette pour vérifier dessous, mais le coût les a dissuadés. « On s'est dit qu'on allait vivre avec », explique Marc. « Mais c'était plus facile à dire qu'à faire. » Le malaise s'est installé dans leur quotidien. Ils ont cessé d'inviter des amis, par honte de devoir expliquer pourquoi ils évitaient leur propre salle de bain. Léa a pris l'habitude de tirer la chasse avant de s'asseoir, comme un rituel pour conjurer l'étrangeté. Marc, lui, a commencé à plaisanter nerveusement sur le fait de déménager. « On en riait, mais au fond, on se demandait si on était pas en train de perdre la tête. » Un soir, alors qu'ils regardaient un film pour se changer les idées, un bruit les a fait sursauter : un clapotis, net et distinct, venant de la salle de bain. Ils s'y sont précipités, lampe de poche en main. L'eau de la cuvette était immobile, mais la tiédeur semblait plus intense, presque palpable dans l'air. « J'ai cru que j'allais voir quelque chose bouger », admet Léa. « Mais il n'y avait rien. Juste cette foutue chaleur. » Excédés, ils ont décidé de partir. Pas de déménagement définitif - trop cher - mais une semaine chez les parents de Marc, à une heure de là. À leur retour, ils ont retenu leur souffle en entrant dans la salle de bain. La cuvette était toujours tiède. Pas plus, pas moins. Juste tiède, comme si elle les attendait. Aujourd'hui, Léa et Marc vivent toujours dans la maison. Ils ont appris à ignorer la cuvette, ou du moins à faire semblant. « On n'en parle plus », dit Léa, un sourire crispé aux lèvres. « On s'assoit, on fait ce qu'on a à faire, et on passe à autre chose. Mais je sais qu'on y pense tous les deux. » Ils n'ont pas remplacé la cuvette, ni appelé d'autres techniciens. Ils n'ont pas trouvé d'explication, et n'en cherchent plus vraiment. « C'est juste une cuvette tiède », conclut Marc, haussant les épaules. « C'est nul, c'est bizarre, et ça ne mène à rien. » Pourtant, quand on leur demande s'ils envisagent de vendre la maison, ils échangent un regard. « Peut-être un jour », murmure Léa. « Mais pour l'instant, on fait avec. » L'énigme de la cuvette tiède reste irrésolue, un mystère domestique qui n'a ni queue ni tête. À Valcourt, on en parle parfois, en riant, comme d'une anecdote locale. Mais pour Léa et Marc, c'est un rappel quotidien que certaines choses, même les plus triviales, peuvent vous hanter sans jamais vous donner de réponses.
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0MarionMaCherie

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C'est un peu long khouya
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C'est un peu long khouya

Aussi long que leur calvaire de cuvette tiède ? https://image.noelshack.com/fichiers/2022/35/1/1661800576-ahiyao-bof.png

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