[HARRY POTTER] Dumbledore, Le Maître de la Mort
SKWIZOS
il y a 4 mois
Salut jaxtaylor9
captain_cid31
il y a 4 mois
SKWIZOS
il y a 4 mois
Salut jaxtaylor9
Ça peut pas être lui, y a pas d'interview de Bourdin
BanInjustifie41
il y a 4 mois
Salut jaxtaylor9
Il est sur le topic effectivement
BanInjustifie41
il y a 4 mois
Broulette
il y a 4 mois
gpalu + ousontlesstickersissou
BanInjustifie41
il y a 4 mois
gpalu + ousontlesstickersissou
Pas de stickers…
PseudoBanni738
il y a 4 mois
J'ai immédiatement pensé à la vengeance de Malfoy, et j'ai été déçu que ça ne soit pas une suite spirituelle à ce chef d'œuvre.
Une œuvre comme ça, on n'en voit peut-être qu'une dans notre vie.
Niveale
il y a 4 mois
Amusant et bien écrit.
Par contre quand Dumbledore se dévoile à la foule, on devrait s'attendre à une première réaction de sidération suivie d'exaltation. On ne comprend pas pourquoi il n'y a pas des liesses et pourquoi Ginny s'adresse à lui en colère. Même si son aura est menaçante, sa résurrection devrait être instinctivement questionnée et acclamée.
Niveale
il y a 4 mois
Des répétitions et des formulations qui me font penser au style de Rowling moi pour le coup.
J'aime bien en tout cas, je mets le topic dans mes favoris. Je me demande qui parviendra à renverser cet Empereur Blanc.
Ce n'est pas du tout son style.
BanInjustifie41
il y a 4 mois
Amusant et bien écrit.Par contre quand Dumbledore se dévoile à la foule, on devrait s'attendre à une première réaction de sidération suivie d'exaltation. On ne comprend pas pourquoi il n'y a pas des liesses et pourquoi Ginny s'adresse à lui en colère. Même si son aura est menaçante, sa résurrection devrait être instinctivement questionnée et acclamée.
Pour plusieurs raisons, quand tu te fais passer pour mort pour revenir comme une fleur les gens vont pas hurler de joie, en plus ça se voit sur sa gueule que c'est plus le même Dumbledore, il a l'air menaçant
BanInjustifie41
il y a 4 mois
Et en plus il sous-entends qu'il vient de tuer Harry, Ron et Hermione
BanInjustifie41
il y a 4 mois
- L'Empire se dévoile
L'aube se levait sur Londres, baignant la Tamise d'une lueur blafarde. Du haut de la tour la plus haute de Poudlard, Dumbledore contemplait les premières lueurs du jour à travers ses yeux désormais entièrement noirs. Sa cape d'ombre ondulait doucement autour de lui, comme animée d'une vie propre.
"Il est temps," murmura-t-il en caressant la Pierre de Résurrection à son doigt.
Dans la cour en contrebas, ses partisans étaient rassemblés en formation. Des centaines de sorciers en robes blanches, leurs visages masqués d'or, attendaient ses ordres. Entre leurs rangs flottaient les spectres - des générations de sorciers morts, maintenant forcés de servir l'Empire.
Dumbledore transplana au milieu d'eux dans un tourbillon d'ombres. "Mes fidèles," sa voix résonna avec une puissance surnaturelle, "aujourd'hui, nous sortons de l'ombre."
Il leva la Baguette de Sureau. Une carte éthérée de Londres se matérialisa au-dessus de la foule, des points lumineux marquant leurs cibles.
"Équipe Alpha - Buckingham Palace. Équipe Beta - Westminster. Équipe Gamma - Whitehall. Les spectres vous accompagneront. Pas de massacre inutile - nous venons en libérateurs, pas en bouchers."
Les sorciers se divisèrent en groupes, chacun mené par un lieutenant choisi. Yaxley, ancien Mangemort repenti, dirigerait l'assaut sur Buckingham. Percy Weasley, converti à la cause de l'Empire, mènerait l'attaque sur Westminster.
