Je suis une femme de 24 ans et je vis une situation compliquée et délicate. Depuis quelques mois, j'entretiens une relation avec mon patron. Il est marié et a des enfants.

Tout a commencé de manière assez innocente. Nous avons toujours eu une bonne entente au travail, et je l'ai toujours respecté en tant que professionnel. Nos conversations étaient principalement axées sur le travail, mais au fil du temps, elles ont commencé à dériver vers des sujets plus personnels. Nous parlions de nos intérêts, de nos vies en dehors du travail, et il était facile de discuter avec lui. Il me faisait rire, et je me sentais écoutée et comprise.

Un soir, après une longue journée de travail sur un projet stressant, il m'a proposé d'aller prendre un verre pour décompresser. J'étais fatiguée et stressée, et l'idée de me détendre un peu me semblait bienvenue. Nous sommes allés dans un bar discret près de notre bureau. Les conversations ont continué à être personnelles, et nous avons partagé des moments de vulnérabilité. C'était la première fois que je voyais cette facette de lui, et cela a créé une connexion que je n'avais pas anticipée.

À mesure que la soirée avançait, les discussions sont devenues plus intimes. Il m'a parlé de ses frustrations, de ses rêves et de ses regrets. Je lui ai également confié des aspects de ma vie que je n'avais jamais partagés avec personne d'autre au travail. Nous avons ri, nous avons flirté, et il y avait une tension palpable dans l'air. Je me sentais attirée par lui d'une manière que je n'avais jamais ressentie auparavant.

Quand il a proposé de prolonger la soirée en allant à l'hôtel, j'étais partagée entre l'excitation et la culpabilité. Mais l'attirance physique était trop forte pour être ignorée. Nous avons fini par passer la nuit ensemble. C'était intense, passionné, et cela m'a laissé avec des sentiments conflictuels. D'un côté, j'étais submergée par le plaisir que j'avais ressenti, et de l'autre, je me sentais coupable vis-à-vis de sa famille.

Depuis cette nuit-là, nous nous voyons régulièrement, toujours dans des hôtels pour éviter de nous faire remarquer. Je sais que ce que nous faisons est mal, surtout parce qu'il a une famille. Je me sens coupable, mais en même temps, je dois avouer que je prends beaucoup de plaisir sexuel dans cette relation. Il y a une alchimie physique entre nous qui est difficile à ignorer. Chaque rencontre est passionnée et intense, et je me sens vivante d'une manière que je n'avais jamais ressentie auparavant.

Pour expliquer à sa femme ses absences, il utilise souvent l'excuse du travail. Il est dans une position qui exige parfois de travailler tard dans la nuit ou de faire des déplacements professionnels imprévus. Il lui arrive de prétendre qu'il doit rester au bureau pour des réunions tardives ou des projets urgents. Il est même allé jusqu'à créer de faux déplacements professionnels, avec des réservations d'hôtel et des billets d'avion qui servent de preuves au cas où elle poserait des questions. Sa femme, habituée à ses horaires irréguliers et à ses obligations professionnelles, ne s'inquiète pas lorsqu'il ne rentre pas.

Je ne suis pas amoureuse de lui. En fait, je suis consciente que cette relation n'a pas d'avenir. Mais le plaisir que je ressens est si fort que je continue à le voir. Il me dit qu'il tient à moi, mais qu'il ne peut pas quitter sa famille. Il a des enfants qu'il adore et il ne veut pas les faire souffrir. De mon côté, je me sens prise au piège entre la culpabilité et le désir.

Je suis perdue. Je ne sais pas comment sortir de cette situation. D'un côté, je continue cette relation parce que le plaisir est intense et j'aime cette connexion physique. Mais de l'autre, je ne veux pas être la cause de la destruction de sa famille. Je crains aussi que si cela venait à se savoir, cela pourrait avoir des conséquences désastreuses pour nous deux, tant sur le plan personnel que professionnel.

D'accord Enrique

Non tu es cacaDETRUIRE.

C'est écrit par moi même en 20 minutes environ.

Je raconte juste ma vie, oui, effectivement.

Allez dodo l'op, demain GTA t'attend

Toujours un plaisir ce forum misogyne.

Les gens comme l'op me font marrer de pitié : toujours à se foutre dans la merde tout seul et venir chialer après, soit par stupidité, soit pour faire l'intéressant(e).

Tout ça alors que tout le monde sait que deux solutions existent :
- lui dire franchement d'arrêter les conneries
- demissionner, partir et NE PLUS LE CONTACTER

Mais je vois l'auteur d'ici répondant "oui mais gneu gneu gneu, je l'aime bien, bla bla bla, pas envie de le quitter, bleugneugneu blabla...".

Ce à quoi je répondrais : "TOUTES (sauf maman) ."

Bisous et bonne nuit

Pourquoi venir parler de ta vie sexuelle/sentimentale ici alors ? Si ce n'est pour faire l'intéressant(e) ?