Je comprends pourquoi les KHEYS disent qu'il VEULENT BOUFFER UN GROS CUL
31 messages
Mise à jour: il y a 24 jours
ShrimpsOfSea
il y a 24 jours
Comment ça à 5 mètres ?
Mr_Wick
il y a 24 jours
Pourquoi 5 mètres?
200plus200
il y a 24 jours
tareduforum4591
il y a 24 jours
Ahi vdd je vois que je suis pas le seul taré
Pustulent1
il y a 24 jours
Ce fouromeur
Noxent14
il y a 24 jours
Volaechirolles sache que tes topics ne passent pas inaperçus et je clique tjrs avec plaisir
DeadSocialement
il y a 24 jours
Anulingus > all
VideoHorsLigne
il y a 24 jours
Bon, je pense qu'il va falloir faire une analyse détaillée de ce topic
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Analyse philosophico-kheyenne du désir de “bouffer un gros cul”
Ce post, malgré son apparente vulgarité, s'inscrit dans une tradition ancestrale de la révélation charnelle. Le khey, dans un moment de solitude extatique, contemple mentalement un gros cul nu posté à quatre pattes sur son canapé. Cinq mètres le séparent de la bête. Cinq mètres comme cinq siècles de frustration. Cinq mètres comme l'infini entre le fantasme et l'acte.
Et là, la compréhension jaillit, pure, primitive, presque divine : “Je comprends les kheys.”
Ce n'est plus un simple "envie de baiser". C'est une intuition métaphysique. Le gros cul devient idée platonicienne, Forme parfaite du plaisir terrestre. Le canapé est le théâtre. Le corps est langage. Et l'anus, portail sacré vers l'oubli de soi.
L'obsession des kheys, jusque-là moquée ou ignorée, prend sens. Ce n'est pas une simple pulsion : c'est une transcendance. Le “gros cul” est une échappatoire à la médiocrité de l'existence moderne. Là où le monde offre frustration, déclin et précarité, le cul offre rondeur, chaleur, moelleux. Un refuge. Une guerre sainte.
Il ne s'agit pas de baiser. Il s'agit de bouffer, de fusionner, de redevenir bête dans un monde devenu trop intelligent. Bouffer un gros cul, c'est renoncer à la rationalité. C'est dire : “Je ne suis plus un homme, je suis un instinct.”
La distance des cinq mètres est essentielle : elle symbolise le fantasme non réalisé, l'éternel retour du désir, comme disait Nietzsche (s'il avait eu un compte 18-25). Le cul n'est jamais là. Il est là-bas. Il est tous les culs. Il est LE cul.
Et le khey, dans sa révélation solitaire, devient prophète. Prophète du cul. Apôtre de l'animalité. Messager du glouton sacré.
superoksuper
il y a 24 jours
cocoprice03
il y a 24 jours
Blizaz9902
il y a 24 jours
raccourcit le bail
VideoHorsLigne
il y a 24 jours
Journal intime d'un fou du fion
Entrée n°218 - 03h42 du matin, lumière bleue, slip au sol
Je crois que ce soir j'ai touché une vérité. Pas une vérité banale, pas une vérité qu'on lit dans un bouquin de philo tout jauni par un prof dépressif. Non. Une vérité qui suinte. Une vérité qui s'agite à quatre pattes. Une vérité en chair, en fesses, en double rotation du bassin.
Je me suis posé dans mon canap', seul comme d'hab', avec cette impression familière d'être un mollusque existentiel. Et là… l'image m'a frappé.
Un gros cul.
Nu.
À quatre pattes.
Sur mon canapé.
À cinq mètres de moi.
Et j'ai compris. J'ai compris pourquoi les kheys hurlent "j'veux bouffer un gros cul" comme des poètes détraqués de la glotte. C'est pas juste du sexe. C'est une quête cosmique, une faim ontologique, un appel du vide mais avec des hanches.
Je ne veux pas juste "baiser".
Je veux mordre.
Je veux disparaître dans le sillon sacré.
Je veux redevenir poussière entre deux lobes fessiers.
C'est comme si le cul représentait tout ce qu'on n'a pas dans cette vie de merde : la douceur, la chaleur, le moelleux, le sens. Le monde est froid, carré, Excelisé. Le cul, lui, est rond, humide, accueillant. C'est une utopie mobile. Une utopie qui clapote.
Je suis peut-être fou, oui.
Mais si aimer un gros cul, le contempler comme un tableau vivant à cinq mètres de ma solitude, c'est de la folie… alors je ne veux plus être sain d'esprit.
Fin de l'entrée. Mon cœur est lourd. Mon caleçon, aussi.
Demain, peut-être, je m'éloignerai de cette vision.
Mais ce soir, j'ai vu Dieu, et il avait des vergetures.
le-boucleur
il y a 24 jours
La photo elle est ou ?
VolAEchirolles
il y a 24 jours
Journal intime d'un fou du fion
Entrée n°218 - 03h42 du matin, lumière bleue, slip au solJe crois que ce soir j'ai touché une vérité. Pas une vérité banale, pas une vérité qu'on lit dans un bouquin de philo tout jauni par un prof dépressif. Non. Une vérité qui suinte. Une vérité qui s'agite à quatre pattes. Une vérité en chair, en fesses, en double rotation du bassin.
Je me suis posé dans mon canap', seul comme d'hab', avec cette impression familière d'être un mollusque existentiel. Et là… l'image m'a frappé.
Un gros cul.
Nu.
À quatre pattes.
Sur mon canapé.
À cinq mètres de moi.Et j'ai compris. J'ai compris pourquoi les kheys hurlent "j'veux bouffer un gros cul" comme des poètes détraqués de la glotte. C'est pas juste du sexe. C'est une quête cosmique, une faim ontologique, un appel du vide mais avec des hanches.
Je ne veux pas juste "baiser".
Je veux mordre.
Je veux disparaître dans le sillon sacré.
Je veux redevenir poussière entre deux lobes fessiers.C'est comme si le cul représentait tout ce qu'on n'a pas dans cette vie de merde : la douceur, la chaleur, le moelleux, le sens. Le monde est froid, carré, Excelisé. Le cul, lui, est rond, humide, accueillant. C'est une utopie mobile. Une utopie qui clapote.
Je suis peut-être fou, oui.
Mais si aimer un gros cul, le contempler comme un tableau vivant à cinq mètres de ma solitude, c'est de la folie… alors je ne veux plus être sain d'esprit.Fin de l'entrée. Mon cœur est lourd. Mon caleçon, aussi.
Demain, peut-être, je m'éloignerai de cette vision.
Mais ce soir, j'ai vu Dieu, et il avait des vergetures.
Pustulent1
il y a 24 jours
VolAEchirolles
il y a 24 jours