Je ne SUPPORTE plus les GENS dehors

OP
E2

Etron2Soviet

il y a 2 mois

Ils me saoulent, ils me gavent

T'as des mecs ou des meufs qui passent sur un trottoir en rang de sardines et si tu oses passer au travers ce banc de poissons morts de l'intérieur ils vont pas s'arrêter, ni même le faire par anticipation comme si leur droit de marcher prévalait sur le mien. Ça et les gens qui vont te pousser avec une gestuelle implicite plutôt que de dire "pardon, je voudrais, merci"

Les gens me gonflent, ils m'angoissent et je les déteste de plus en plus et rien ne saurait les rendre moins méprisables.

JE

Jetaableuh

il y a 2 mois

Laisse les tranquilles
M2

Merde274845

il y a 2 mois

Et les gens dedans ?
OP
E2

Etron2Soviet

il y a 2 mois


Et les gens dedans ?

Je côtoie personne à par ma famille c'est à dire 5 personnes

OP
E2

Etron2Soviet

il y a 2 mois


Laisse les tranquilles

Non, leur individualisme les a atrophié de la glande pinéale.

HE

Heidinounette

il y a 2 mois

ok Jena Lee https://image.noelshack.com/fichiers/2024/12/1/1710782450-je-vois.png
JM

JusMonde

il y a 2 mois

Té tro dark Julien
OP
E2

Etron2Soviet

il y a 2 mois


ok Jena Lee https://image.noelshack.com/fichiers/2024/12/1/1710782450-je-vois.png

Je n'ai pas d'informations sur cette chanteuse depuis le collège. Rapport avec le contexte ?

OP
E2

Etron2Soviet

il y a 2 mois


Té tro dark Julien

Non. Simplement humain. Je rentre pas dans les gens en marchant sans m'arrêter et penser que mon droit de marcher dans l'espace public prévaut sur le droit d'un autre.

HE

Heidinounette

il y a 2 mois

DI

Diggou

il y a 2 mois

90% des gens sont médiocres et n'ont aucun savoir-vivre
KA

Katuluvs

il y a 2 mois

Non, leur individualisme les a atrophié de la glande pinéale.

Je crois que le plus gros individualiste ici c'est toi, tu t'en rend compte ?

OP
E2

Etron2Soviet

il y a 2 mois

Non. Je déteste les gens car je déteste la nature humaine bien trop fluctuente en fait. J'ai conscience d'être un monstre parmis tous les monstres de cette société. J'ai simplement du mal à comprendre l'individualisme exacerbé des gens dans la rue.

P1

pseudoban1515

il y a 2 mois

J'habite en Europe de l'Est et ici c'est 10x pire, les gens ont une très mauvaise gestion de l'espace, ils te rentrent dedans h24 c'est insupportable. Certains le font par égoïsme car ils veulent être le plus fort et te forcer à t'écarter, d'autres car ils sont incapables de prévoir que vos épaules vont se toucher / vont cogner

Ça se traduit également sur la route (il y a beaucoup d'accidents ici)

HE

Heidinounette

il y a 2 mois

Imagine il s'envole et tout... https://image.noelshack.com/fichiers/2023/50/4/1702569319-euh.gif
OP
E2

Etron2Soviet

il y a 2 mois


J'habite en Europe de l'Est et ici c'est 10x pire, les gens ont une très mauvaise gestion de l'espace, ils te rentrent dedans h24 c'est insupportable. Certains le font par égoïsme car ils veulent être le plus fort et te forcer à t'écarter, d'autres car ils sont incapables de prévoir que vos épaules vont se toucher / vont cogner

Ça se traduit également sur la route (il y a beaucoup d'accidents ici)

Je pense plutôt que c'est culturel en Europe de l'est pour y avoir passé du temps. Quand mon épaule heurté celle d'un autre je me retourne et je demande pardon sauf si le contact à été imperceptible voire presque illusoire.

OP
E2

Etron2Soviet

il y a 2 mois


Imagine il s'envole et tout... https://image.noelshack.com/fichiers/2023/50/4/1702569319-euh.gif

70kg pour 1m75. Je m'envole de rien du tout.

