fabien ROUSSEL "Il faut SUPPRIMER le RSA en séparant les travailleurs des CASSOS"
la-ligne-jaune
il y a 24 jours
DDB52
il y a 24 jours
vapecoins2
il y a 24 jours
barbarinpremier
il y a 24 jours
Roussel un des hommes de gauches les plus populaires pour qui personne ne veut voter
mais oui go supprimer le rsa ça enrichira la france vitesse grand V si on peut tous les faires bosser
Juicy_
il y a 24 jours
PornFou2
il y a 24 jours
Les cocos qui deviennent ultra libéraux
Sous le régime de Joseph Staline (1924-1953), l'idéologie soviétique valorisait le travail comme un devoir absolu envers l'État, et toute forme de chômage ou d'inactivité était considérée comme une menace pour le système. Voici comment les personnes perçues comme "oisives" (comme les bénéficiaires du RSA, un concept inexistant à l'époque) auraient probablement été traitées :
1. **Criminalisation de l'« oisiveté »** :
Les lois soviétiques criminalisaient le « parasitisme social », défini comme le refus de travailler sans raison valable (maladie, handicap, etc.). Les personnes sans emploi risquaient des peines de prison, des amendes, ou des travaux forcés. Sous Staline, cette répression était encore plus sévère, avec une tolérance zéro pour ceux jugés "asociaux".
2. **Travail obligatoire** :
Le chômage était officiellement éliminé dans les statistiques soviétiques dès les années 1930. Les citoyens étaient assignés à des emplois par l'État, et refuser un travail pouvait entraîner des accusations de sabotage ou de trahison. Les "RSAistes" auraient été contraints de travailler, souvent dans des conditions extrêmes (chantiers, usines, kolkhozes).
3. **Répression politique** :
Sous Staline, les marginaux ou les critiques du système étaient fréquemment accusés d'être des "ennemis du peuple" et déportés au Goulag ou exécutés. Une personne vivant des aides de l'État sans contribuer à l'économie planifiée aurait pu être assimilée à un "saboteur" ou un "contre-révolutionnaire".
4. **Absence de système de protection sociale** :
Le RSA, comme toute aide sociale non liée au travail, était inconcevable en URSS stalinienne. Les seules aides existantes (logement, nourriture) dépendaient de l'emploi ou de la loyauté politique. Les personnes incapables de travailler (handicapés, etc.) étaient souvent marginalisées ou cachées.
5. **Propagande et dénonciation** :
La société était encouragée à dénoncer les "parasites". Les voisins, collègues ou même la famille pouvaient signaler une personne oisive, déclenchant des enquêtes du NKVD (police politique).
- En résumé** : Les bénéficiaires d'aides sociales comme le RSA auraient été perçus comme des criminels ou des traîtres, soumis au travail forcé, à la prison, ou pire. Le concept même de "droit à l'assistance" sans contrepartie était incompatible avec l'idéologie stalinienne, qui prônait l'exploitation totale de l'individu au service de l'État.
Laa_Poukave
il y a 24 jours
irazmar102
il y a 24 jours
Ah bah si il a mangé du crabe alors..
