Je suis mort, décomposé, je gis putride et affable sur le sol de mon 12m², hurlant de terreur et de désespoir à chaque fois que je repense aux 19 années de ma vie offertes en sacrifice à la France. Mon corps rouillé par une vie de chaise est aussi raide qu'un mort, je ne pourrais jamais satisfaire une femme avec un déhanché inexistant. Rien à voir avec la puissance et la souplesse dansante des Africains, vivants et vifs, qui se déhanchent sur des rythmes endiablés avant de soumettre les chattes au rythme percutant de leurs hip thrust surpuissants.