Coup de tonnerre dans le monde du MMA : Benoît Saint-Denis, alias "God of War", a malheureusement dû déposer les armes lors de son dernier combat contre le Brésilien Renato Moicano. Mais que les fans se rassurent, il ne perd pas le nord. Profitant de sa récente défaite, BSD a signé un partenariat aussi surprenant qu'audacieux : il devient le visage officiel des anxiolytiques et autres petites pilules miracles produites par Biodim et Sanofi.

Une reconversion qui semble parfaitement taillée pour celui qui, après une performance plutôt mollassonne dans l'octogone, semble avoir trouvé une nouvelle vocation : incarner la zen attitude face aux uppercuts de la vie.

Après s'être incliné face à Moicano, Benoît Saint-Denis a rapidement tourné la page, déclarant en conférence de presse : « Ce combat m'a appris une chose : savoir lâcher prise. Littéralement. » Allongé sur le tapis au deuxième round, BSD n'a pas seulement perdu son combat, il a gagné une nouvelle perspective sur la gestion du stress et de l'anxiété. « Vous savez, l'important, ce n'est pas la chute, c'est de savoir se relever. Ou de prendre un petit Lysanxia pour se calmer. »

Selon les experts, cette défaite aurait inspiré son partenariat avec Biodim et Sanofi. Une source proche de l'affaire a même confié : « Après avoir vu Benoît se faire dominer avec une telle élégance, on s'est dit qu'il incarnait parfaitement l'état d'abandon total. C'était l'ambassadeur rêvé pour nos anxiolytiques. »

Avec sa nouvelle casquette de promoteur médical, Saint-Denis ne fait pas les choses à moitié. Dans une publicité récemment diffusée sur les réseaux sociaux, on le voit allongé sur un tapis de combat, la tête légèrement penchée, une boîte de Seresta à la main. Le slogan ? « God of War ou pas, parfois il faut savoir se poser. »

Interrogé sur ce choix, il a déclaré avec un sourire en coin : « Ce combat contre Moicano, c'était un vrai challenge. Mais vous savez quoi ? Avec un bon Victan 2 mg, je me sens beaucoup mieux. J'encourage tout le monde à essayer après une journée difficile ou une défaite cuisante. »

Pour ceux qui pourraient penser que BSD est devenu un homme brisé, détrompez-vous. Sa défaite n'est qu'un tremplin vers une carrière d'influenceur pharmaceutique. « J'ai peut-être perdu dans l'octogone, mais j'ai gagné la sérénité », a-t-il affirmé, les yeux mi-clos, comme sous l'effet d'un léger sédatif.

Et quelle sérénité ! Grâce à ce partenariat, il touchera désormais un pourcentage sur chaque boîte vendue. « En plus, ça marche pour tout le monde, pas seulement pour les combattants », ajoute-t-il. « Après une dispute avec votre patron ou une soirée où vous vous êtes fait balader comme moi dans la cage, un petit Seresta et ça repart. »