Ils ne parlent que des contraintes liées aux enfants, et aucunement des joies que cela procure. On sent beaucoup d'égoïsme dans ces arguments. Alors oui, c'est sûr, on est beaucoup plus libre, on peut faire ce que l'on veut quand on veut, avoir une carrière, mais quelle tristesse. Cela pose la question du sens de la vie. On peut tout a fait se réaliser en étant parent et s'épanouir. Mais bon, aujourd'hui, l'individualisme, le bien être personnel et son propre épanouissement sont devenus des valeurs cardinales… et il n'y a pas de place,pour des enfants dans ce schéma, car oui, des enfants, il faut s'en occuper, les éduquer, les accompagner, les soutenir, les entourer, jouer avec eux, leur apprendre à marcher, à faire du vélo, à nager… mais c'est ça la vie, c'est s'ouvrir aux autres, aux siens et fonder une famille, et non rester recroquevillé sur soi et profiter des petits plaisirs de la vie passagers. Et quel bonheur de voir ses enfants grandir et devenir des adultes. Alors, oui, bien sûr, l'époque n'est pas rose, mais quelle époque de l'histoire a été idéale?? Il faut arrêter de chercher des arguments fallacieux. Ne pas vouloir d'enfants peut s'expliquer. Mais quand on voit le désespoir de ceux qui en veulent et qui ne peuvent en avoir ou des personnes âgées qui sont seules sans enfant ni famille, ce n'est pas la panacée