À Buckingham Palace, les gardes royaux en uniforme rouge effectuaient leur relève matinale quand le ciel s'assombrit brutalement. Les spectres apparurent en premier - des silhouettes argentées traversant les murs comme s'ils n'existaient pas. Les soldats eurent à peine le temps de donner l'alerte.
Les sorts commencèrent à pleuvoir. Les balles traversaient les spectres sans effet, pendant que les sorciers de l'Empire désarmaient méthodiquement les défenseurs. Des éclairs rouges de Stupéfix illuminaient les couloirs ornés du palais.
Dans la salle du trône, la famille royale fut évacuée par des tunnels secrets, mais Yaxley avait prévu cette éventualité. Des sorciers les attendaient déjà aux points de sortie, leurs baguettes prêtes.
À Westminster, la résistance fut plus farouche. Les forces spéciales britanniques, équipées de gilets pare-balles et de fusils d'assaut, tenaient leurs positions autour du Parlement. Percy coordonnait l'assaut avec une efficacité clinique.
"Boucliers en formation!" ordonna-t-il. Les sorts de protection scintillèrent, formant une barrière impénétrable contre les balles.
Les hélicoptères de combat qui survolaient la zone furent neutralisés par des sortilèges de confusion, leurs pilotes soudain incapables de distinguer le haut du bas. Les véhicules blindés qui arrivaient en renfort se transformèrent en blocs de glace sous l'effet de sortilèges de gel.
Au 10 Downing Street, le Premier Ministre - qui connaissait l'existence du monde magique - tentait désespérément de coordonner une réponse. Ses appels au Ministre de la Magie restaient sans réponse, ignorant que le Ministère était déjà tombé.
Dans les rues, la panique se répandait. Les Moldus fuyaient devant les spectres et les sorciers masqués. Les caméras de surveillance captaient des images impossibles - des hommes volant sur des balais, des éclairs de lumière changeant des voitures en troupeaux de moutons, des fantômes traversant les murs.
À Whitehall, centre névralgique du gouvernement britannique, les forces spéciales du MI5 utilisaient des armes expérimentales - des balles en uranium appauvri, des grenades à impulsion électromagnétique. Mais même ces technologies avancées se révélaient inefficaces contre la magie pure.
Les spectres s'infiltraient partout, paralysant les défenseurs de terreur. Comment combattre des ennemis que les balles traversent ? Comment résister à des adversaires qui peuvent apparaître et disparaître à volonté ?
Dans le chaos, certains Moldus tentaient de filmer la scène avec leurs téléphones. Les images, bien que floues et instables, commençaient déjà à circuler sur internet. Le secret magique se désagrégeait en temps réel.
À midi, Londres était sous contrôle. Les principaux centres de pouvoir moldus étaient entre les mains de l'Empire. Les prisonniers - politiciens, officiers, membres de la famille royale - furent rassemblés dans le Grand Hall de Westminster.
Dumbledore apparut devant eux dans toute sa terrible majesté, les Reliques de la Mort irradiant de puissance.
"Vos armes sont impressionnantes," dit-il aux leaders moldus terrifiés, "mais la magie est au-delà de votre compréhension actuelle. Nous ne venons pas en conquérants, mais en guides. Sous notre direction, vos sociétés atteindront des sommets que vous n'auriez jamais imaginés."
Ses yeux noirs balayèrent l'assemblée. "Résister serait futile. Embrassez le changement, et vous prospérerez dans le nouvel ordre."
À l'extérieur, ses partisans commençaient déjà à établir des périmètres de contrôle, mélangeant habilement sortilèges de confusion et démonstrations de puissance. Les Moldus ordinaires seraient progressivement habitués à la présence de la magie, leurs mémoires subtilement modifiées pour accepter la nouvelle réalité.
L'Empire Sorcier venait de faire son premier pas vers la domination mondiale. Et ce n'était que le début.
