Elle lance une entreprise 100% féminine: ça tourne mal
Gauliste
il y a 6 mois
CHEH, et une femme capitaliste reste une capitaliste.
Parmesan2CHatte
il y a 6 mois
ayaaaaaaaaaaa meme à mon travail (ingénierie) les SEULES embrouilles sont causées par les femmes bordel
bosser avec des femmes
Javier_Milei
il y a 6 mois
Nue-propriete a écrit :
Trop long à lire
-__Agent_47__-
il y a 6 mois
C'est sûr que ça tient difficilement dans une vidéo Tik Tok, mais les grandes lignes sont en gras
C'est surtout pas intéressant
FlambeauBanania
il y a 6 mois
l'auteur obligé de sortir un truc de 2009
chipsaufesse
il y a 6 mois
[15:48:11] <PNJ_7537>
C'est sûr que ça tient difficilement dans une vidéo Tik Tok, mais les grandes lignes sont en gras
Non juste qu'on a lu pas mal de topic avant + livre.
Parfois faut abréger kheys tes pas obligé de nous pondre une maxime
zehyel
il y a 6 mois
C'est deja visible au lycée quand t'as une classe composée d'une grosse majorité de femme. C'était sur que ce serait une mauvaise idée.
chipsaufesse
il y a 6 mois
[16:00:39] <Nnoita>
résumé point par point :Le rêve initial : Ancienne productrice exécutive à Los Angeles, elle quitte son job pour créer une entreprise utopique, une société de production 100 % féminine, libérée de la misogynie ambiante dans les médias.
Le choc de la réalité : Rapidement, le rêve se transforme en cauchemar. Rivalités, méchancetés, tensions sur la mode et les apparences, le tout exacerbée par une ambiance toxique.
Le passé qui revient : Ayant déjà été victime de harcèlement au lycée, elle aurait dû anticiper ces conflits, mais reste idéaliste.
Les divisions immédiates : Dès la première semaine, deux clans se forment, amplifiant les tensions au sein de l'équipe, jusqu'à des disputes quotidiennes.
L'obsession de l'apparence : Les vêtements et régimes deviennent des sujets de moqueries et de divisions, conduisant à une atmosphère compétitive et mesquine.
La désorganisation : La directrice générale, Sarah, refuse de gérer les conflits, tandis que les disputes éclatent sur tout et rien, y compris sur des détails insignifiants comme un sac ou des jeans similaires.
Les hormones et les drames personnels : Les problèmes de vie privée des employées prennent le pas sur le travail, les querelles se multiplient, notamment en lien avec les régimes et les relations amoureuses.
Le coup de grâce : L'embauche temporaire de réalisateurs masculins apaise les tensions, mais crée de nouvelles distractions. Les employées flirtent ouvertement, exacerbant les conflits internes.
La gestion défaillante : Les erreurs comptables et la mauvaise gestion de la directrice générale aggravent la situation. L'entreprise croule sous les dettes, et le manque de discipline permet aux disputes de prendre le dessus sur le travail.
L'effondrement : Malgré quelques succès professionnels, l'entreprise ne peut plus se maintenir. Entre la jalousie, les luttes intestines et les mauvais choix financiers, elle fait faillite en moins de deux ans.
La leçon amère : L'idéal féministe s'effondre. L'entrepreneuse conclut que l'absence d'hommes a nourri les rivalités destructrices. Finalement, elle se retrouve seule, sans la « sororité » espérée pour soutenir son rêve.
C'est un HP la
MedecinLegiste8
il y a 6 mois
Et après elles vont se demander pourquoi la terre entière et les religions majeures ont imposé des restrictions sociales strictes quant à leur souveraineté depuis la nuit des temps partout où l'homme a posé les pieds
liutehjurft
il y a 6 mois
Bordél la redpill ultime au final son expérience lui donne envie au contraire d'exclure les femmes .
Ça me fait penser à la meuf qui pensait que les hommes avaient une vie facile, a vécu un a dans la peau d'un homme pour un livre er a expérimenté un cauchemar sans fin (s'est même suicidée mais sûrement pour d'autres raisons)
Virgule54
il y a 6 mois
Ptdr j'ai tout Lu. SURPRENANT. Et si vous vous renseignez sur toutes les fois où les femmes ont tenter des choses sans nous, dans 90% des cas ça à fini comme ça.
Tireur_PanPan
il y a 6 mois