BSD au bord du suicide depuis sa défaite contre Moicano
15 messages
Mise à jour: il y a 3 mois
OdinShibaH
il y a 4 mois
Wtf
mamiejtmjtm
il y a 4 mois
Boucle
FrenchBrisax
il y a 4 mois
Ah, Benoît Saint Denis, alias le God of War. Rien que ce surnom sentait la prétention divine, comme si le mec venait d'émerger tout droit d'un Valhalla rempli de dieux nordiques bodybuildés, prêt à éclater des crânes avec la bénédiction d'Odin lui-même. Son public français l'attendait, prêt à acclamer son guerrier légendaire, celui qui allait transformer Moicano en soupe de mâchoires. Mais ce soir-là, mes amis… c'est Saint Denis qui a été transformé. Et pas en héros.
Dès que la cloche a retenti, Benoît avance avec cette assurance surjouée de gars qui croit que son statut de "dieu" va le protéger des coups. Sauf que Moicano, lui, n'était pas là pour prier ou demander des bénédictions. Non, le Brésilien a commencé à distribuer les droites et les gauches comme s'il gérait un Black Friday des coups de poing. En quelques instants, le God of War s'est retrouvé transformé en God of Nap.
Chaque coup porté par Moicano a défiguré Benoît un peu plus, comme si son visage participait à un concours de sculpture à la tronçonneuse. Son nez ? Broyé comme une chips malmenée dans un paquet trop secoué. Ses pommettes ? Redessinées avec l'élégance d'un sac de boxe en fin de vie. On aurait dit que le Brésilien jouait aux Legos avec la tête de Saint Denis, sauf que les pièces ne s'emboîtaient plus du tout. Les spectateurs français, qui étaient venus pour voir leur idole triompher, avaient la mâchoire plus ouverte que celle de Benoît, et c'est dire.
Le moment où ça a vraiment viré au ridicule, c'est quand Saint Denis, déjà à moitié méconnaissable, a tenté un dernier sursaut d'orgueil. Une tentative de coup de poing qui avait autant d'impact qu'une gifle de mouche. Moicano, implacable, a répondu avec un combo qui a redéfini la géographie faciale de Benoît. Là, on ne parlait plus d'humiliation, on parlait d'une démolition, d'un remodelage complet façon “brico-déglingo”.
Et c'était un massacre artistique : Benoît, le dieu autoproclamé, était réduit à un tableau de désolation. Son visage ? Un Picasso vivant, avec des traits tellement déplacés qu'on aurait pu organiser une exposition d'art contemporain. Le public, d'abord enthousiaste, ne savait plus s'il fallait pleurer, rire ou envoyer des fleurs en hommage à la dignité perdue de Saint Denis.
Quand l'arbitre a enfin mis fin au supplice, Benoît n'était plus un dieu, ni même un demi-dieu : il était une légende déchue, le God of Gone. Défiguré, humilié, brisé devant son propre public, il est reparti avec un ticket pour l'histoire... celle des plus grandes raclées jamais vues. Et on peut dire que ce soir-là, Moicano a prouvé qu'il n'avait pas besoin de titres divins : juste des poings bien placés pour envoyer un "dieu" tout droit en enfer.
Mandelbro2
il y a 4 mois
venez les kheys, avant que le topic lock
REDLINE75
il y a 4 mois
venez les kheys, avant que le topic lock
C'est quoi l'intérêt d'un tel topic inutile ?
Redline75
il y a 4 mois
venez les kheys, avant que le topic lock
C'est quoi l'intérêt d'un tel topic inutile ?
Gro_iencliDeter
il y a 4 mois
Ah, Benoît Saint Denis, alias le God of War. Rien que ce surnom sentait la prétention divine, comme si le mec venait d'émerger tout droit d'un Valhalla rempli de dieux nordiques bodybuildés, prêt à éclater des crânes avec la bénédiction d'Odin lui-même. Son public français l'attendait, prêt à acclamer son guerrier légendaire, celui qui allait transformer Moicano en soupe de mâchoires. Mais ce soir-là, mes amis… c'est Saint Denis qui a été transformé. Et pas en héros.Dès que la cloche a retenti, Benoît avance avec cette assurance surjouée de gars qui croit que son statut de "dieu" va le protéger des coups. Sauf que Moicano, lui, n'était pas là pour prier ou demander des bénédictions. Non, le Brésilien a commencé à distribuer les droites et les gauches comme s'il gérait un Black Friday des coups de poing. En quelques instants, le God of War s'est retrouvé transformé en God of Nap.
Chaque coup porté par Moicano a défiguré Benoît un peu plus, comme si son visage participait à un concours de sculpture à la tronçonneuse. Son nez ? Broyé comme une chips malmenée dans un paquet trop secoué. Ses pommettes ? Redessinées avec l'élégance d'un sac de boxe en fin de vie. On aurait dit que le Brésilien jouait aux Legos avec la tête de Saint Denis, sauf que les pièces ne s'emboîtaient plus du tout. Les spectateurs français, qui étaient venus pour voir leur idole triompher, avaient la mâchoire plus ouverte que celle de Benoît, et c'est dire.
