Je vais lister les arguments de ceux qui sont contre la pr*stituti*n et les arguments pour, et vous allez essayer d'y répondre en toute franchise (je ne prends pas parti moi-même, bien que n'étant pas client), si c'est fait avec courtoisie ça pourrait être un dialogue intéressant

- Pour les abolos, vendre son corps (et non pas "un service", car pour eux parler de service revient à jouer sur les mots) est en soi, intrinsèquement, un traumatisme. Le processus de dissociation produit lors d'un V est aussi à l'œuvre dans ce cas.

- Pour les abolos toujours, si une esc le fait pour des raisons économiques, alors elle est contrainte (de même qu'un ouvrier est contraint par le contrat qui le lie au patron et sans lequel il ne peut manger), donc même si le client n'a pas de mauvaises intentions, il participe à une dynamique d'aliénation

- enfin, on ne sait pas quels types de réseaux sont derrières. Pour celles de nationalité française et qui sont caucasiennes pourquoi pas, mais pour les colombiennes ou les russes il peut y avoir des trafics liés aux armes ou à la drogue, et on ne sait pas quelle somme exacte touche l'esc (pcq le macdo prend la plus value)

- Pour ceux qui sont pour, les esc indépendantes sont certes rares mais pas autant qu'on le pense. Elles seraient simplement pragmatique et offriraient aux vieux, aux types trop pris par le boulot et au puceaux un moyen de prendre du plaisir tout en facturant parfois cher leur services.

- Entre celles qui ne prennent que les plus de 30 ans, celles qui ne font que de la domination et celles dont les lilas de bases sont de 150 voir 180, certains se demandent, là dedans, où est l'aliénation. Ainsi, la prestati*n passe d'un V subit dans la vision des abolos à un simple mauvais un peu chiant à passer dans la vision des tolérants/clients.

- En plus, quand on écoute les vocaroo de certains kheys, on a l'impression que le moment passé est sincère, sans prise de tête mais non sans une exigence de respect et de sécurité de la part de ces femmes.
Voilà, à vous maintenant