Dans son bureau à Poudlard, Dumbledore observait les rapports qui arrivaient. Ses yeux noirs se posèrent sur une carte du monde. Grande-Bretagne n'était que le commencement. Paris, Berlin, Rome, Washington... Bientôt, le monde entier connaîtrait la guidance de l'Empire.
"Pour le plus grand bien," murmura-t-il, tandis que sa cape d'ombre s'agitait d'anticipation.
BanInjustifie41
il y a 4 mois
J'aimerai bien faire une suite où une résistance se forme, composée de sorciers et de moldus, et dans cette suite ils tentent de fabriquer un retourneur de temps pour aller combattre Dumbledore dans le passé
BanInjustifie41
il y a 4 mois
BanInjustifie41
il y a 4 mois
BanInjustifie41
il y a 4 mois
Le Dernier Jugement
Les derniers bastions de résistance s'étaient regroupés dans les montagnes des Carpates. Une alliance improbable de sorciers et de Moldus, unis dans un dernier espoir de renverser l'Empire. Les forces spéciales américaines côtoyaient les Aurors russes, les chamans tibétains collaboraient avec les hackers chinois. Leur base, dissimulée par des sortilèges anciens et des technologies de pointe, était leur ultime refuge.
Nicolas Flamel, sorti de sa retraite, avait créé un réseau de résistance mondial. Son expérience millénaire leur avait permis de tenir trois ans face à l'expansion de l'Empire. Mais aujourd'hui, tout allait se terminer.
"Il arrive," murmura Flamel, ses yeux ancestraux fixés sur l'horizon.
Le ciel s'assombrit brusquement, comme si un voile de ténèbres recouvrait le monde. Les détecteurs moldus s'affolèrent, leurs écrans grésillant sous l'effet d'une puissance magique sans précédent.
Dumbledore apparut, mais ce n'était plus l'homme qu'ils avaient connu. Les Horcruxes l'avaient transformé. Sa peau était d'une pâleur de craie, ses yeux entièrement noirs semblaient absorber la lumière. La Cape d'Invisibilité corrompue flottait autour de lui comme des lambeaux de nuit vivante. La Baguette de Sureau pulsait d'une énergie verdâtre malsaine, et la Pierre de Résurrection à son doigt brillait d'un éclat mortel.
"Nicolas," sa voix résonna comme un glas, "mon vieil ami. Toujours à défier l'inévitable."
"Tu as perverti tout ce que la magie représente, Albus," répondit Flamel en s'avançant. "La Pierre Philosophale n'était rien comparée à ta folie."
L'armée des spectres se matérialisa autour de Dumbledore - des milliers d'âmes asservies, forcées de combattre pour leur maître. Parmi eux, Harry, Ron et Hermione, leurs visages fantomatiques figés dans une expression de douleur éternelle.
Les forces combinées de la résistance se mirent en position. Les snipers moldus armés de balles en argent pur prirent position. Les sorciers commencèrent leurs incantations. Les chamans entonnèrent leurs chants anciens.
"Une dernière chance," offrit Dumbledore. "Rejoignez-moi. Construisons ensemble un monde unifié."
"Un monde d'esclaves," cracha Flamel. "MAINTENANT!"
L'attaque fut synchronisée avec une précision millimétrique. Les balles en argent fusèrent, enchantées par les plus puissants sortilèges. Des missiles guidés par magie fendirent l'air. Des malédictions anciennes comme le monde illuminèrent le ciel.
La cape de Dumbledore absorba la première vague comme un puits sans fond. La Baguette de Sureau traça des arcs mortels, transformant les missiles en nuées d'oiseaux métalliques qui se retournèrent contre leurs créateurs.
Les spectres se lancèrent à l'assaut, traversant les lignes de défense comme une marée argentée. Les soldats moldus, malgré leur entraînement, hurlaient face à ces ennemis intangibles. Les sorciers tentaient de les repousser avec des Patronus, mais la Pierre de Résurrection leur donnait une puissance terrifiante.