Le moment où ça a vraiment viré au ridicule, c'est quand Saint Denis, déjà à moitié méconnaissable, a tenté un dernier sursaut d'orgueil. Une tentative de coup de poing qui avait autant d'impact qu'une gifle de mouche. Moicano, implacable, a répondu avec un combo qui a redéfini la géographie faciale de Benoît. Là, on ne parlait plus d'humiliation, on parlait d'une démolition, d'un remodelage complet façon “brico-déglingo”.
Et c'était un massacre artistique : Benoît, le dieu autoproclamé, était réduit à un tableau de désolation. Son visage ? Un Picasso vivant, avec des traits tellement déplacés qu'on aurait pu organiser une exposition d'art contemporain. Le public, d'abord enthousiaste, ne savait plus s'il fallait pleurer, rire ou envoyer des fleurs en hommage à la dignité perdue de Saint Denis.
Quand l'arbitre a enfin mis fin au supplice, Benoît n'était plus un dieu, ni même un demi-dieu : il était une légende déchue, le God of Gone. Défiguré, humilié, brisé devant son propre public, il est reparti avec un ticket pour l'histoire... celle des plus grandes raclées jamais vues. Et on peut dire que ce soir-là, Moicano a prouvé qu'il n'avait pas besoin de titres divins : juste des poings bien placés pour envoyer un "dieu" tout droit en enfer.
Pas mal le pavax
Mandelbro2
il y a 4 mois
C'est quoi l'intérêt d'un tel topic inutile ?
Raptor Nutrition, champion de UFC qui fait du vélo pour vendre son produit de merde en pédalant comme une trotinette ça te fait pas rire ça ?
313FrenchMVP
il y a 4 mois
Le héros des petits bras
EN SUEUR COMME LES PETITS BRAS
REDLINE75
il y a 4 mois
Raptor Nutrition, champion de UFC qui fait du vélo pour vendre son produit de merde en pédalant comme une trotinette ça te fait pas rire ça ?
Bah non ça me fait pas rire car je ne vais pas commander de la poudre cancéreuse importé de chine.
Redline75
il y a 4 mois
Raptor Nutrition, champion de UFC qui fait du vélo pour vendre son produit de merde en pédalant comme une trotinette ça te fait pas rire ça ?
Bah non ça me fait pas rire car je ne vais pas commander de la poudre cancéreuse importé de chine.
JC-VDD
il y a 4 mois
Ah, Benoît Saint Denis, alias le God of War. Rien que ce surnom sentait la prétention divine, comme si le mec venait d'émerger tout droit d'un Valhalla rempli de dieux nordiques bodybuildés, prêt à éclater des crânes avec la bénédiction d'Odin lui-même. Son public français l'attendait, prêt à acclamer son guerrier légendaire, celui qui allait transformer Moicano en soupe de mâchoires. Mais ce soir-là, mes amis… c'est Saint Denis qui a été transformé. Et pas en héros.Dès que la cloche a retenti, Benoît avance avec cette assurance surjouée de gars qui croit que son statut de "dieu" va le protéger des coups. Sauf que Moicano, lui, n'était pas là pour prier ou demander des bénédictions. Non, le Brésilien a commencé à distribuer les droites et les gauches comme s'il gérait un Black Friday des coups de poing. En quelques instants, le God of War s'est retrouvé transformé en God of Nap.
Chaque coup porté par Moicano a défiguré Benoît un peu plus, comme si son visage participait à un concours de sculpture à la tronçonneuse. Son nez ? Broyé comme une chips malmenée dans un paquet trop secoué. Ses pommettes ? Redessinées avec l'élégance d'un sac de boxe en fin de vie. On aurait dit que le Brésilien jouait aux Legos avec la tête de Saint Denis, sauf que les pièces ne s'emboîtaient plus du tout. Les spectateurs français, qui étaient venus pour voir leur idole triompher, avaient la mâchoire plus ouverte que celle de Benoît, et c'est dire.
Le moment où ça a vraiment viré au ridicule, c'est quand Saint Denis, déjà à moitié méconnaissable, a tenté un dernier sursaut d'orgueil. Une tentative de coup de poing qui avait autant d'impact qu'une gifle de mouche. Moicano, implacable, a répondu avec un combo qui a redéfini la géographie faciale de Benoît. Là, on ne parlait plus d'humiliation, on parlait d'une démolition, d'un remodelage complet façon “brico-déglingo”.
Et c'était un massacre artistique : Benoît, le dieu autoproclamé, était réduit à un tableau de désolation. Son visage ? Un Picasso vivant, avec des traits tellement déplacés qu'on aurait pu organiser une exposition d'art contemporain. Le public, d'abord enthousiaste, ne savait plus s'il fallait pleurer, rire ou envoyer des fleurs en hommage à la dignité perdue de Saint Denis.
Quand l'arbitre a enfin mis fin au supplice, Benoît n'était plus un dieu, ni même un demi-dieu : il était une légende déchue, le God of Gone. Défiguré, humilié, brisé devant son propre public, il est reparti avec un ticket pour l'histoire... celle des plus grandes raclées jamais vues. Et on peut dire que ce soir-là, Moicano a prouvé qu'il n'avait pas besoin de titres divins : juste des poings bien placés pour envoyer un "dieu" tout droit en enfer.
anusquipuee
il y a 4 mois
BRISE
cena26000estban
il y a 3 mois
FrenchBrisax
il y a 4 mois