il fait une remarque à des jeunes, ils le tabassent
18 messages
Mise à jour: il y a 9 mois
Anucedeclodo3
il y a 9 mois
chanced
Tom_Cruise[1]
il y a 9 mois
Je ne vais malheuresement pas pouvoir donner mon avis sur ce topic
Yui2poche
il y a 9 mois
diversited
Buitonin
il y a 9 mois
Il n'avais pas les
Risizas41
il y a 9 mois
triste
GibonMalicieux
il y a 9 mois
Il n'avais pas les
Et toi ton bescherelle
ComaCat
il y a 9 mois
Ca va, la mairie va installer des ralentisseurs, tout est sous controle
HumainQuantique
il y a 9 mois
C/C de l'article payant
L'œil tuméfié, un bras dans le plâtre mais malgré tout le sourire. Didier semble être de ceux qui voient toujours les choses du bon côté. Pourtant, ce qui lui est arrivé dimanche soir, dans le quartier du Val de Cagne, à Cagnes-sur-Mer, il ne le comprend pas. "C'était un tel déchaînement de violence…"
Vers 21h30, il part en voiture avec sa femme Patricia et leurs quatre petites filles. "On les a en vacances à la maison, explique cette dernière, elles habitent dans le Nord et chaque été, c'est leur petit plaisir, on va se promener un soir à Juan-les-Pins."
Mais au moment de partir, "cinquante mètres plus loin", Didier aperçoit la voiture sans permis qui a fait du grabuge dans l'après-midi. "Avec deux jeunes hommes à bord, détaille Patricia, ils faisaient des allers-retours dans la rue, ils roulaient vite, zigzaguaient… N'importe quoi. Quand je leur ai demandé de rouler moins vite ils passaient en poussant des hurlements."
"Je dois me faire opérer de l'œil"
Donc, en route pour Juan-les-Pins, Didier décide de s'arrêter deux minutes pour discuter avec eux. "Je leur ai dit de faire attention, qu'il y avait des piétons. Je pense que ce sont des jeunes mineurs, même pas 16 ans." La discussion avec le passager de la voiture sans permis reste "cordiale" affirme Didier. Mais: "Le conducteur sort du véhicule, il me dit “ferme ta gueule" et me balance un coup de poing dans le nez. Ensuite, il m'a mis deux coups de poing derrière la tête."
Sonné, Didier tombe à terre. "Je me suis agrippé à la jambe de l'un d'eux pour me débattre et le passager s'est mis à crier “tue le! Tue-le!"
Patricia sort à son tour du véhicule pour s'interposer. "Mais le conducteur, un grand costaud, m'a balancé un coup de poing et m'a mise à terre."
Les deux jeunes hommes commencent alors à ruer Didier de coup de pied et de coups de poing. "J'ai sorti le téléphone pour filmer et je me suis mise à crier. Quand ils ont vu que je filmais, ils sont vite partis."
Résultat: deux dents fêlées, poignet cassé, fracture du nez, lésion à l'œil, fracture du plancher orbital et trois semaines d'incapacité totale de travail (ITT). "Pour l'instant, c'est fixé à trois semaines mais je dois me faire opérer de l'œil donc ça sera sûrement rallongé."
"Nos petites-filles ont été choquées"
Une plainte a été déposée au commissariat de Cagnes-sur-Mer. Une enquête est en cours. "Il semblerait que l'un des jeunes soit connu des services de police. Ils venaient du camp des Caraïbes mais on ne les avait jamais vus dans le quartier auparavant. Ils sont peut-être là en vacances…" Didier assure: "On a de bons rapports avec les gens du voyage du camp à côté." Malgré des petites altercations ponctuelles avec quelques jeunes.
Didier secoue la tête: "Que deux jeunes puissent tabasser quelqu'un juste parce qu'il leur a demandé de rouler tranquille…"
"Nos petites filles ont été choquées…", regrette Patricia, qui ressasse la scène elle aussi: "Pendant qu'ils le frappaient, je me suis dit "ils vont le tuer.""
Beedooboop
il y a 9 mois
Il faut investir massivement dans l'éducation
R3ality-
il y a 9 mois
On va encore se laisser marcher dessus combien de temps dans ce p***** de pays ?