Flamel activa son dernier recours - une version modifiée de la Pierre Philosophale, conçue pour annuler l'immortalité plutôt que la créer. L'artefact pulsa d'une lumière dorée, forçant momentanément les spectres à reculer.
"La Pierre Philosophale," sourit Dumbledore. "Ton plus grand succès... et ta plus grande erreur."
D'un geste de la Baguette de Sureau, il transmuta l'air lui-même en poison. Les combattants moldus s'effondrèrent, suffoquant. Les sorciers conjurèrent des Têtes-en-Bulle, mais l'assaut spectral redoubla d'intensité.
"Tu ne comprends pas," dit Dumbledore en avançant inexorablement. "J'ai transcendé la mort elle-même. Je suis devenu ce que la magie a toujours été destinée à créer."
Les défenses tombaient une à une. Les technologies moldues, même augmentées par la magie, ne pouvaient rien contre le pouvoir des Reliques corrompues. Les sortilèges les plus puissants étaient absorbés par la cape d'ombre.
Dans un dernier acte désespéré, Flamel tenta de retourner les spectres contre leur maître. La Pierre Philosophale modifiée brilla d'un éclat aveuglant, touchant les âmes tourmentées.
Pendant un instant, le spectre d'Harry sembla se libérer. Ses yeux retrouvèrent leur éclat. "Professeur..." murmura-t-il, "vous nous avez tous trahis..."
Mais la Pierre de Résurrection pulsa, et les spectres retombèrent sous le contrôle de Dumbledore. La Cape d'Invisibilité s'enroula autour de Flamel comme un linceul d'ombre.
"L'immortalité était une quête futile, mon vieil ami," dit doucement Dumbledore. "La vraie puissance réside dans l'acceptation de la mort... et sa maîtrise."
La Baguette de Sureau s'illumina une dernière fois. Nicolas Flamel, le plus ancien des sorciers, s'effondra. Son corps se désagrégea en poussière dorée, ses siècles d'existence rattrapés en un instant.
Les derniers résistants furent rapidement submergés. Certains se rendirent, d'autres choisirent une fin plus définitive. Le soleil se coucha sur un monde unifié - un empire où la magie et la technologie coexisteraient sous la direction d'un seul maître.
Dans son palais de Poudlard, l'Empereur Blanc contempla son œuvre. Les Horcruxes pulsaient doucement, alimentés par les âmes des sacrifiés. Sa cape d'ombre dansait autour de lui comme des ailes de ténèbres.
Les spectres de ceux qu'il avait aimés - Arianna, Harry, même Abelforth - flottaient silencieusement dans les coins sombres, témoins éternels de son triomphe. Dans ses yeux noirs se reflétait non pas la folie, mais une terrible certitude.
Le plus grand bien avait été accompli. L'humanité serait guidée vers un avenir nouveau, qu'elle le veuille ou non. Et l'Empereur Blanc régnerait pour l'éternité, Maître de la Mort, architecte d'un monde unifié sous la bannière de la magie.
Car tel était le destin qu'il avait choisi, le prix qu'il avait accepté de payer. Les ténèbres n'étaient pas venues des profondeurs du mal, mais des hauteurs de la lumière elle-même, corrompue par l'ambition de créer un monde parfait.
Le soleil se coucha sur une nouvelle ère. L'Empire était éternel. Le plus grand bien avait triomphé.
Fin
BanInjustifie41
il y a 4 mois
Voilà c'est terminé
BanInjustifie41
il y a 4 mois
BanInjustifie41
il y a 4 mois
- Le Dernier Secret
Le bureau circulaire était plongé dans la pénombre, uniquement éclairé par la lueur argentée de la Pensine et les derniers rayons du soleil couchant. Harry, Ron et Hermione se tenaient côte à côte, leurs baguettes pointées vers une silhouette familière qu'ils n'auraient jamais dû revoir.
"C'est impossible..." murmura Harry, "Vous êtes mort."
Albus Dumbledore se tenait devant eux, plus vivant que jamais, un sourire énigmatique aux lèvres. Ses yeux bleus ne pétillaient plus derrière ses lunettes en demi-lune - ils brillaient d'une lueur glaciale.