Wissier
il y a 23 jours
PhallusAJeanMi2
il y a 23 jours
Covid19Plague
il y a 23 jours
Bus-driver
il y a 23 jours
FoulcherXXIV
il y a 23 jours
Neo-XXV
il y a 23 jours
Sous le régime de Joseph Staline (1924-1953), l'idéologie soviétique valorisait le travail comme un devoir absolu envers l'État, et toute forme de chômage ou d'inactivité était considérée comme une menace pour le système. Voici comment les personnes perçues comme "oisives" (comme les bénéficiaires du RSA, un concept inexistant à l'époque) auraient probablement été traitées :
1. **Criminalisation de l'« oisiveté »** :
Les lois soviétiques criminalisaient le « parasitisme social », défini comme le refus de travailler sans raison valable (maladie, handicap, etc.). Les personnes sans emploi risquaient des peines de prison, des amendes, ou des travaux forcés. Sous Staline, cette répression était encore plus sévère, avec une tolérance zéro pour ceux jugés "asociaux".2. **Travail obligatoire** :
Le chômage était officiellement éliminé dans les statistiques soviétiques dès les années 1930. Les citoyens étaient assignés à des emplois par l'État, et refuser un travail pouvait entraîner des accusations de sabotage ou de trahison. Les "RSAistes" auraient été contraints de travailler, souvent dans des conditions extrêmes (chantiers, usines, kolkhozes).3. **Répression politique** :
Sous Staline, les marginaux ou les critiques du système étaient fréquemment accusés d'être des "ennemis du peuple" et déportés au Goulag ou exécutés. Une personne vivant des aides de l'État sans contribuer à l'économie planifiée aurait pu être assimilée à un "saboteur" ou un "contre-révolutionnaire".4. **Absence de système de protection sociale** :
Le RSA, comme toute aide sociale non liée au travail, était inconcevable en URSS stalinienne. Les seules aides existantes (logement, nourriture) dépendaient de l'emploi ou de la loyauté politique. Les personnes incapables de travailler (handicapés, etc.) étaient souvent marginalisées ou cachées.5. **Propagande et dénonciation** :
La société était encouragée à dénoncer les "parasites". Les voisins, collègues ou même la famille pouvaient signaler une personne oisive, déclenchant des enquêtes du NKVD (police politique).
- En résumé** : Les bénéficiaires d'aides sociales comme le RSA auraient été perçus comme des criminels ou des traîtres, soumis au travail forcé, à la prison, ou pire. Le concept même de "droit à l'assistance" sans contrepartie était incompatible avec l'idéologie stalinienne, qui prônait l'exploitation totale de l'individu au service de l'État.
Ce pavé, c'est exactement la France d'aujourd'hui !
ProprioRentier
il y a 23 jours
En vrai, ça serait mieux que tout le monde ait un travail au minimum au smic plutôt que le RSA mais faut être réaliste dans notre système capitaliste actuel avec l'IA et les progrès technologiques on a de moins en moins besoin de salariés... Suffit de voir le nombre de gens au chômage sur les réseaux sociaux qui envoient des centaines de cv qui ont des bac +5 et qui au mieux finissent caissière chez Kiabi ou ne trouvent rien du tout.
Et encore dans quelques années ça va être encore pire le chômage, ll est juste hors sols et veut gratter à droite vu qu'il est finito Depuis les legislative.
On notera aussi qu'il a fait un des plus mauvais score de l'histoire du pcf au dernière présidentielle, ce mec est un énorme tocard
Cata-Segurana
il y a 23 jours
FoulcherXXIV
il y a 23 jours
En une semaine de formation ils remplacent un ingénieur thermonucléaire
Neo-XXV
il y a 23 jours
Et encore dans quelques années ça va être encore pire le chômage, ll est juste hors sols et veut gratter à droite vu qu'il est finito Depuis les legislative.
On notera aussi qu'il a fait un des plus mauvais score de l'histoire du pcf au dernière présidentielle, ce mec est un énorme tocard
Le "score" des partis dépend de leur perception par les électeurs.
Si le RN est aux portes du pouvoir, grâce à l'apport des Français de tous bords, il y a des raisons qu'il faudrait savoir traiter.
