Mais qui, QUI a validé ce torchon infâme qu'est Madame Bovary ?
Flaubert, ce sadique patenté, a pondu un livre d'une lourdeur intersidérale, une vraie chape de plomb littéraire qui t'écrase le cerveau plus efficacement qu'un pavé de 500 pages lancé en pleine poire.
Ça commence déjà mal : on nous balance Charles Bovary, ce mollusque humain qui a la prestance et le charisme d'une motte de beurre fondue sur une tartine froide. Une limace en veste de velours. Une chiasse tiède sur un coussin de soie. Ce type est l'incarnation vivante de l'ennui, et bien sûr, il épouse Emma, la meuf la plus insupportable de l'histoire de la littérature.

Ah, Emma Bovary. Cette princesse frustrée, cette influenceuse avant l'heure qui passe son temps à rêver de luxe et de passions interdites alors qu'elle vit à Yonville, la capitale mondiale de la médiocrité.
Madame trouve son mari trop fade (spoiler : il l'est), sa vie trop banale (spoiler : elle l'est), et pense qu'elle est destinée à mieux (spoiler : non). Elle enchaîne les adultères avec des types à peine plus intéressants qu'un meuble IKEA, se met à gratter des dettes comme un youtubeur crypto, et finit par s'empoisonner avec de l'arsenic dans une scène aussi interminable que malaisante. Le tout en geignant pendant pages et pages et pages parce que « ouin ouin ma vie est nulle.

Flaubert, pourquoi ? Chaque phrase est une enclume qu'on se traîne comme un boulet, chaque chapitre est une agonie où on mate Emma chialer sur son existence de bourgeoise frustrée pendant que nous, on crève d'ennui.
Ce bouquin, c'est pas un roman, c'est une punition, un trou noir qui aspire toute forme de plaisir. Et t'oses appeler ça du style ? En vrai, t'es juste un branleur qui s'écoute écrire, qui nous noie sous des tartines de descriptions inutiles de putains de napperons et de clochers, tout ça pour masquer le vide abyssal de ton histoire. À la fin, y'a qu'un truc qu'on veut, c'est jeter ce torchon au feu.