D'un côté, placer le bon mot au bon moment (sans forcer), c'est l'assurance de faire mouche, d'asseoir sa crédibilité mais aussi d'exprimer son propos avec le plus d'acuité possible ; de l'autre, on a l'impression ce faisant de lui donner une arme pour l'avenir, en lui révélant l'existence d'un terme qui lui était jusqu'alors tenue secrète. On lui permet donc de s'améliorer, ce qui est tout de même embêtant

Ça me rappelle cette phrase du militant collaborationniste Michel Audiard que ressassaient les boomers : J'parle pas aux cons, ça les instruit

Une remarque à faire à ce sujet ?