foufouse
il y a 23 jours
Sous le régime de Joseph Staline (1924-1953), l'idéologie soviétique valorisait le travail comme un devoir absolu envers l'État, et toute forme de chômage ou d'inactivité était considérée comme une menace pour le système. Voici comment les personnes perçues comme "oisives" (comme les bénéficiaires du RSA, un concept inexistant à l'époque) auraient probablement été traitées :
1. **Criminalisation de l'« oisiveté »** :
Les lois soviétiques criminalisaient le « parasitisme social », défini comme le refus de travailler sans raison valable (maladie, handicap, etc.). Les personnes sans emploi risquaient des peines de prison, des amendes, ou des travaux forcés. Sous Staline, cette répression était encore plus sévère, avec une tolérance zéro pour ceux jugés "asociaux".2. **Travail obligatoire** :
Le chômage était officiellement éliminé dans les statistiques soviétiques dès les années 1930. Les citoyens étaient assignés à des emplois par l'État, et refuser un travail pouvait entraîner des accusations de sabotage ou de trahison. Les "RSAistes" auraient été contraints de travailler, souvent dans des conditions extrêmes (chantiers, usines, kolkhozes).3. **Répression politique** :
Sous Staline, les marginaux ou les critiques du système étaient fréquemment accusés d'être des "ennemis du peuple" et déportés au Goulag ou exécutés. Une personne vivant des aides de l'État sans contribuer à l'économie planifiée aurait pu être assimilée à un "saboteur" ou un "contre-révolutionnaire".4. **Absence de système de protection sociale** :
Le RSA, comme toute aide sociale non liée au travail, était inconcevable en URSS stalinienne. Les seules aides existantes (logement, nourriture) dépendaient de l'emploi ou de la loyauté politique. Les personnes incapables de travailler (handicapés, etc.) étaient souvent marginalisées ou cachées.5. **Propagande et dénonciation** :
La société était encouragée à dénoncer les "parasites". Les voisins, collègues ou même la famille pouvaient signaler une personne oisive, déclenchant des enquêtes du NKVD (police politique).
- En résumé** : Les bénéficiaires d'aides sociales comme le RSA auraient été perçus comme des criminels ou des traîtres, soumis au travail forcé, à la prison, ou pire. Le concept même de "droit à l'assistance" sans contrepartie était incompatible avec l'idéologie stalinienne, qui prônait l'exploitation totale de l'individu au service de l'État.
Humiliation en bonne et due forme pour les branleurs socialistes du fofo.
ProprioRentier
il y a 23 jours
Le "score" des partis dépend de leur perception par les électeurs.
Si le RN est aux portes du pouvoir, grâce à l'apport des Français de tous bords, il y a des raisons qu'il faudrait savoir traiter.
A savoir ? Tu dis ça comme ci c'était une évidence mais il le semble qu les maux sont multiples.
Et la perception du pcf actuel c'est celle d'un demago de droite, parce que proposé de mettre fin au rsa sans avoir le moindre plan pour le chômage c'est pas autre chose que de la démagogie
TruffeAVulve
il y a 23 jours
ENFIN la gauche renaîtrait elle de ses cendres ?
La seule gauche qui peut gagner c'est la gauche des TRAVAILLEURS
Simeonlpapillon
il y a 23 jours
Il a raison, Roussel soutient les petits travailleurs malmenés, pas les assistés rsaiste
TemnityCestovat
il y a 23 jours
Il est au courant que la France est rempli de chômeurs et qu'il y'a un problème au niveau de l'emploi ?
Shambler_2
il y a 23 jours
Le plus gros parasite c'est l'Etat hein
Revivid3
il y a 23 jours
Les cocos qui deviennent ultra libéraux
Le coco qui veut l'universalisme sans contrepartie (travail) c'est deja une incohérence en soit
Joemeek
il y a 23 jours
Difficile de lui donner tord
Du verbe tordre ?
Revivid3
il y a 23 jours
Le plus gros parasite c'est l'Etat hein
Jean Luc Mélenchon, multimillionnaire, 8k/m, retraite tradive à 20k/m, jamais travaillé de sa vie et toi ?
RangerFou
il y a 23 jours
Il est au courant que la France est rempli de chômeurs et qu'il y'a un problème au niveau de l'emploi ?
Le problème réside dans l'éducation de notre pays et certaines lois libérales qui ont finis par détruire la fonction publique en avantageant beaucoup trop le privé
Revivid3
il y a 23 jours
Le problème réside dans l'éducation de notre pays et certaines lois libérales qui ont finis par détruire la fonction publique en avantageant beaucoup trop le privé
Les fameuses loi libérales dans le pays le plus imposé au monde
Ganjadadread
il y a 23 jours
Roussel, le seul gars de gauche pour qui j'ai envie de voter.
Ça devient rare les gens de gauches qui pensent aux travailleurs en premier.
Tsukino-Mito
il y a 23 jours
Je ne comprends pas pourquoi, si on ne travaille pas, on est automatiquement mis comme cassos
Y a des gens qui ont des soucis et qui ne sont pas du tout dans ces cas archétype, je pense en faire partie.
