BORDEL, mais CHATGPT FOUDROIE le GOUVERNEMENT FRONCAIS sans VERGOGNE

OP
A2

Avaleur2Foutre

il y a 7 mois

Commençons https://image.noelshack.com/minis/2017/33/7/1503261217-risitas-fou.png

Voici une liste des principales cotisations sociales en France pour un salarié du secteur tertiaire (banque ou finance) :
1. Cotisations salariales (prélevées directement sur le salaire brut du salarié) :

Assurance maladie, maternité, invalidité, décès : environ 0,75 % du salaire brut.
Assurance vieillesse (retraite de base) : environ 7,3 % (plafonnée à la première tranche du salaire, jusqu'à 43 992 € annuel en 2024, soit environ 3 666 € par mois).
Assurance vieillesse déplafonnée : environ 0,40 % sur la totalité du salaire brut.
Retraite complémentaire Agirc-Arrco :
Tranche 1 : 4,72 % (sur la part du salaire jusqu'à 3 666 € brut par mois).
Tranche 2 : 12,95 % (sur la part du salaire au-dessus de 3 666 € brut par mois).
Contribution sociale généralisée (CSG) et contribution au remboursement de la dette sociale (CRDS) : environ 9,7 % sur 98,25 % du salaire brut.
Cotisation chômage : Depuis 2018, les salariés ne cotisent plus pour l'assurance chômage (taux à 0 %).
Cotisation prévoyance : Variable selon l'accord collectif de la branche, souvent entre 1 % et 3 %.
Cotisation mutuelle santé : Variable, souvent autour de 1 % à 2 % du salaire brut, partagée entre l'employeur et le salarié.

2. Cotisations patronales (prises en charge par l'employeur) :

Assurance maladie, maternité, invalidité, décès : environ 13 % du salaire brut.
Assurance vieillesse (retraite de base) : 8,55 % (plafonnée à la première tranche du salaire).
Assurance vieillesse déplafonnée : environ 1,9 % sur la totalité du salaire brut.
Retraite complémentaire Agirc-Arrco :
Tranche 1 : 6,20 % (sur la part du salaire jusqu'à 3 666 € brut par mois).
Tranche 2 : 12,95 % (sur la part du salaire au-dessus de 3 666 € brut par mois).
Cotisation chômage : environ 4,05 %.
Contribution solidarité autonomie (CSA) : 0,30 % du salaire brut.
Formation professionnelle : 0,55 % pour les entreprises de moins de 11 salariés ; 1 % pour les entreprises de plus de 11 salariés.
Contribution FNAL (Fonds national d'aide au logement) :
0,10 % pour les entreprises de moins de 50 salariés.
0,50 % pour les entreprises de 50 salariés et plus.
Accident du travail et maladies professionnelles : Taux variable selon le secteur et la sinistralité, généralement entre 0,5 % et 5 %.
Forfait social : 20 % sur les sommes exonérées de cotisations sociales comme la participation, l'intéressement, etc.
Cotisation prévoyance : Taux variable selon la convention collective (souvent entre 1 % et 3 %).

Autres contributions spécifiques :

Taxe d'apprentissage : 0,68 % du salaire brut (variable selon la taille de l'entreprise).
Participation à l'effort de construction (PEEC) : 0,45 % (pour les entreprises de plus de 20 salariés).
Cotisation au régime de garantie des salaires (AGS) : 0,15 % du salaire brut.

OP
A2

Avaleur2Foutre

il y a 7 mois

1. Cotisation chômage pour les employeurs (4,05 %)

Analyse : Bien que la cotisation chômage serve à financer les allocations chômage, le système de financement pourrait être jugé inadapté dans certains cas. Par exemple, les employeurs contribuent sans distinction selon leur historique de licenciement ou de recours à des contrats précaires.
Raison d'obsolescence/impropriété : La cotisation pourrait être ajustée en fonction du comportement des employeurs (utilisation de contrats à durée déterminée ou d'intérim par exemple). Les entreprises qui stabilisent leurs effectifs pourraient payer moins, tandis que celles qui recourent régulièrement aux licenciements ou à des contrats précaires paieraient davantage, favorisant un système d'incitation à des emplois plus durables.

