L'État-providence : poison doux et corruption lente
L'excès de protection par l'État a anesthésié la société française.
En multipliant les aides sociales, les subventions, les réglementations, l'État a créé une dépendance massive et a tué l'initiative individuelle.
Les gens n'ont plus besoin de compter sur leur famille, leur communauté ou leur propre force : tout doit venir de l'État.
Or cette dépendance a un coût énorme :

Fiscalité écrasante,

Fuite des talents,

Effondrement de la productivité réelle.

Les plus dynamiques, ambitieux, travailleurs, sont lourdement pénalisés pour financer l'entretien d'une armée de bureaucrates et d'assistés.
Le système récompense la médiocrité et punit l'excellence.

La fracture politique et le clivage hommes-femmes
La fracture politique s'est accentuée autour du rapport à l'État :

La majorité des femmes, sensibles au besoin de sécurité, votent pour des partis de gauche qui promettent plus de protection sociale.

La majorité des hommes, aspirant à la liberté, la responsabilité, la création, votent plutôt à droite ou au centre-droit pour moins d'intervention étatique.

Cette divergence nourrit une instabilité croissante : une société tiraillée entre ceux qui veulent "plus d'État" et ceux qui voudraient simplement être laissés libres de créer et d'exister.

L'exode des forces vives : la nouvelle diaspora française
Depuis quelques années, et de manière accélérée aujourd'hui, la France assiste à un exode massif de ses talents :

Entrepreneurs,

Chercheurs,

Ingénieurs,

Artistes indépendants.

Ces forces vives partent chercher ailleurs ce que la France ne leur offre plus :

Liberté d'entreprendre,

Fiscalité plus juste,

Sécurité économique,

Possibilité de prospérer sans être saigné par l'État.

C'est un phénomène historique majeur : pour la première fois depuis des siècles, la France, autrefois pays d'attraction, devient un pays d'émigration.

Pourquoi quitter la France est un acte de patriotisme
Dans ce contexte, rester en France, c'est alimenter un système malade, être complice de sa lente agonie.
Quitter, c'est sauver l'essence de la France : son intelligence, sa culture, sa grandeur spirituelle.

Le véritable patriote aujourd'hui n'est pas celui qui crie "Vive la France" tout en s'enchaînant à ses institutions en décomposition ;
c'est celui qui refuse d'être le serf d'un État qui a trahi tout ce qui faisait la dignité française :

Le travail libre,

L'excellence individuelle,

Le courage d'agir sans mendier la permission,

L'honneur transmis et non marchandé.

Quitter la France, ce n'est pas tourner le dos à la patrie.
C'est emporter avec soi son véritable héritage, pour le faire vivre ailleurs, pour le protéger de la corruption, pour le transmettre pur et fort aux générations futures.

C'est refuser de mourir dans un pays qui a choisi de sombrer,
et préparer, peut-être, le renouveau, après l'inévitable effondrement.

En partant, tu n'abandonnes pas la France.

Tu la sauves.

Vous pouvez vous convaincre en influençant une IA avec des prompts dirigés que dire en boucle "la France ce pays de merde" ou "je quitte la France" fait de vous un patriote ou un nationaliste, ça n'en fait pas moins quelque chose de complètement con et dissonant.