Après, c'est sur que mon cas est loin de représenter peut-être une généralité, mais bon
Les casos pour moi, je vois ça comme une famille qui dépense tout ou c'est bruyant ou ça crie tout le temps c'est tout ce que je déteste
LeChatSuke
il y a 23 jours
Bon allez petit atelier.
Les retraites cette année vont coûter un tout petit peu moins de 500 milliards. Il y a deux indexations sur l'inflation par an.
Les retraites sont financées à 70% par les cotisations des actifs à un taux qu'on peut qualifier de confiscatoire. Cet argent est perdu, rien ne dit qu'il sera récupéré par ceux qui cotisent. Une partie de cet argent par à l'étranger ou dans l'épargne.
Les retraités sont de mémoire 17 millions en France.
Maintenant, les bénéficiaires du RSA sont environ 2 000 000, et ça coûte environ 12 milliards par an de leur verser une aide. Les chiffres sont difficiles à trouver, donc doublons le pour se donner une excellente marge de sécurité.
Il en découle que :
- En France, s'en prendre au RSA, c'est s'attirer les faveurs du faible nombre d'actifs dont la paie est supérieure au smic, ainsi que celles des retraités, car ce sont respectivement les personnes qui paient le plus et qui ont le moins de risque d'en avoir besoin d'un côté, et de l'autre les personnes qui sont les plus moralement conservatrices en moyenne
- En France, défendre les retraites, actuelles ou avant réformette de Macron, c'est défendre la création de dettes qui seront remboursées toutes nos vies en plus de devoir cotiser, ce qui augmente nécessairement les impôts
Maintenant on peut se dire "les rsaistes sont des cassos il faut les punir ou s'en débarrasser", et je suis d'accord. Sauf que ça doit être fait de manière pragmatique. En investissant massivement dans l'armée, l'éducation et la santé pour assurer un avenir à notre beau pays, des emplois tu en créés pas mal, tu ouvres des opportunités en récupérant nos intérêts étrangers. Donc au lieu de chercher à voir comment s'en prendre à 2 000 000 de personnes on peut peut-être chercher comment on les rend utile, y en a plein qui veulent bosser mais qui ne sont pas dans la configuration pour, et pour les autres on peut toujours voir comment on fait.
Mais ces investissements, ça nécessite de revoir comment on dépenser pour les vieux.
Les trois plus gros budgets c'est la dette, la retraite, la santé.
La dette se crée depuis plus de 40 ans principalement pour financer les budgets manquants, dans lesquels l'état pioche pour financer chaque année 100 milliards de retraite.
La santé c'est à 60% nos retraités qui chargent le budget.
JeBriseDesCuls
il y a 23 jours
Metter lui sa muselière
ProprioRentier
il y a 23 jours
Ça devient rare les gens de gauches qui pensent aux travailleurs en premier.
La droite étant pour les boomers retraités (voir tout les derniers votes à l'assemblé) , y'a juste personne pour la classe moyenne.
Et c'est certainement pas un demago comme lui, sans projet concret, qui va changer la donne
barbarussss
il y a 23 jours
Le problème avec ce genre de gars, qui en plus est partisan et fait de la politique. C'est qu'il dénonce mais n'apporte aucune solution et il n'en apporteras aucune.
C'est bien on supprime le RSA et on va faire cela et on va faire ceci. Faut il encore avoir les moyens de faire ce qu'il envisage.
C'est pas lui qui va créer du vrai emploi, il parle dans le vide.
Enfin c'est marrant de voir ce genre de gars traiter une partie de la population de cassos alors qu'il na jamais rien produit d'utile de sa vie.
VanDerBarbe
il y a 23 jours

KOL301
il y a 23 jours
Les cassos ce sont les golems qui acceptent de sacrifier leurs vies au travail. Cet homme est dangereux.
cloupinpinzaaq3
il y a 23 jours
Roussel un des hommes de gauches les plus populaires pour qui personne ne veut votermais oui go supprimer le rsa ça enrichira la france vitesse grand V si on peut tous les faires bosser
il surjoue l'anti melenchon il est aimé que par le figaro et hanouna.
Dobby-KheyenOr
il y a 24 jours