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Selon chatgpt parcontre Les préfectures ou autorités locales minimisent souvent les risques pour éviter la panique, protéger des intérêts économiques ou attendre les résultats d'analyses qui prennent du temps.

Ce qu'il faut savoir :

Une fumée noire épaisse = combustion incomplète = substances toxiques. Peu importe ce que dit la préfecture, la chimie ne ment pas.

Même sans mesure immédiate, des substances comme les dioxines, furanes, HAP, métaux lourds sont quasi systématiquement présentes dans ce type de fumée.

Les effets des dioxines sont à long terme. Il est donc impossible de dire « il n'y a aucun risque » juste après l'incendie, surtout sans résultats d'analyse de l'air, des retombées au sol, ou de l'eau.

En France (et ailleurs), il y a des précédents :

L'incendie de Lubrizol à Rouen (2019) : même discours rassurant au départ, puis reconnaissance tardive de contamination.

Des incendies de centres de recyclage, déchèteries, usines : souvent classés Seveso ou soumis à autorisations ICPE à cause de risques toxiques connus.

Mon conseil :

Continue à te méfier malgré les discours officiels.

Si tu es dans la zone ou à proximité, évite de rester à l'extérieur, ne mange pas les légumes du jardin, nettoie les surfaces exposées, aère plus tard quand la fumée est dissipée.

Tu peux demander ou consulter les analyses d'air et retombées qui doivent être faites par l'ATMO ou l'ARS. C'est un droit

Pour rappel