Quand le jeu te fait clairement comprendre que t'es méchant si t'aides pas les réfugiés c'est pas woke peut-être ?

On en arrive toujours à "bon jeu=pas woke, mauvais jeu=woke" avec vous.

Le wokisme est sans conteste la cause principale des échecs que traverse l'industrie vidéoludique, peu importe ce qu'on en dit. Ce qui coule le secteur du jeux vidéo, c'est sa politique de recrutement axée uniquement sur la diversité et l'inclusion (DEI), où les compétences sont reléguées au second plan au profit du score ESG.
Résultat : ils recrutent n'importe qui, majoritairement des activistes plus intéressés par l'imposition de leur idéologie que par le jeu vidéo. Ces gens méprisent les joueurs, souvent des hommes Blancs hétéros peu enclins aux délires Progressistes alors que ce sont eux qui faisaient autrefois de cette culture une niche unique.

Ces militants n'ont rien à faire dans l'industrie du jeu vidéo ou dans la culture en général. Ils y ont vu une opportunité de diffuser leur propagande politique parce que cette industrie rapporte gros et attire une communauté massive. Mais en leur laissant carte blanche, on en arrive à l'effacement de tout ce qui faisait l'essence des jeux vidéo. Les vrais passionnés se retrouvent exclus de leur propre culture. Tout a commencé quand le jeu vidéo est devenu plus mainstream, avec des jeux de plus en plus faciles pour plaire à un public casual. Cette "casualisation" a entraîné des jeux à licence simplistes, avec des scénarios pauvres, un gameplay médiocre et une uniformisation flagrante. La tendance s'est accentuée au cours des dix dernières années, avec une politisation excessive : inclusivité forcée, diversité omniprésente, et des personnages définis uniquement par leur couleur de peau, leur genre ou leur orientation sexuelle, au détriment d'histoires bien construites.

Le wokisme est donc au cœur du problème du déclin qualitatif de l'écriture et de la créativité dans l'industrie du jeu vidéo actuelle.

Et ne vous y trompez pas, ça ne se limite pas à caser des non-Blancs, des homos ou des trans pour faire moderne. Non, ça va plus loin :
-Plus de choix qui risqueraient de bousculer ou de contredire le dogme arc-en-ciel.
-Fini les poitrines généreuses, les héroïnes doivent être plates comme des planches pour ne pas troubler les esprits chastes et complexer les femboys,traps, trans et filles n'ayant pas été gâtées par la loterie génétique..
-Les persos féminins ? Désormais androgynes ou franchement moches, histoire d'effacer toute trace de féminité.

À force de tout vouloir inclure, ils finissent par exclure tout le monde. Les joueuses qui rêvent d'incarner une héroïne avec du charisme et des formes ? Elles peuvent toujours courir, on leur sert des avatars qui ne leur ressemblent pas et qui ne font pas rêver. Tout ça pour ménager les pleurnichards qui s'évanouissent devant un décolleté.

Mes parents n'étaient pas zinzins au point de refuser que je voie un remake parce qu'eux-mêmes l'avaient déjà trop vu avant ma naissance, donc non

Je suis même pas trop puritain dans le fond, mais dans mes 10 premières heures de jeu, sans éxagérer, j'étais bien plus proche de Mektoub que de Babylon.
Et puis proposer du sexe à des animaux et autres...
Pourquoi certains vous voulez interdire le physique de certains persos de jeux mais à coté tolérer qu'un jeu permette la zoophilie, lequel est plus un problème pour vous ?

J'essaye juste d'être honnête. J'aime pas BG3, mais ça reste un excellent jeu RPG pour ceux qui recherchent ce type d'expérience. Le genre de jeu a faire une fois au moins.