J'ai montré l'existence

des métriques (le fait que lorsqu'on séquence le textes en amphibraque, la position de la syllabe finale tombe toujours au même endroit qu'une autre sur une structure de 2, 4, ou 6 lignes) pour presque tout le texte.

d'un saj' (le fait qu'un a soit le même nombre de terme par ligne soit 2 de différence, sur des strcture de 2 3 ou 4 lignes)

du fait que les plus anciennes sourates (si on suit l'ordre de 'Abd Allah ibn ul 'Abbas) n'utilisaient pas Allah mais Seigneur, sauf lorsqu'il s'agit de réfuter l'influence d'autres divinités. Les passages avec Allah qui ne servent pas à les réfuter dans celles-ci sont des ajouts.

du fait qu'il existait deux prononciations de l'arabe dans le Coran. Les sourates sont principalement en reconstruit (les finales brève non accentuées ne se prononce et la forme déterminée ne se contractent pas). Quelque sourates ont la forme proche de la fusHa qui est d'origine. Tout le Coran a été aligné sur la 2ème forme quelque part avant 680.

l'arabe reconstruit utilise souvent les mêmes consonnes à intervalle régulier, l'arabe proche de la fusHa les distinctions syllabe longue ou syllabe brève.

du fait que le Corna utilise les termes pour désigner les mêmes concepts à peu près à la même époque ce qui est utile pour savoir si toute une sourate est descendue en mêem temps.

du fait qu'il existait une traduction fait en Syrie possiblement dans la première moitié du 8ème siècle qui était capable de rendre le texte précis et compréhensible.

On peut ajouter que l'arabe fusHa est pas le seul attesté dans les manuscrits (mais bon cet aspect vient pas de moi).