Les générations plus âgées, comme les Boomers et la Génération X, pouvaient "descendre" dans des groupes d'âge plus jeunes pour des relations, mais la Génération Z n'aura pas cette option en raison du faible nombre de jeunes.

À mesure que l'âge moyen de la population augmente (ex : 32,3 ans en 1960 vs 42,3 ans en 2025 en France), les jeunes sont de plus en plus infantilisés. Autrefois, un jeune de 20 ans était considéré comme un adulte ; aujourd'hui, il est vu comme un "garçon" ou une "fille" parce que les générations plus âgées dominent la culture.

Il y a aujourd'hui plus d'hommes de 40 ans que de femmes de 20 ans, rendant ces dernières socialement précieuses. Cette rareté, accentuée par l'hypersexualisation culturelle, entraîne un réflexe collectif de protection et une perception d'“intouchabilité”, surtout vis-à-vis des hommes plus âgés, désormais marginalisés.

Autrefois, les écarts d'âge étaient socialement acceptés, mais la rareté des jeunes femmes les rend aujourd'hui plus “protégées” et convoitées. Cela crée une tension entre les préférences biologiques masculines et les normes modernes, souvent influencées par le ressentiment ou la compétition entre générations.

Exemple : https://x.com/pandershirts/status/1907325185075691659

La société condamne certaines relations tout en tolérant des pratiques plus controversées (pornographie, hookup culture), révélant une morale incohérente dictée par des facteurs démographiques plus que par des principes éthiques clairs.

La véritable norme pour l'éthique sexuelle devrait être l'intention de procréer et de former des partenariats de vie. Le "casual sex" est moins moral qu'un jeune homme courtisant une jeune fille avec l'implication des parents et l'intention de se marier.