Adrien L. a grandi dans un environnement familial avec une mère “surprotectrice et aimante”, un père qu'il “admirait” et une sœur avec laquelle il entretenait une relation complice, décrivant toutefois sa vie comme un “parcours semé d'embûches”. Sa mère et sa sœur ont déclaré au tribunal qu'il était “doux, généreux et protecteur”.

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Comment il s'est mis à détester les femmes

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À 18 ans, Adrien L. a découvert que son amour de jeunesse, qui avait 16 ans à l'époque, était enceinte. Le jeune homme a appris quelques années plus tard qu'il n'était pas le père biologique de la petite fille et que sa petite amie l'avait trompé. “Il a continué à s'en occuper tout en sachant qu'il n'était pas le père”, a témoigné la sœur de l'accusé. Cet épisode l'aurait amené à commencer à détester les femmes, a-t-il confié. “Pour moi, cela n'avait plus de sens de m'intéresser à une femme. J'avais du mal à croire qu'une femme puisse être quelqu'un de bien”, a-t-il expliqué.

🟣 et agressions

Sa haine pour les femmes est alors devenue de plus en plus forte. Il a notamment agressé s€xuellement sa nouvelle petite amie, avec laquelle il a eu un petit garçon. “Je lui ai fait beaucoup de mal”, a reconnu l'accusé devant le tribunal. Lorsque le couple s'est séparé, Adrien L. a même menacé de s'en prendre à son fils.

Adrien L., fréquentait assidûment les clubs échangistes et pratiquait le libertinage. Il aurait participé aux 🟣 organisés par Dominique Pelicot dès 2014. Le suspect, que l'on voit sur les vidéos filmées et consignées par le mari de Gisèle, a jusqu'à présent maintenu qu'il ignorait que la victime était droguée.

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"Sa haine pour les femmes est alors devenue de plus en plus forte. Il a notamment agressé s€xuellement sa nouvelle petite amie, avec laquelle il a eu un petit garçon."
Ca hait les femmes, mais ça couche avec elle quand même