Ce QUOICOUBIX en SURPOIDS INSULTE la MÈRE des POLICIERS à MARSEILLE : SÉLECTION pour lui
Saparitang11
il y a 7 mois
L'éducation de ces gens
catagam
il y a 7 mois
Le niveau zéro de la vie sur terre
Saufer
il y a 7 mois
C'est même pas les hendek
BornTobeneet
il y a 7 mois
C'est qui Alain
Gaudriole
il y a 7 mois
je kiffferais trop qu'un BG musclé me passe les menottes
RogerRobot
il y a 7 mois
Il a forcé sur les loukoums
CuisineRoyale1
il y a 7 mois
ayaaaaaaaa
ces gris de pucelle
Brutonesque
il y a 7 mois
Il envoie les mains et tout ce fou
LosConejos
il y a 7 mois
Aucun honneur, ça fait la folle et ça pleure quand c'est maîtrisé en plus de souiller le nom de Dieu
SuicideCaca14
il y a 7 mois
Il fait semblant. Il adore cette scène éroticosexuel qui transcende ses tabous culturels que peut lui offrir l'Europe. Avoir un bon prétexte pour se faire physiquement dominer par d'autres hommes blancs est une vraie source d'excitation pour ces gens.
Remco17
il y a 7 mois
Il est parti en couilles Kameto
LordFunkAssasin
il y a 7 mois
Ayaaaaaaa jean kameto qui se prend une dose de réalité
Vitre_en_or
il y a 7 mois
Il fait semblant. Il adore cette scène éroticosexuel qui transcende ses tabous culturels que peut lui offrir l'Europe. Avoir un bon prétexte pour se faire physiquement dominer par d'autres hommes blancs est une vraie source d'excitation pour ces gens.
Tout à fait, d'accord. La touche des policiers ne lui suffisait pas, il voulait qu'on lui passe les menottes
SuicideCaca14
il y a 7 mois
Il fait semblant. Il adore cette scène éroticosexuel qui transcende ses tabous culturels que peut lui offrir l'Europe. Avoir un bon prétexte pour se faire physiquement dominer par d'autres hommes blancs est une vraie source d'excitation pour ces gens.
Par Allah, le chenapan racisé est homosexuel !
CauchistSolid
il y a 7 mois
4 vs 1
LesBzezsDeChloe
il y a 7 mois
Imagine te faire maîtriser par un municipal à vélo et éclater en sanglots. Ça fait le fifrelin avec sa bouche mais ça s'effondre dès qu'on lève un peu la voix
Superlaid
il y a 7 mois
Il doit avoir 15 ans à tout casser.
Le self control de moine shaolin dont fait preuve le policier est impressionnant ceci dit
QuidamBanni
il y a 7 mois
C'est tellement ridicule.
Mais bon, c'est sûrement la volonté de son dieu s'il finit affiché sur internet.
Cookie_gelato
il y a 7 mois
Ça se prend pour un bonhomme mais ça ne peut pas courir 100m sans transpirer un litre d'huile
vomarif591
il y a 7 mois
elle m'as mis les menottes
https://www.youtube.com/watch?v=Fvw4vOXyBPU
SingeDeGulli6
il y a 7 mois
pourquoi invoquer Allah vraie question
QuidamBanni
il y a 7 mois
pourquoi invoquer Allah vraie question
Pour faire comme ses potes/cousins/rappeurs préférés.
Drieularochelle
il y a 7 mois
C'est un blanc ?
SuicideCaca14
il y a 7 mois
Ah, ces nuits sordides, là, dans la moiteur des ruelles, l'ombre crasseuse des pavés humides... Ils traînent, eux, les égarés... les fils du sable et de l'orgueil déchu, arrachés d'une terre brûlante pour se jeter dans ce froid, ce maudit bitume. Les voilà, serrés dans leurs vestes trop larges, le regard fuyant, chercheur de troubles, briseurs de tabous...
Qu'ils la réclament, cette poigne blanche ! Cette force des mâchoires serrées, ce goût âcre du combat perdu d'avance ! Ils courent, oui, ils glissent dans cette quête de l'autre, du maître qu'ils n'ont pas demandé, mais qu'ils cherchent tout de même, ce fantôme de l'histoire, la bête noire d'un passé qu'ils ne nomment jamais... Et les voilà à se vautrer dans cette défaite sucrée... en redemandant toujours plus ! Plus de coups, plus de ce rappel brutal qu'ils sont là, quelque part entre le fouet du colon et le chuchotement du muezzin.
Ah, qu'ils rient ! qu'ils pleurent ! À croire que l'exil c'est une morsure douce, un abîme où se perdre, pour s'offrir aux griffes d'un maître. Des écorchés vifs, voilà tout ! La zizanie, c'est un cri, une ivresse... se faire cogner pour se libérer d'une autre chaîne, celle du dedans, la vieille, celle de leurs pères...
