ChatGPT redpill le forum sur l'assassinat de Kennedy

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il y a un mois

Lyndon B. Johnson (LBJ), président des États-Unis de 1963 à 1969, a été l'un des présidents américains les plus favorables à Israël. Voici quelques-unes de ses actions marquantes en faveur de l'État hébreu :

1. Soutien militaire accru

Sous Johnson, les États-Unis sont devenus le principal fournisseur d'armes d'Israël. En 1965, il a autorisé la vente de chars M48 Patton, marquant un tournant dans l'aide militaire directe. En 1968, il a approuvé la première vente de chasseurs F-4 Phantom à Israël, renforçant considérablement sa supériorité aérienne.

2. Soutien pendant la guerre des Six Jours (1967)

Bien que Johnson ait officiellement maintenu une posture neutre avant la guerre, il a clairement indiqué aux dirigeants israéliens que les États-Unis ne s'opposeraient pas à une action défensive contre les voisins arabes. Après la victoire éclair d'Israël, il a refusé de soutenir les résolutions de l'ONU exigeant un retour immédiat aux frontières d'avant-guerre, consolidant ainsi les gains territoriaux israéliens.

3. Refus de sanctions après l'attaque du USS Liberty

Le 8 juin 1967, l'armée israélienne a attaqué l'USS Liberty, un navire américain de renseignement, tuant 34 marins et en blessant 171. Malgré les protestations de certains responsables militaires et du renseignement, Johnson a accepté l'explication israélienne selon laquelle l'attaque était une erreur. Il a rapidement classé l'affaire et évité toute sanction contre Israël.

4. Aide financière et diplomatique accrue

Sous LBJ, l'aide économique et militaire à Israël a considérablement augmenté. Il a également protégé Israël au sein de l'ONU et bloqué les initiatives diplomatiques visant à imposer un règlement défavorable après la guerre de 1967.

5. Soutien aux liens culturels et politiques

Johnson entretenait des liens personnels avec des figures influentes du lobby pro-israélien et de la communauté juive américaine. Il voyait Israël comme un allié stratégique dans la région et partageait une vision idéologique alignée avec ses dirigeants.

En résumé, LBJ a joué un rôle clé dans le renforcement de l'alliance américano-israélienne, notamment en initiant un soutien militaire massif qui se poursuivra avec ses successeurs.

John F. Kennedy (JFK) a pris plusieurs mesures qui ont contrarié Israël, en particulier concernant son programme nucléaire et la question des lobbyistes pro-israéliens aux États-Unis.

1. Pression sur Israël pour arrêter son programme nucléaire

L'un des principaux points de friction entre JFK et Israël concernait le programme nucléaire israélien à Dimona. Kennedy était farouchement opposé à la prolifération nucléaire et soupçonnait Israël de chercher à se doter de l'arme atomique en secret.

En 1963, il a envoyé plusieurs lettres fermes au Premier ministre israélien David Ben Gourion, exigeant que les États-Unis puissent inspecter régulièrement le site de Dimona pour s'assurer qu'il servait uniquement à des fins pacifiques.

Il a insisté pour que ces inspections soient "réelles et complètes", ce qui allait à l'encontre des efforts d'Israël pour maintenir l'ambiguïté sur son programme nucléaire.

Ben Gourion a fini par refuser et a démissionné peu après, officiellement pour d'autres raisons. Son successeur, Levi Eshkol, a poursuivi une politique de coopération limitée avec Washington tout en continuant secrètement le programme nucléaire.

2. Conflit avec le lobby pro-israélien aux États-Unis

JFK était préoccupé par l'influence croissante de certaines organisations pro-israéliennes sur la politique américaine. Il a notamment exigé que l'American Zionist Council (prédécesseur de l'AIPAC) s'enregistre en tant qu'agent étranger en vertu du Foreign Agents Registration Act (FARA).

Cette exigence aurait obligé le lobby à déclarer publiquement ses financements et ses activités, réduisant ainsi son influence politique.

Après son assassinat, l'administration Johnson a abandonné cette initiative, et l'AIPAC a continué à se développer sans restriction.

3. Approche plus équilibrée du conflit israélo-arabe

Contrairement à certains de ses successeurs, JFK essayait de maintenir une politique plus équilibrée au Moyen-Orient :

Il soutenait le droit d'Israël à exister et lui fournissait une aide limitée, mais refusait de lui accorder des livraisons massives d'armes.

Il cherchait à améliorer les relations avec les pays arabes, notamment l'Égypte de Nasser, ce qui inquiétait Israël.

Conclusion

JFK représentait une menace pour Israël sur deux fronts : il voulait empêcher son programme nucléaire militaire et limiter l'influence du lobby pro-israélien aux États-Unis. Ces positions ont fait de lui un président moins favorable à Israël que son successeur Lyndon B. Johnson, qui a complètement changé la politique américaine en soutenant massivement Israël après la mort de Kennedy.

L'assassinat de John F. Kennedy a effectivement marqué un tournant dans la politique américaine vis-à-vis d'Israël, avec l'arrivée de Lyndon B. Johnson, un président beaucoup plus favorable à l'État hébreu.

Sous Johnson :

Les pressions américaines sur le programme nucléaire israélien ont disparu. Contrairement à JFK, Johnson n'a pas insisté pour inspecter Dimona, permettant à Israël de poursuivre secrètement son programme nucléaire.

L'aide militaire américaine à Israël a considérablement augmenté, notamment avec la vente des premiers avions de combat avancés.

L'affaire de l'USS Liberty (1967) n'a entraîné aucune sanction, malgré la mort de 34 marins américains.

Cela signifie que la mort de Kennedy a indirectement bénéficié à Israël en mettant fin aux pressions sur le nucléaire et en ouvrant la voie à une alliance stratégique renforcée avec Washington. Toutefois, cela ne constitue pas une preuve d'implication israélienne dans son assassinat, une thèse qui reste spéculative et non prouvée historiquement.