Étude: Les pratiques éducatives des familles migrantes maghrébines : éducation ou maltraitance ?

OP
D1

desat12683

il y a 6 mois

Tout ce qui est écrit ci-dessous sont des extraits de l'étude disponible en cliquant sur le lien

https://shs.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2010-3-page-107?lang=fr

Les pratiques éducatives des familles migrantes maghrébines : éducation ou maltraitance ?

Les essais anthropologiques et psychologiques (Zerdoumi, 1970 ; Bendahman, 1984 ; Boucebci, 1993) montrent que l'éducation de l'enfant dans les sociétés maghrébines s'effectue sur un mode assez répressif. Dans le processus de socialisation de l'enfant, cette éducation répressive intervient très tôt, dès l'âge de 2 ou 3 ans, ce qui correspond à l'avènement du sevrage, qui met un terme à une relation mère-enfant très fusionnelle. À partir de cet âge, va débuter une socialisation « sérieuse » au cours de laquelle l'éducation sera marquée par une conduite répressive visant à remettre l'enfant à sa place chaque fois qu'il se conduit ou qu'il agit « mal ».

La socialisation de l'enfant s'effectue donc en ayant recours aux châtiments corporels et aux corrections physiques. Ces pratiques, légitimées par tous (chefs de famille, parents d'élèves, maîtres d'écoles…), sont tolérées en fonction du principe que « frapper permet de mieux éduquer », également en accord avec le principe de la souffrance maturante (on devient un véritable homme quand on a expérimenté les privations, la douleur et la violence), et enfin dans le but de construire l'enfant parfait.

OP
D1

desat12683

il y a 6 mois


Tout ce qui est écrit ci-dessous sont des extraits de l'étude disponible en cliquant sur le lien

https://shs.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2010-3-page-107?lang=fr

Les pratiques éducatives des familles migrantes maghrébines : éducation ou maltraitance ?

Les essais anthropologiques et psychologiques (Zerdoumi, 1970 ; Bendahman, 1984 ; Boucebci, 1993) montrent que l'éducation de l'enfant dans les sociétés maghrébines s'effectue sur un mode assez répressif. Dans le processus de socialisation de l'enfant, cette éducation répressive intervient très tôt, dès l'âge de 2 ou 3 ans, ce qui correspond à l'avènement du sevrage, qui met un terme à une relation mère-enfant très fusionnelle. À partir de cet âge, va débuter une socialisation « sérieuse » au cours de laquelle l'éducation sera marquée par une conduite répressive visant à remettre l'enfant à sa place chaque fois qu'il se conduit ou qu'il agit « mal ».

La socialisation de l'enfant s'effectue donc en ayant recours aux châtiments corporels et aux corrections physiques. Ces pratiques, légitimées par tous (chefs de famille, parents d'élèves, maîtres d'écoles…), sont tolérées en fonction du principe que « frapper permet de mieux éduquer », également en accord avec le principe de la souffrance maturante (on devient un véritable homme quand on a expérimenté les privations, la douleur et la violence), et enfin dans le but de construire l'enfant parfait.

Pourquoi je suis bannie alors que je ne sais que citer des extraits d'une étude d'une revue scientifique?

TA

tatagertrude

il y a 6 mois


Tout ce qui est écrit ci-dessous sont des extraits de l'étude disponible en cliquant sur le lien

https://shs.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2010-3-page-107?lang=fr

Les pratiques éducatives des familles migrantes maghrébines : éducation ou maltraitance ?

Les essais anthropologiques et psychologiques (Zerdoumi, 1970 ; Bendahman, 1984 ; Boucebci, 1993) montrent que l'éducation de l'enfant dans les sociétés maghrébines s'effectue sur un mode assez répressif. Dans le processus de socialisation de l'enfant, cette éducation répressive intervient très tôt, dès l'âge de 2 ou 3 ans, ce qui correspond à l'avènement du sevrage, qui met un terme à une relation mère-enfant très fusionnelle. À partir de cet âge, va débuter une socialisation « sérieuse » au cours de laquelle l'éducation sera marquée par une conduite répressive visant à remettre l'enfant à sa place chaque fois qu'il se conduit ou qu'il agit « mal ».

La socialisation de l'enfant s'effectue donc en ayant recours aux châtiments corporels et aux corrections physiques. Ces pratiques, légitimées par tous (chefs de famille, parents d'élèves, maîtres d'écoles…), sont tolérées en fonction du principe que « frapper permet de mieux éduquer », également en accord avec le principe de la souffrance maturante (on devient un véritable homme quand on a expérimenté les privations, la douleur et la violence), et enfin dans le but de construire l'enfant parfait.

Mec arrete de forcer tes topics racistes.

P3

Pangolin33ieme

il y a 6 mois

Ceci explique cela.

OP
D1

desat12683

il y a 6 mois


Ceci explique cela.

Je la fille qui a fait un topic sur sa mère marocaine, j'ai été signalée et bannie par des maghrébins rageux quand j'ai dit que l'éducation basé sur l'ultra violence était répandue chez les maghrébins.