"La mort, Harry... n'est qu'une illusion pour ceux qui savent la manipuler," répondit-il calmement.
Hermione serra sa baguette plus fort. "Comment...?"
"Miss Granger, toujours aussi perspicace. Comment, en effet..." Dumbledore fit quelques pas, caressant distraitement le perchoir vide de Fumseck. "Pendant des années, vous tous avez joué exactement les rôles que je vous avais assignés. Tom Elvis Jedusor n'était que mon plus beau tour de magie - une marionnette parfaite."
"Vous mentez!" cria Ron. "Voldemort a tué des centaines de personnes!"
"Pour le plus grand bien, Monsieur Weasley." Le sourire de Dumbledore s'élargit. "Il fallait un monstre, une menace si terrible que personne ne verrait l'architecte derrière le chaos. Pendant que tous les regards étaient tournés vers lui, je poursuivais ma véritable quête."
Harry sentit un frisson glacé parcourir son échine. "Les Reliques..."
"Enfin, tu comprends Harry. Les Reliques de la Mort... le véritable pouvoir." Dumbledore sortit la Baguette de Sureau. "J'ai passé ma vie à les réunir. Et maintenant, grâce à vous trois, je vais pouvoir accomplir ce que même Grindelwald n'avait pas osé imaginer."
"Vous êtes fou," souffla Hermione.
"Non, Miss Granger. Je suis le plus grand Mage Blanc que ce monde ait connu. Et avec les Reliques comme Horcruxes..." Ses yeux brillèrent d'une lueur démente. "Je deviendrai véritablement le Maître de la Mort."
Les trois amis levèrent leurs baguettes simultanément, mais Dumbledore était plus rapide. Beaucoup plus rapide.
"Je suis désolé, mes enfants. Vraiment désolé. Mais c'est pour le plus grand bien."
La lumière verte illumina le bureau. Dans leurs derniers instants, Harry, Ron et Hermione virent le masque bienveillant de leur ancien mentor se briser, révélant enfin son véritable visage - celui du plus grand manipulateur que le monde magique ait jamais connu.
"Avada Kedavra!"
Le sort frappa les trois amis en même temps, et leurs corps s'effondrèrent silencieusement sur le sol du bureau. Dumbledore observa la scène avec une expression indéchiffrable, puis se tourna vers les Reliques posées sur son bureau.
"Et maintenant," murmura-t-il, "commence mon véritable règne."
DevonKelt06
il y a 4 mois
Peu après la sortie de l'ordre du phénix, j'avais lu une fanfic où Hermione était enceinte de Voldemort et donnait les détails de la conception à Harry
Bah ta fanfic est 100x foisnon en vrai y a de l'idée c'est sympa
Envoie le lien
BanInjustifie41
il y a 4 mois
Envoie le lien
Y'en a qui ont des fantasmes bizarres pour écrire ça…
BanInjustifie41
il y a 4 mois
BanInjustifie41
il y a 4 mois
- Le Héros et l'Empereur
Un craquement sec retentit dans le ciel au-dessus de Poudlard. Une silhouette chauve en costume jaune et cape blanche atterrit doucement dans la cour principale, regardant autour de lui avec un air profondément ennuyé.
"Donc c'est ça, une école de magie?" marmonna Saitama en se grattant la joue. "Ça a l'air moins fun que dans les mangas..."
Les spectres invoqués par la Pierre de Résurrection encerclèrent immédiatement l'intrus, leurs formes argentées ondulant de manière menaçante. Saitama les regarda avec curiosité.
"Oh, des fantômes. Cool."
La cape d'ombre de Dumbledore serpenta dans l'air avant que l'Empereur Blanc lui-même n'apparaisse, ses yeux noirs fixés sur le nouvel arrivant.
"Un Moldu qui peut voler?" s'interrogea Dumbledore. "Intéressant."
"Je suis juste un héros pour le fun," répondit Saitama en haussant les épaules. "On m'a dit qu'un type super puissant contrôlait tout ici, alors je suis venu voir."
