Je ne crois pas avoir mon âme plus noire que celle des autres femmes
9 messages
Mise à jour: il y a 10 jours
Mdlol678
il y a 10 jours
une huile de colza noire comme l'âme d'un huissier
Doctor-Doom
il y a 10 jours
Toi t'es un homme, là est la nuance.
Mdlol678
il y a 10 jours
Parlons-en, du gras. Le gras du prolo, celui qu'on croise dans les zones commerciales un samedi après-midi, c'est une alchimie bien particulière.
Ce gras-là, il se construit patiemment, jour après jour, à coups de litres de Kronenbourg tiède servie dans des verres douteux, de pizzas surgelées éco+ qui croustillent d'une manière anormalement inquiétante, de sodas à 50 centimes qui arrachent la gorge plus qu'ils ne désaltèrent, et de barquettes de nuggets plongées dans une huile de colza noire comme l'âme d'un huissier.
C'est un gras authentique, sans prétention, fait pour tenir chaud pendant les longues soirées devant Netflix ou dans les gradins d'un match de Ligue 2.
Mais là… Là, mes amis, on a affaire à un autre univers. Ce bide ne joue pas dans la même cour. Non, ici, on parle du gras d'élite, le caviar des calories. Ce n'est pas du gras du peuple, c'est du gras de maître, taillé pour figurer dans les musées d'art moderne ou être exposé en première page du GQ des ventres imposants.
Regardez-moi cette œuvre d'art. Ce n'est pas juste une accumulation de graisse, c'est une cathédrale dédiée au bon goût, un monument au plaisir culinaire. On est dans le haut de gamme, le summum du raffinement charnel.
Ce gras-là, il est nourri aux meilleurs mets que la France peut offrir. Canard confit délicatement mijoté pendant des heures, accompagné de purée maison enrichie au beurre d'Isigny. Château Margaux millésimé servi dans des verres en cristal de Baccarat, tandis qu'une assiette de pâtisseries Hermé trône en majesté sur une table nappée de lin.
Et tout ça ? Bien sûr, dégusté dans des salons dorés, sous des lustres à dix mille euros, pendant les galas du Sénat ou les réceptions fastueuses de l'Élysée, où le contribuable paye joyeusement la note.
Ce gras-là, mes amis, n'a rien à voir avec le vulgaire gras des frites congelées. C'est un gras de privilège, un gras patrimonial, celui qui inspire la poésie, les odes, voire même les lois.
On pourrait presque le comparer à Depardieu : opulent, grandiose, et un peu effrayant, mais tellement français. Ou encore à Bocuse, car chaque centimètre de ce bide semble avoir été sculpté par un grand chef. Enfin, comment ne pas penser à Larcher, l'homme pour qui la République est un banquet sans fin ?
Alors oui, ce gras divise. Certains diront qu'il est indécent, qu'il symbolise l'excès. Mais soyons honnêtes : ce bide, c'est tout simplement du génie. Une preuve vivante que parfois, le gras peut être une œuvre d'art.
Manon121
il y a 10 jours
Toi t'es un homme, là est la nuance.
Bah non
CowboyPipboy
il y a 10 jours
Pour un homme, se mettre à quatre pattes c'est pire
Manon121
il y a 10 jours
Pour un homme, se mettre à quatre pattes c'est pire
Bah ça existe mdr
JuanMesias
il y a 10 jours
Parlons-en, du gras. Le gras du prolo, celui qu'on croise dans les zones commerciales un samedi après-midi, c'est une alchimie bien particulière.
Ce gras-là, il se construit patiemment, jour après jour, à coups de litres de Kronenbourg tiède servie dans des verres douteux, de pizzas surgelées éco+ qui croustillent d'une manière anormalement inquiétante, de sodas à 50 centimes qui arrachent la gorge plus qu'ils ne désaltèrent, et de barquettes de nuggets plongées dans une huile de colza noire comme l'âme d'un huissier.
C'est un gras authentique, sans prétention, fait pour tenir chaud pendant les longues soirées devant Netflix ou dans les gradins d'un match de Ligue 2.
Mais là… Là, mes amis, on a affaire à un autre univers. Ce bide ne joue pas dans la même cour. Non, ici, on parle du gras d'élite, le caviar des calories. Ce n'est pas du gras du peuple, c'est du gras de maître, taillé pour figurer dans les musées d'art moderne ou être exposé en première page du GQ des ventres imposants.
Regardez-moi cette œuvre d'art. Ce n'est pas juste une accumulation de graisse, c'est une cathédrale dédiée au bon goût, un monument au plaisir culinaire. On est dans le haut de gamme, le summum du raffinement charnel.
Ce gras-là, il est nourri aux meilleurs mets que la France peut offrir. Canard confit délicatement mijoté pendant des heures, accompagné de purée maison enrichie au beurre d'Isigny. Château Margaux millésimé servi dans des verres en cristal de Baccarat, tandis qu'une assiette de pâtisseries Hermé trône en majesté sur une table nappée de lin.
Et tout ça ? Bien sûr, dégusté dans des salons dorés, sous des lustres à dix mille euros, pendant les galas du Sénat ou les réceptions fastueuses de l'Élysée, où le contribuable paye joyeusement la note.
Ce gras-là, mes amis, n'a rien à voir avec le vulgaire gras des frites congelées. C'est un gras de privilège, un gras patrimonial, celui qui inspire la poésie, les odes, voire même les lois.
On pourrait presque le comparer à Depardieu : opulent, grandiose, et un peu effrayant, mais tellement français. Ou encore à Bocuse, car chaque centimètre de ce bide semble avoir été sculpté par un grand chef. Enfin, comment ne pas penser à Larcher, l'homme pour qui la République est un banquet sans fin ?
Alors oui, ce gras divise. Certains diront qu'il est indécent, qu'il symbolise l'excès. Mais soyons honnêtes : ce bide, c'est tout simplement du génie. Une preuve vivante que parfois, le gras peut être une œuvre d'art.
Manon121
il y a 10 jours