Beedooboop
il y a 9 mois
C/C de l'article payantL'œil tuméfié, un bras dans le plâtre mais malgré tout le sourire. Didier semble être de ceux qui voient toujours les choses du bon côté. Pourtant, ce qui lui est arrivé dimanche soir, dans le quartier du Val de Cagne, à Cagnes-sur-Mer, il ne le comprend pas. "C'était un tel déchaînement de violence…"
Vers 21h30, il part en voiture avec sa femme Patricia et leurs quatre petites filles. "On les a en vacances à la maison, explique cette dernière, elles habitent dans le Nord et chaque été, c'est leur petit plaisir, on va se promener un soir à Juan-les-Pins."
Mais au moment de partir, "cinquante mètres plus loin", Didier aperçoit la voiture sans permis qui a fait du grabuge dans l'après-midi. "Avec deux jeunes hommes à bord, détaille Patricia, ils faisaient des allers-retours dans la rue, ils roulaient vite, zigzaguaient… N'importe quoi. Quand je leur ai demandé de rouler moins vite ils passaient en poussant des hurlements."
"Je dois me faire opérer de l'œil"
Donc, en route pour Juan-les-Pins, Didier décide de s'arrêter deux minutes pour discuter avec eux. "Je leur ai dit de faire attention, qu'il y avait des piétons. Je pense que ce sont des jeunes mineurs, même pas 16 ans." La discussion avec le passager de la voiture sans permis reste "cordiale" affirme Didier. Mais: "Le conducteur sort du véhicule, il me dit “ferme ta gueule" et me balance un coup de poing dans le nez. Ensuite, il m'a mis deux coups de poing derrière la tête."Sonné, Didier tombe à terre. "Je me suis agrippé à la jambe de l'un d'eux pour me débattre et le passager s'est mis à crier “tue le! Tue-le!"
Patricia sort à son tour du véhicule pour s'interposer. "Mais le conducteur, un grand costaud, m'a balancé un coup de poing et m'a mise à terre."
Les deux jeunes hommes commencent alors à ruer Didier de coup de pied et de coups de poing. "J'ai sorti le téléphone pour filmer et je me suis mise à crier. Quand ils ont vu que je filmais, ils sont vite partis."
Résultat: deux dents fêlées, poignet cassé, fracture du nez, lésion à l'œil, fracture du plancher orbital et trois semaines d'incapacité totale de travail (ITT). "Pour l'instant, c'est fixé à trois semaines mais je dois me faire opérer de l'œil donc ça sera sûrement rallongé."
"Nos petites-filles ont été choquées"
Une plainte a été déposée au commissariat de Cagnes-sur-Mer. Une enquête est en cours. "Il semblerait que l'un des jeunes soit connu des services de police. Ils venaient du camp des Caraïbes mais on ne les avait jamais vus dans le quartier auparavant. Ils sont peut-être là en vacances…" Didier assure: "On a de bons rapports avec les gens du voyage du camp à côté." Malgré des petites altercations ponctuelles avec quelques jeunes.Didier secoue la tête: "Que deux jeunes puissent tabasser quelqu'un juste parce qu'il leur a demandé de rouler tranquille…"
"Nos petites filles ont été choquées…", regrette Patricia, qui ressasse la scène elle aussi: "Pendant qu'ils le frappaient, je me suis dit "ils vont le tuer.""
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IreetHaro
il y a 9 mois
Il n'y a pas de boîtes à idées dans cette municipalité ?
JVC-Censure232
il y a 9 mois
Ils devraient systématiquement demander le vote des plaignants.
DokutoruReiss
il y a 9 mois
Dans l'imposition, l'insistance et la saturation, l'étant à-portée-de-la- main perd d'une certaine manière son être-à-portée-de-la-main. D'autre part, celui-ci est lui-même compris - quoique non thématiquement - dans l'usage de l'à-portée-de-la-main. Il ne disparaît pas purement et simplement, mais, dans l'imposition de l'inemployable, il prend pour ainsi dire congé. L'être-à-portée-de-la-main se montre encore une fois, et c'est justement alors que se montre aussi la mondialité de l'à-portée-de-la-main.
Anucedeclodo3
il y a 9 mois
fallait mieux voter
7juillet2023
il y a 9 mois