Les Reliques de la Mort pulsèrent d'une énergie malsaine tandis que Dumbledore évaluait son adversaire. "La puissance prend de nombreuses formes, mon ami. Mais la magie..."
Il n'eut pas le temps de finir sa phrase. Saitama était soudainement devant lui, poing levé.
"Coup normal."
La cape d'ombre s'interposa, absorbant l'impact comme elle avait absorbé tant d'autres attaques. Mais cette fois, quelque chose était différent. Une onde de choc déchira l'air, pulvérisant les vitres du château sur des centaines de mètres.
Dumbledore recula, réellement surpris pour la première fois depuis qu'il était devenu le Maître de la Mort. Sa cape était intacte, mais il avait *senti* le coup.
"Impressionnant," murmura-t-il. "Mais insuffisant."
La Baguette de Sureau traça des arcs mortels dans l'air, envoyant des rafales de sorts plus puissants que tout ce que le monde magique avait jamais vu. Saitama les esquiva tous avec une expression d'ennui croissant.
"C'est tout?"
Les yeux de Dumbledore se plissèrent. La Pierre de Résurrection brilla, invoquant une armée de spectres - tous les grands sorciers de l'histoire, tous les guerriers tombés au combat.
"Même la mort me sert désormais."
Saitama regarda les fantômes l'encercler. "Ok."
D'un mouvement si rapide qu'il sembla instantané, il frappa l'air devant lui. La simple pression de l'air dissipa tous les spectres comme de la fumée dans le vent.
Pour la première fois depuis qu'il avait créé ses Horcruxes, Dumbledore ressentit quelque chose qui ressemblait à de la peur. Les Reliques pulsaient frénétiquement, sentant la menace.
"Tu ne comprends pas," dit-il en déployant toute sa puissance. "Je suis devenu plus qu'un homme. Je suis la Mort elle-même!"
Sa cape d'ombre engloutit tout, transformant le jour en nuit. La Baguette de Sureau canalisa assez d'énergie pour raser une ville. La Pierre de Résurrection brillait comme une étoile noire.
Saitama se gratta l'oreille. "Tu parles beaucoup."
"AVADA KED-"
"Série de coups sérieux."
Le monde sembla s'arrêter un instant. Puis la réalité elle-même parut se déchirer sous l'assaut de milliers de coups portés en une fraction de seconde.
La cape d'ombre fut déchiquetée.
La Baguette de Sureau se brisa.
La Pierre de Résurrection vola en éclats.
Dumbledore, l'Empereur Blanc, le Maître de la Mort, regarda avec incrédulité les fragments de son pouvoir s'éparpiller dans le vent.
"Comment...?"
"C'était nul," soupira Saitama. "Je pensais que la magie serait plus impressionnante."
Il se détourna, ignorant l'ancien plus grand sorcier du monde qui s'effondrait, ses Horcruxes détruits, son immortalité brisée par la simple force physique d'un homme chauve en costume jaune.
"Je me demande s'il reste des soldes chez le marchand de légumes..."
Et ainsi se termina le règne de l'Empire Sorcier, non pas dans un duel épique de magie et de pouvoir, mais face à un héros qui cherchait juste un peu de distraction.
Quelque part dans l'au-delà, trois amis regardaient la scène avec des expressions mi-amusées, mi-incrédules. Le plus grand Mage Blanc de l'histoire, vaincu par un type qui faisait ça "pour le fun".
DevonKelt06
il y a 4 mois
En tout cas c'est plutôt quali et je valide l'idée du retourneur de temps
BanInjustifie41
il y a 4 mois
En tout cas c'est plutôt quali et je valide l'idée du retourneur de temps
Après je veux pas que ça finisse non plus avec la résistance qui bute bêtement Dumbledore dans le passé et basta
MaryseLepen3
il y a 4 mois
Bon les puceaux il s'agirait d'arrêter vos fan fictions sur Harry Potter
BanInjustifie41
il y a 4 mois
Bon les puceaux il s'agirait d'arrêter vos fan fictions sur Harry Potter
Ta gueule
Niveale
il y a 4 mois
Pour plusieurs raisons, quand tu te fais passer pour mort pour revenir comme une fleur les gens vont pas hurler de joie, en plus ça se voit sur sa gueule que c'est plus le même Dumbledore, il a l'air menaçant
Pas crédible.
