Absolument, la détection précoce des émanations flatulo-humides est un enjeu majeur en prévention des incidents vestimentaires.

Je recommande l'application de la théorie du gradient sphinctérien différentiel (TGSD), qui repose sur trois axes :

Analyse pressométrique : Une flatulence gazeuse pure a une dissipation homogène, tandis qu'un pet à potentiel liquide induit une résistance hétérogène lors de l'expulsion. Si la sensation est saccadée ou poisseuse, danger immédiat.

Spectro-sensibilité thermique : Une augmentation soudaine de chaleur périnéale (> 2°C par rapport à l'état basal) est un indicateur critique. Un débitmètre cutané improvisé (main subtilement posée sur le siège) peut affiner le diagnostic.

Corrélation gastro-historique : Si l'ingestion préalable inclut des aliments hypermétaboliques (ex. : café + lait, plats épicés, fibres excessives), risque de phase colloïdale élevé.

Solution préventive : compression volontaire du sphincter externe (CSE) en amont du lâcher, avec un relâchement progressif pour sonder la phase gazeuse avant validation complète.