Lorsque l'islam est minoritaire, il s'impose par des stratégies claires. La démographie est une arme centrale : l'immigration massive et la natalité élevée sont encouragées. Recep Tayyip Erdogan l'a exprimé sans détour : « Les mosquées sont nos casernes, les coupoles nos casques, les minarets nos baïonnettes et les croyants nos soldats », ou encore « Ne faites pas trois, mais cinq enfants, car vous êtes l'avenir de l'Europe » et « Aucune femme musulmane ne peut avoir une approche de planning familial. Nous suivrons la voie indiquée par Dieu et notre prophète ». Pour les musulmans, multiplier les naissances, surtout dans les pays chrétiens, sécurise l'avenir de l'islam, qui est leur priorité absolue. Parallèlement, ils adoptent une posture de victimisation, criant au racisme pour se présenter comme inoffensifs, une stratégie soutenue par la gauche, qui collabore à leur cause.

La solidarité communautaire est également un pilier : l'islam n'est pas universel, il privilégie les siens. Le Croissant-Rouge musulman, par exemple, n'aide que les musulmans, et le Coran (3:28) ordonne de ne pas prendre les « infidèles » pour amis.

Quand l'islam devient assez présent, il cherche à s'emparer du pouvoir, soit par des coups d'État, soit par les élections. Mais souvent, cela s'accompagne de guerres et de terrorisme, comme en Syrie, en Irak avec Daech, ou au Nigeria avec Boko Haram. Le djihad armé, dans son fanatisme sanglant, est motivé par la promesse d'une place au paradis, comme l'indique la sourate 9, verset 5 : « Lorsque l'occasion se présente, tuez les infidèles partout où vous les attrapez ». En Occident, les attentats visent à intimider les populations blanches, à semer la peur et à imposer l'islam par la terreur, suivant le verset 8:12 du Coran : « Terrorisez et décapitez ceux qui croient en des écritures autres que le Coran ».

La conversion et le maintien de l'islam dans un pays passent par la soumission et la violence. Le mode de vie imposé est strict : voile obligatoire pour les femmes, rôle subalterne de celles-ci, prières incessantes, règles alimentaires rigides, et un retour à un mode de vie bédouin du VIIe siècle. La charia s'applique avec brutalité : coups de fouet, amputation des voleurs, lapidation, statut de dhimmi pour les non-musulmans, et tribunaux religieux. Ces pratiques visent à formater et soumettre la population. Ce mode de vie étouffe tout progrès, plongeant les sociétés dans la régression et l'abêtissement, rendant les individus encore plus manipulables.