L'eau chaude glissait sur la peau chocolatée de Cindy, soulignant ses courbes pleines. À 1m53 pour 57 kilos, avec son bonnet F bombé dans son maillot deux-pièces noir à peine assez solide pour contenir sa poitrine, elle ne passait pas inaperçue.
Maxime, son mari, la suivait du regard, admiratif, mais silencieux.

Ils étaient venus se détendre, laissant les enfants au club enfant de l'établissement. Cindy riait, ses seins lourds frémissant à chaque mouvement. Elle adorait la sensation du tissu mouillé qui moulait ses tétons durcis par la chaleur.
Maxime, lui, restait en retrait, les mains dans l'eau, les yeux rivés sur elle.

C'est là qu'il l'a vu.
Un homme, la trentaine, athlétique, bronzé, tatoué sur l'épaule, la regardait avec insistance.
Cindy sentit ce regard sur elle et, d'abord, elle rougit. Puis, elle sourit timidement, croyant au hasard. Mais l'homme s'approcha, sans détour.

.Salut… Tu es magnifique, souffla-t-il assez fort pour couvrir les éclaboussures de la piscine.

Cindy, surprise, bafouilla un merci en riant.
Maxime vit tout. Il ne bougea pas, les jambes raides sous l'eau, son sexe déjà gonflé sous son maillot en voyant sa femme ainsi draguée.

L'homme se rapprocha encore, frôlant volontairement Cindy de l'épaule, plongeant ses yeux dans son décolleté.
Elle voulait protester… mais elle sentait ses tétons déjà dressés, ultrasensibles, cherchant l'attention qu'elle adorait tant recevoir.
Un frisson la parcourut, malgré elle.

.Tu veux venir aux vestiaires ? glissa l'inconnu, d'un ton sûr.
Un regard vers Maxime. Il ne disait rien. Il la regardait, lui donnant une étrange permission silencieuse.

Le cœur battant, entre peur, honte et excitation brutale, Cindy suivit l'homme.
Maxime les suivait, à quelques mètres.

Dans les vestiaires

L'homme poussa Cindy contre le mur froid des douches, l'embrassant sans attendre.
Ses mains glissèrent sur son maillot, agrippant ses seins lourds, pinçant ses tétons durs entre ses doigts, tirant dessus exactement comme elle aimait.