BanInjustifie41
il y a 4 mois
- L'Ange contre l'Empereur
Le ciel de Londres s'illumina soudain d'une lueur dorée inhabituelle. Ce n'était ni la magie des sorciers, ni les technologies moldues. Du haut de sa tour à Poudlard, Dumbledore sentit immédiatement que quelque chose d'extraordinaire venait de percer les défenses de son Empire.
Une femme venait d'apparaître au milieu de Trafalgar Square, vêtue d'un tailleur bleu ciel. Ses boucles blondes dansaient dans une brise inexistante. Son apparition fut accompagnée d'un tintement cristallin qui fit lever la tête aux spectres qui patrouillaient la zone.
"Tut tut tut," murmura Joséphine en observant les changements que l'Empire avait apportés à Londres. "Ça ne va pas du tout, ça."
Les sorciers en robes blanches s'approchèrent, baguettes levées. Les sorts qu'ils lancèrent traversèrent l'ange gardien comme si elle n'était qu'un mirage. Elle claqua des doigts, et les masques dorés des partisans de l'Empire se transformèrent en masques de clown.
"Un peu d'humour ne fait jamais de mal," sourit-elle.
Dans sa tour, Dumbledore observait la scène à travers les yeux de ses spectres. La cape d'ombre autour de lui s'agita, sentant une puissance qu'elle ne pouvait comprendre.
"Intéressant," murmura-t-il. "Très intéressant."
Il transplana directement sur la place. Sa présence fit fuir les pigeons et les derniers badauds moldus qui observaient la scène. Les Reliques de la Mort pulsaient d'une énergie malsaine autour de lui.
"Je ne crois pas que nous ayons été présentés," dit-il de sa voix douce qui cachait tant de dangers.
"Joséphine, ange gardien," répondit-elle avec un sourire lumineux. "Et vous devez être celui qui cause tant de soucis par ici."
Les yeux noirs de Dumbledore brillèrent d'amusement. "Un ange? Fascinant. Venez-vous nous apporter la bénédiction divine sur notre Empire?"
"Oh non," répondit Joséphine en secouant la tête. "Je suis là pour vous aider, Albus. Vous avez perdu votre chemin."
La cape d'ombre s'étendit comme un nuage toxique, mais la lueur dorée qui entourait Joséphine ne faiblit pas. Les spectres invoqués par la Pierre de Résurrection tentèrent de l'encercler, mais ils semblaient incapables de s'approcher trop près.
"M'aider?" Le sourire de Dumbledore devint glacial. "J'ai transcendé le besoin d'aide. Je suis devenu ce que je devais être."
"Non," dit doucement Joséphine. "Vous êtes devenu ce que vous aviez juré de combattre. Regardez."
Elle claqua des doigts, et soudain l'air se remplit d'images - des souvenirs. Le jeune Albus avec Ariana, ses premiers jours d'enseignement, les moments de joie pure à guider ses élèves. La lumière dans ses yeux quand il parlait de bonbons au citron.
"Le passé est mort," gronda Dumbledore, balayant les images d'un geste de la Baguette de Sureau.
"Le passé n'est jamais mort tant qu'on s'en souvient," répondit Joséphine. Elle fit un autre geste, et d'autres images apparurent - Harry, Ron et Hermione riant dans la Grande Salle, les yeux pétillants de malice de l'ancien Dumbledore, l'amour qu'il portait à ses élèves.
La Pierre de Résurrection se mit à vibrer violemment. Les spectres s'agitèrent, comme troublés par ces rappels d'humanité.
