En plus d'être vivante, elle était même enceinte lors de cette scène d'horreur absolue

En 2003, il avait éviscéré vivante une mère de famille: aujourd'hui incarcéré à Huy, Frédéric Marchal, malade du sida, se plaint du manque de soins

En 2003, à Verviers, Frédéric Marchal, 19 ans à l'époque, défrayait la chronique en tuant une mère de famille de la façon la plus horrible qui soit : en lui arrachant les viscères par les voies naturelles… alors qu'elle était vivante ! Pour ces faits abominables, il avait été condamné à la réclusion à perpétuité. Aujourd'hui, détenu à la prison de Huy, il dénonce le manque de soins dont il est victime en raison de la grève des agents pénitentiaires. Atteint du sida, il affirme n'avoir pas reçu pendant six jours, dont trois d'affilée, son traitement complet.

Frédéric Marchal (31 ans), originaire de Comblain-au-Pont, vient de dénoncer l'absence de soins à la prison de Huy à ses avocats, Maître Jean-Luc et François Dessy de Huy. « Lorsqu'il s'est manifesté auprès de nous, il était très angoissé. Depuis 13 ans qu'il est porteur du virus d'immunodéficience humaine, il suit un traitement quotidien pour endiguer le développement de la maladie et la propagation des symptômes ».

Or, en raison des grèves qui perturbent le fonctionnement de la prison, il affirme que ce traitement ne lui a pas été administré correctement tous les jours. « Sur les 35 jours de grève, il y a six jours, dont trois d'affilée, où il n'a pas reçu l'ensemble des médicaments (trois au total) qu'il prend quotidiennement », dénonce Me Dessy.

Frédéric Marchal est actuellement incarcéré pour des faits, qui donnent froid dans le dos. En novembre 2003, il a assassiné Dominique Winkin, une mère de famille de quatre enfants. Âgée de 44 ans, elle était enceinte de quatre semaines.

Il l'avait rencontrée dans un café. Il l'avait ensuite amenée chez lui, place de l'Abattoir à Verviers, puis l'avait tuée de la façon la plus horrible qui soit : en lui arrachant des organes vitaux (intestins, œsophage, estomac, pancréas, rate, organes génitaux) par les voies naturelles… alors qu'elle était vivante !
Puis il avait jeté ces viscères dans un WC, avant de laver et rhabiller sa victime puis de l'abandonner sur un trottoir de la rue de l'Abattoir, où elle avait été découverte au petit matin.

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