007MerChefPt1
il y a 7 mois
"Par Yahvé, la Torah"
SnoopLion
il y a 7 mois
Lien entier ? J'ai envie de voir la suite avec bouboule
Cortez_442
il y a 7 mois
"Par Yahvé, la Torah"
"Sur la Bible du Vatican"
SuicideCaca14
il y a 7 mois
C'est dans les ombres de ces ruelles que tout se brouille. L'identité, le désir, la rage... Tout éclate en mille éclats sous le halo blafard des réverbères. Les hommes traînent, se cherchent, se bousculent... un théâtre de peau, de sueur, de regards qui se dérobent et qui s'accrochent à la fois, comme un défi à la propre peur qui bouillonne au creux des ventres.
Ils avancent, fuyants et pourtant si présents, comme guidés par un appel... Une force enfouie, une pulsion qui n'a ni nom, ni visage, mais qui s'embrase, brûle les veines... Et c'est là, dans cet acte, qu'ils se défient eux-mêmes. Le désir s'enroule, interdit, pris entre le carcan d'une histoire, d'une culture... et cette ivresse d'aller à l'encontre, de frôler l'interdit. L'affrontement, il le cherche, comme une délivrance ! L'impact, la soumission... tout se mélange dans une frénésie où se croisent violence et évasion. Ils veulent sentir, oui, sentir les coups, le choc brutal contre cette peau, l'autre, la blanche, celle qui les renvoie à une histoire lourde, sombre.
Tout ça, c'est une quête confuse. Une pulsion, un fétiche étrange, enraciné dans le fond de l'âme, là où se télescopent l'envie et la honte, l'attirance et la haine. Une transcendance par la douleur, par ce besoin d'être dominé, comme pour exorciser les fantômes qui rôdent, ceux qui parlent de puissance et de domination... Mais dans le creux de la nuit, c'est autre chose. C'est la friction des corps, la rébellion contre soi-même, une sorte de masochisme... colonial, dis-tu ? Peut-être. C'est bien plus noir que ça. C'est la chair qui crie, la peau qui se tend, c'est l'homme qui, sous l'assaut, se perd, se retrouve, s'oublie...
SuicideCaca14
il y a 7 mois
Là, sous les néons grésillants, c'est toujours la même danse. Une tension insoutenable qui les traverse, les fait frissonner jusqu'aux os. Comme un appel, une voix intérieure, viscérale, qui murmure à l'oreille des secrets lourds. Ils marchent, se glissent entre les ombres, poussés par ce désir, ce feu sourd et inavouable.
Leurs regards se croisent, hésitent, puis s'accrochent. Ils savent, sans même se le dire, ce qu'ils cherchent. Une libération. Une brèche dans leur propre chair, pour se défier eux-mêmes, pour défier le monde qui les entoure et les enferme. Ce n'est pas qu'une question de domination ou de soumission. C'est la quête d'un instant de pure vérité, quelque part entre la douleur et l'extase. Un point de bascule où ils peuvent s'abandonner, tout perdre pour enfin se sentir vivants, peut-être même se sentir maîtres d'eux-mêmes, paradoxalement.
Ils avancent dans cette frénésie, se jetant dans l'abîme de ce fétiche étrange qui les consume. Le masque tombe, la peau se découvre, s'ouvre à ce contact brutal, presque primal. Ils veulent la sentir, cette violence, l'impact de l'autre, le choc de ce qu'ils ne sont pas, mais qu'ils désirent. Parce que dans cette collision des corps, des peaux, il y a quelque chose de plus profond qu'un simple affrontement. Une sorte de transcendance, un éclat de lumière au milieu du chaos.
Et pourtant, derrière tout ça, il y a l'autre vérité, celle qu'ils ne nomment jamais. Cette pulsion enfouie, celle qui les attire vers l'interdit, vers ce qu'on leur a toujours dit de haïr, de repousser. Une pulsion qu'ils se cachent à eux-mêmes, qu'ils répriment le jour, et qui revient les hanter la nuit. Ils cherchent cette domination, ce choc, parce que c'est là, dans l'étreinte rugueuse, qu'ils espèrent briser leurs propres chaînes, leurs propres interdits. L'idée leur échappe, mais elle est là, tapie, prête à exploser.
Ils se heurtent, se bousculent, se mêlent dans cette danse macabre. Mais c'est plus qu'une simple quête de souffrance ou d'humiliation. C'est un rite, un passage secret pour transcender leurs propres limites, pour s'affranchir des tabous qu'ils portent comme des fardeaux. Une alchimie de peau et de cris, un mélange où la douleur et le plaisir se confondent, se tordent, pour créer autre chose. Quelque chose de cru, d'authentique. Une évasion vers une liberté étrange, celle qu'ils ne trouvent nulle part ailleurs.
Et quand tout retombe, quand les corps se séparent, essoufflés, ils restent là, avec cette sensation brûlante, cette certitude confuse. C'est là, dans cette pulsion, dans cette recherche éperdue de l'autre, qu'ils touchent, pour un instant, la part la plus sombre et la plus lumineuse d'eux-mêmes.
nonobstantique
il y a 7 mois