"Assez!" La voix de Dumbledore tonna comme le tonnerre. Les Reliques de la Mort brillèrent d'une lueur verdâtre malsaine. "Je suis au-delà de ces faiblesses maintenant!"
"L'amour n'est pas une faiblesse, Albus," dit doucement Joséphine. "C'est la plus grande force qui soit. Vous le saviez, avant."
Elle s'approcha, ignorant les ombres qui tentaient de l'agripper. Sa lumière dorée semblait plus forte à chaque pas.
"N'approchez pas!" Pour la première fois, il y avait une note de peur dans la voix de l'Empereur.
"Vous ne pouvez pas me blesser," sourit Joséphine. "Je ne suis pas là pour vous combattre, mais pour vous rappeler qui vous étiez. Qui vous êtes vraiment."
Elle tendit la main, touchant doucement la joue de Dumbledore. Au contact, les ténèbres dans ses yeux vacillèrent.
"Le plus grand bien," murmura-t-elle, "ne vient pas du pouvoir ou du contrôle. Il vient de l'amour, du sacrifice, de la bonté. Vous le savez, Albus. Vous l'avez toujours su."
Les Reliques tremblaient maintenant, comme en résonance avec le conflit qui faisait rage dans l'âme de leur maître. Les fragments d'âme emprisonnés dans les Horcruxes hurlaient, sentant leur emprise faiblir.
"Je... je ne peux pas revenir en arrière," murmura Dumbledore, sa voix soudain plus humaine. "J'ai fait des choses..."
"On peut toujours revenir quand on s'est égaré," répondit doucement Joséphine. "Il suffit de faire le premier pas."
Elle claqua une dernière fois des doigts, et une image finale apparut - celle d'Ariana, souriante, tendant les bras vers son frère.
Une unique larme coula sur la joue de l'Empereur Blanc. Là où elle toucha le sol, une fleur perça le béton - un lys blanc, pur et lumineux.
Les ombres se dissipèrent lentement. Les spectres s'évanouirent. Et dans les yeux d'Albus Dumbledore, derrière les ténèbres des Horcruxes, une étincelle bleue commença à briller à nouveau.
Joséphine sourit, sachant que sa mission était accomplie. Le plus dur restait à faire, mais le premier pas était fait. L'Empereur avait commencé à se souvenir de l'homme qu'il était.
"Tut tut tut," murmura-t-elle en disparaissant dans un tintement de clochettes, laissant derrière elle un Dumbledore changé, contemplant le lys blanc qui avait percé à travers les ténèbres de son règne.
Le plus grand bien, peut-être, commençait par le plus petit acte de bonté.
Roi_Macron_Ier
il y a 4 mois
Le mec a même pas la décence d'écrire un synopsis avant, non il nous pond ses pavés de merde que personne ne lit à la gueule
BanInjustifie41
il y a 4 mois
Le mec a même pas la décence d'écrire un synopsis avant, non il nous pond ses pavés de merde que personne ne lit à la gueule
Synopsis : Dumbledore n'est pas mort dans la tour d'Astronomie, il s'est fait passer pour mort pour revenir au bon moment afin d'entreprendre le projet de sa vie : Transformer les Reliques de la Mort en Horcruxes puis dominer le monde magique et moldu
Roi_Macron_Ier
il y a 4 mois
Synopsis : Dumbledore n'est pas mort dans la tour d'Astronomie, il s'est fait passer pour mort pour revenir au bon moment afin d'entreprendre le projet de sa vie : Transformer les Reliques de la Mort en Horcruxes puis dominer le monde magique et moldu
Pas crédible avec les réelles ambitions et motivations de Dumbledor, je lis pas
BanInjustifie41
il y a 4 mois
Pas crédible avec les réelles ambitions et motivations de Dumbledor, je lis pas
Bah si ? Dans sa jeunesse il voulait littéralement dominer le monde magique et moldu, comme un dictateur éclairé
BanInjustifie41
il y a 4 mois
J'annonce, à la fin de l'œuvre Dumbledore est plus puissant que Thanos
Boumboboumbo
il y a 4 mois