HURLER de RAGE et d'AIGREUR en s'HABILLANT pour se RENDRE dans le TARTARE SALARIAL
trou2gloire
il y a 13 jours
RifsonCockLover
il y a 13 jours
3k d'économies ? À 42 ans en CDI ? Remets-toi en question khey
Beaucoup de blédard sont dans la même situation, on est extrémement précaire
RifsonCockLover
il y a 13 jours
Et encore t'as pas d'enfants qui te rappellent que tu n'as pas le droit de flancher
J'ai aucun filet de sureté, si je flanche c'est l'avion vers le bled ou le sdf dream
DormirZebi
il y a 13 jours
CarraVonNolnnnn
il y a 13 jours
Demain tout recommence, le boulot de merde, le salaire de misère, l'oppression par les manageurs, le pissage de code sans fin, rentrer chez toi à 20h le soir, la misère sexuelle, la pucellerie à 25 ans, tous les petits plaisirs de la vie qui perdent leur goût face à l'abysse immonde et visqueuse qu'est devenue ta vie.
TOUT ÇA parce que tu as eu le malheur de demander une prépa MPSI sur APB. Et maintenant tu le payes de ta vie, tu as enfin compris que tu as fauté par ton orgueil en croyant valoir mieux que les autres et que l'Éternel t'a frappé de la damnation terrestre, la pire qu'un être humain puisse envisager: être un sale ingesclave.
Tu portes dans ton âme les stigmates de 3 années d'études dans la fournaise infernale qu'est l'école d'ingénieur, dévorée par les flammes des pulsions sexuelles inassouvies de ses occupants et déchirée par les hurlements de folie des anciens élèves aliénés par un boulot de merde dans le conseil.
Tu subis la solitude glaciale réservée réservée par la société à cette sous-caste intouchable que représente l'ingénieur. Tu seras coincé dans un hiver sentimental toujours à la recherche de la moindre flamme d'affection qui s'éteindra à ton approche. Tu ne gouteras jamais au brasier du plaisir charnel car la simple évocation de ton activité suffira à jeter le souffle glacé du dégout sur n'importe quelle conversation avec la gente féminine.
Chaque jour au travail tu pousses la porte démoniaque de ton entreprise de laquelle émane un souffle putride. Tu rejoins ton open-space miteux pour courber l'échine devant ton écran qui te brule les yeux. De part et d'autres d'autres damnés n'existent que pour ajouter plus de puanteur à ta vie immonde, la pression sociale t'obligera à rejoindre l'atroce pause de la machine à café où la médiocrité ambiente s'accordera aux notes toxiques du café bas de gamme que tes collègues consomment de façon industrielle
Et dans cette déchéance ambiante le pire reste sans doute la douloureuse diarrhée qui a substitué ta vie sociale. Les afterworks chiants à crever où tout le monde fait semblant d'être heureux et d'adorer son travail, tes collègues vomissent tellement de merde à la minute que leur bouche a bientôt la même odeur que leur anus. Le doux fumet de la discussion cacophonique qui t'entoure vient te titiller les narines et ta seule échappatoire est la pinte devant toi que tu avales d'une traite en espérant que cela fera taire cette horde de faux-semblants, d'idiots béotiens et de travailleurs serviles. Alors que ta tête commence à tourner tu ne peux que t'élancer vers les toilettes où tu hurleras toute ta souffrance en espérant te réveiller d'un moment à l'autre
Rentré chez toi tu t'élances sur les 86 tièdes qu'il te reste avant d'enchainer sur du poppers que tu renverses sur ta chemise pendant que ta vision oscille, tu glisses dans du vomis et les démons qui vivent dans le plafond se moquent de toi. Desespéré devant cette humiliation tu rampes jusqu'à ta bombe dépoussiérante qui roule autour de toi. Alors que la tempête fait rage et que les vagues te percutent de plein fouet tu parvient à mettre l'embout dans ta bouche et à inhaler tout le contenu de la bombe jusqu'à t'envoler dans un autre monde où le temps ne s'écoule plus et où la punition divine ne te rattrapera pas. Mais à peine commences-tu à refaire ta vie en médecine avec une jolie copine qui était sur le point de te faire enfin goûter à l'amour interdit, le bras de Dieu te rappelle brusquement à ton devoir servile et dans une souffrance inhumaine le temps reprend sa marche saccadée alors que tu entends au loin le son difforme de ton réveil
RifsonCockLover
il y a 13 jours
RifsonCockLover
il y a 13 jours
Go RSA Khey souffrir autant pour survivre c'est pas une vie
Je ne suis pas français
Proute2000
il y a 13 jours
Et bien évidemment je ne suis pas Français ce qui rajoute a la difficulté et a la pression de la situation. Ne pouvant jouir ni du RSA, ni de l'AAH, sans capital ni point de chute, ne pouvant même pas prendre le risque de faire diagnostiquer ma dépression latente et mon burn out chronique je suis obligé de poursuivre la fuite en avant en espérant chaque jour qu'une mort digne me foudroira pour que je puisse quitter l'atroce existence
RifsonCockLover
il y a 13 jours
Naturelle plutot, personne ne mérite cette vie
RifsonCockLover
il y a 13 jours
Prepuce2Lait
il y a 13 jours