Oyez.

Aujourd'hui nous allons déconstruire le procédé sophistique de votre scabreux gourou Oukacha, et subsidiairement infirmer son ambiguïté de l'erreur mathématique. Afin d'établir la preuve sur vous une nouvelle fois.

Nous allons nous appuyer sur cette vidéo : https://youtu.be/Td5CftGZ1v0?si=hSMz58fuYhxSMtdi
On passera sur l'autre argument qui d'un point de vue théorétique ne vaut même pas la peine d'être traité, qui saura conforter les non-musulmans comme les musulmans dans leurs croyances respectives.

Commençons.
Les ambiguïtés des contempteurs de l'islam gravitent autour de deux points :
-Une affirmation péremptoire (« il y a une erreur mathématique dans le Coran »).
Le but est d'ouvrir un débat et le clore immédiatement. Aucune place n'est laissé à l'éclaircissement, la problématique est mal définie afin de pouvoir tourner en dérision ou discréditer celui qui trouverait à y redire.

-un argument spécieux.
Il use des formes, de mauvaises implications logiques. Mise suffisamment sur le pathos pour satisfaire celui qui veut être égaré. Ici c'est : l'héritage ne tombe pas juste, donc Allah s'est trompé.
Or tomber juste /=/ être juste. Ici d'un point de vue paradigmatique ce qui est juste c'est ce que le Coran a décidé, et un résultat « juste » ne serait pas équitable. Et l'usage normatif n'exclut pas la spécificité. Pour simplifier : Allah a ordonné aux Hommes de prier, or certains n'ont pas de jambes, Allah s'est-il trompé? Non. De la même manière l'héritage a des spécificités, dans ce cas on utilisera [la méthode de calcul] al ‘Awl et l'héritage sera partagée.

Je n'ai plus de messages et ne pourrait pas répondre, mais si l'on anticipe la vitesse à laquelle la DDB fusera des doigts licencieux du forumeur quelconque, je ne pense pas que ça en vaille la peine.

Puissiez-vous trouver le chemin.

Je n'ai plus de messages pour vous répondre et ça ne sera de toutes façons pas nécessaire si l'on anticipe la vitesse à laquelle la DDB fusera des doigts licencieux d'un quelconque forumeur.