D'abord, il faut s'intéresser à la dynamique matriarcale, c'est-à-dire à ce qu'elle cherche réellement. Tu soulèves un point essentiel, voire fondamental, en affirmant qu'elle n'aime pas le sexe. Je dirais que c'est à la fois vrai et faux, selon la perspective adoptée.

Par ailleurs, il est important de noter que la vie, dans son essence, est une sorte de “boucherie” ultracompétitive, où seuls ceux qui maîtrisent l'art de s'adapter prospèrent. La technologie, en rendant certains aspects de l'existence plus simples et accessibles, a paradoxalement aliéné une partie de notre nature profonde.

Cela a aussi un impact sur leur esprit, perturbant leur capacité à exprimer leurs véritables ambitions. Leur comportement est influencé par des contradictions internes, où les instincts primaires sont parfois en décalage avec les exigences contemporaines.

Enfin, il est essentiel de comprendre que la reproduction ne se limite pas à une simple mécanique biologique. Elle est profondément liée à une quête de transmission génétique et, d'une certaine manière, à une aspiration à se réincarner dans une existence perçue comme plus noble ou accomplie.

Je continue ?