Face aux autorités, la femme a affirmé que l'acte s'était produit à «plusieurs reprises» et que son mari l'avait menacée de divorcer si elle en parlait à quelqu'un. C'est la mère de la femme qui l'a encouragée à déposer une plainte en 2022.
«Lorsque le viol inclut l'insertion d'un pénis dans la bouche, l'urètre ou l'anus d'une femme et que cet acte est commis avec sa femme, âgée d'au moins quinze ans, le consentement de cette dernière devient alors sans importance. Le viol conjugal n'est donc pas reconnu», a ainsi estimé le juge.
seiji
il y a 10 mois