C'est ce que je pense perso mais,

Franchement, la question du racisme entre les bobos et les prolos , c'est hyper complexe parce que ça touche pas juste à des préjugés mais aussi à des dynamiques sociales. Les bobos, souvent éduqués et urbains, peuvent avoir un discours plus inclusif en surface, mais parfois ça sonne faux. Genre, ils vont afficher un soutien théorique à la diversité mais rarement s'impliquer quand ça les dérange dans leur quotidien ou leur confort. C'est le fameux « pas dans mon jardin ».

De l'autre côté, chez les prolos, c'est plus frontal parce que les classes populaires sont en première ligne des conflits pour les ressources (emplois, logements, etc.), ce qui alimente des tensions directes avec les minorités. Mais faut pas non plus les réduire à ça, y'a aussi plein de solidarité sur le terrain, surtout dans des milieux où les gens vivent ensemble et partagent les mêmes galères.

Au final, le racisme prend des formes différentes selon les milieux : symbolique chez les bobos, matériel chez les prolos. Mais ce qui est sûr, c'est que les deux restent influencés par un système global qui maintient des inégalités. Bref, au lieu de s'opposer sur qui est le « pire », on devrait réfléchir à comment sortir de ces schémas-là ensemble.