2. Contribution FNAL (Fonds national d'aide au logement)

Analyse : Cette contribution vise à soutenir les dispositifs d'aide au logement (comme les APL). Cependant, elle n'est pas proportionnelle à la taille des entreprises ou à leurs profits, mais dépend uniquement du nombre de salariés.
Raison d'impropriété : On pourrait estimer que cette cotisation relève davantage de la fiscalité générale ou de l'impôt direct, et non d'une cotisation sociale à proprement parler. De plus, elle pourrait être ajustée en fonction des profits de l'entreprise, et non du simple effectif de salariés.

3. Participation à l'effort de construction (PEEC)

Analyse : Mise en place après la Seconde Guerre mondiale pour répondre à la crise du logement, cette cotisation vise à financer des projets de construction. Toutefois, les entreprises modernes, en particulier dans des secteurs comme la banque, n'ont pas forcément de lien direct avec la problématique du logement social.
Raison d'obsolescence : Le contexte du logement social a évolué, et les dispositifs de financement ne semblent plus aussi urgents ou efficaces qu'ils l'étaient. Il pourrait être plus rationnel de financer ces projets via des investissements publics ou privés spécifiques plutôt que de taxer systématiquement toutes les entreprises, quelles que soient leurs activités.

4. Cotisations vieillesse plafonnée/déplafonnée (retraite de base)

Analyse : Les cotisations vieillesse, surtout dans le cadre des régimes de retraite de base, sont conçues pour financer les pensions des retraités. Cependant, le système de retraite par répartition montre des signes de déséquilibre, en partie à cause de l'allongement de la durée de vie et d'une population vieillissante.
Raison d'impropriété : Bien que la finalité soit essentielle, la méthode de financement pourrait être jugée obsolète dans sa forme actuelle. Un système de capitalisation partielle ou un ajustement des taux en fonction des revenus, ou des besoins réels de financement des retraites, pourrait offrir une solution plus durable que la simple cotisation salariale.

5. Cotisation prévoyance (en cas de doublon avec une mutuelle)

Analyse : Les cotisations de prévoyance visent à couvrir les risques d'invalidité, d'accident ou de décès. Cependant, si une entreprise propose déjà une mutuelle santé ou des assurances complémentaires qui couvrent ces risques, il peut y avoir un chevauchement.
Raison d'impropriété : Le doublon de protection peut être illogique et coûteux, tant pour l'employeur que pour le salarié. Si des dispositifs sont déjà en place pour protéger ces risques, des ajustements ou des regroupements de cotisations pourraient être faits pour réduire les charges inutiles.

6. Forfait social sur l'intéressement et la participation (20 %)

Analyse : Le forfait social est une cotisation payée par l'employeur sur les sommes versées aux salariés dans le cadre de l'intéressement ou de la participation aux bénéfices. Bien que ce prélèvement ait pour but de financer la protection sociale, il pénalise en quelque sorte les entreprises qui cherchent à récompenser leurs salariés via des dispositifs collectifs.
Raison d'impropriété : Ce prélèvement pourrait décourager les entreprises d'adopter des mécanismes d'intéressement, alors même que ceux-ci visent à associer les salariés aux performances de l'entreprise. Un ajustement ou une suppression du forfait social sur ces dispositifs inciterait probablement les entreprises à encourager la participation des salariés, créant ainsi plus d'alignement entre les intérêts des deux parties.

