classement de Shanghai ne mesure pas en premier lieu le prestige, ni vraiment la qualité de l'enseignement ou de l'encadrement pédagogique. Le classement mesure surtout la quantité (et plus ou moins la qualité) de papiers publiés par les équipes de recherches des universités classées. La performance des grandes universités américaines (et des fusions d'université et d écoles françaises réalisées de manière assez artificielle) s'explique ainsi en premier lieu par leur taille. Ainsi bien qu'ulm soit un des meilleurs endroit au monde où faire des maths (cf le nombre de médailles fields par rapport au nombre d é étudiants et aussi au nombre de candidats au concours d entrées en comparaison avec oxford Berkeley ou Princeton par exemple), ulm en tant que telle aurait probablement un classement très médiocre du fait de sa taille et de la quantité de papiers produites par ses petites équipes, à niter qu'ulm est actuellement classée non pas en tant que tel mais sous l'égide de la fusion sous le nom université PSL pour gagner en visibilité dans czs classements justement.

In fine le classement de Shanghai est un outil en premier non pas pour les étudiants qui souhaitent s'orienter mais pour les politiques et les chercheurs, afin de mesurer la performance de leurs institutions de RECHERCHE (et non d enseignement) sur la scène international pour les uns et afin d'identifier les universités où se trouvent les labos les plus productifs pour les autres.

Pour revenir sur la reconnaissance à l'international l' x ou les mines par exemple ont de bien meilleurs partenariats avec de grosses universités internationales que la fac de l'université paris saclay (mais CS qui fait partiti de l'UPS a de super partenariats aussi, mais dobt ne bénéficie que les étudiants de CS, pas les lambdas en licence /master de maths à l'ups)