7. Formation professionnelle (1 % pour les entreprises > 11 salariés)

Analyse : La cotisation pour la formation professionnelle finance le développement des compétences des salariés, mais son efficacité est souvent remise en question. Il est parfois reproché à ce système de ne pas répondre aux besoins réels des entreprises, et la complexité des dispositifs d'accès aux formations peut décourager leur utilisation.
Raison d'impropriété : Bien que l'intention de développer les compétences soit louable, le système actuel est parfois perçu comme inefficace, avec des formations qui ne correspondent pas aux besoins réels des salariés ou des entreprises. Une meilleure personnalisation ou un mécanisme basé sur des crédits d'apprentissage flexibles pourrait améliorer la pertinence de cette cotisation.

8. Cotisation accident du travail et maladies professionnelles (taux variable)

Analyse : Les cotisations accident du travail et maladies professionnelles sont fixées en fonction de la sinistralité des secteurs, mais elles ne reflètent pas toujours la réalité des risques pour certaines entreprises, surtout dans des secteurs comme la banque où les risques physiques sont limités.
Raison d'impropriété : Il pourrait être jugé illogique d'appliquer des taux standardisés sans prendre en compte la réalité des risques spécifiques à certaines industries. Pour le secteur bancaire, par exemple, les taux pourraient être significativement réduits, ce qui libérerait des ressources pour d'autres investissements plus pertinents.

HC

HarpageCannibal

il y a 7 mois

Tu peux faire la même chose pour la Belgique ? https://image.noelshack.com/fichiers/2018/28/1/1531139246-sdqsdq.jpg

OP
A2

Avaleur2Foutre

il y a 7 mois

Voilà quelques propositions pour améliorer le système actuel :

1. Bonus-malus sur les cotisations chômage :rage:

➡️ L'idée, c'est de récompenser les entreprises qui stabilisent leurs effectifs avec des cotisations réduites et de faire payer plus celles qui abusent des contrats précaires

Avantage : Incitation à l'emploi durable. Fini les contrats précaires à gogo

2. Abolition de la Contribution FNAL

➡️ Pourquoi taxer toutes les entreprises pour l'aide au logement ? Il serait plus logique d'intégrer ça dans la fiscalité générale, par exemple dans l'impôt sur le revenu.

Avantage : Simplification et moins de charges pour les entreprises !

3. Suppression de la Participation à l'effort de construction (PEEC)

➡️ Cette taxe date de l'après-guerre… :hmm: Autant la remplacer par des investissements publics ciblés.

Avantage : Plus de clarté et des financements adaptés aux vrais besoins. :hapok:

4. Réforme des cotisations vieillesse (retraite de base et complémentaire) :keskidi:

➡️ On continue le système par répartition, mais on introduit une part de capitalisation pour les jeunes générations. :calimero:

Avantage : On assure un système pérenne sans exploser les cotisations ! :ouioui:

5. Réforme de la cotisation pour la formation professionnelle

➡️ Fini le système où on cotise pour des formations qui servent à rien. On crée un crédit de formation que chaque salarié pourra utiliser comme il veut ! :clap:

Avantage : Plus de flexibilité pour chacun, et des formations qui correspondent vraiment aux besoins des salariés !

6. Ajustement des cotisations accident du travail/maladies pro

➡️ Les cotisations doivent être calculées sur le risque réel dans chaque entreprise, et pas selon un taux général du secteur.

Avantage : Plus juste et ça incite à améliorer les conditions de travail.

7. Réduction du forfait social sur l'intéressement et la participation

➡️ On allège (ou on supprime) ce forfait pour les petites entreprises. Ça les incitera à mieux répartir les bénéfices avec leurs salariés !

Avantage : Plus d'intéressement, plus de motivation pour les salariés, tout le monde y gagne ! :hapok:

8. Révision de la CSG/CRDS :hapnoel:

➡️ La CRDS, c'est pour la dette sociale, donc dès que c'est apuré, on la réduit ou on l'abolit. La CSG pourrait être réévaluée pour qu'elle prenne mieux en compte les revenus réels. :ouioui:

Avantage : Moins de prélèvements inutiles et une fiscalité plus juste.