IM

IlfautMourir

il y a 2 mois

Eh bien ne sort plus de toute manière tu n'a rien à faire dehors ,comme en liberté d'ailleurs https://image.noelshack.com/fichiers/2022/06/6/1644705578-jesuspecheur-gif.gif
LO

Lottarare

il y a 2 mois


Ils me saoulent, ils me gavent

T'as des mecs ou des meufs qui passent sur un trottoir en rang de sardines et si tu oses passer au travers ce banc de poissons morts de l'intérieur ils vont pas s'arrêter, ni même le faire par anticipation comme si leur droit de marcher prévalait sur le mien. Ça et les gens qui vont te pousser avec une gestuelle implicite plutôt que de dire "pardon, je voudrais, merci"

Les gens me gonflent, ils m'angoissent et je les déteste de plus en plus et rien ne saurait les rendre moins méprisables.

C'est le début d'un bouquin de Dostoievski ahi.

Le gars du souterrain qui a une obsession sur un soldat qui ne s'est pas écarté devant lui

OP
E2

Etron2Soviet

il y a 2 mois


Eh bien ne sort plus de toute manière tu n'a rien à faire dehors ,comme en liberté d'ailleurs https://image.noelshack.com/fichiers/2022/06/6/1644705578-jesuspecheur-gif.gif

Ce n'est pas à toi d'en décider mais à la loi établie en vigueur en fonction des actes que je commets ou commettrai.

LO

Lottarare

il y a 2 mois

Dans Carnets du sous-sol de Fiodor Dostoïevski, le narrateur, un homme solitaire, maladivement introspectif et profondément aliéné, raconte un épisode révélateur de ses troubles psychologiques. Il se souvient d'un incident anodin : un officier l'a bousculé dans la rue sans même prêter attention à lui. Cet événement, insignifiant pour n'importe qui d'autre, prend une importance démesurée dans l'esprit du narrateur, déclenchant un torrent de pensées obsessionnelles.

Ce qui pourrait passer pour une vexation ordinaire devient, pour cet homme hypersensible, une blessure insupportable à son ego. Ce sentiment d'humiliation s'enracine dans une estime de soi déjà vacillante et alimente son complexe d'infériorité. Le narrateur est en effet hanté par l'idée d'être méprisé et invisible aux yeux de la société. Son incapacité à gérer cet affront, aussi insignifiant soit-il, révèle une fixation sur la reconnaissance sociale et une lutte intérieure contre un sentiment écrasant d'inutilité.

Déterminé à rétablir une forme d'honneur qu'il croit perdu, il nourrit une obsession grandissante envers cet officier. Pendant des jours, il élabore un plan pour obtenir une revanche symbolique : il se promet de marcher droit sur lui, sans s'écarter, lors d'une prochaine rencontre, afin de l'obliger à reconnaître son existence. Ce projet devient une quête irrationnelle, presque pathologique, témoignant de son incapacité à lâcher prise et de son besoin maladif de validation extérieure.

Lorsqu'il met enfin son plan à exécution, le narrateur se heurte à une réalité implacable : l'officier semble toujours l'ignorer, comme si ce moment n'avait aucun poids pour lui. Cette indifférence accentue le sentiment d'absurdité de la démarche du narrateur, qui ne parvient pas à surmonter son isolement psychologique. Son besoin désespéré de s'affirmer contraste tragiquement avec son incapacité à interagir de manière saine avec le monde.

OP
E2

Etron2Soviet

il y a 2 mois

C'est le début d'un bouquin de Dostoievski ahi.

Le gars du souterrain qui a une obsession sur un soldat qui ne s'est pas écarté devant lui

Je n'ai pas la référence littéraire. Quel est le sujet du bouquin ?

FA

fartodijaneiro

il y a 2 mois

Quid de la population du RER A ?
P1

pseudoban1515

il y a 2 mois

Je pense plutôt que c'est culturel en Europe de l'est pour y avoir passé du temps. Quand mon épaule heurté celle d'un autre je me retourne et je demande pardon sauf si le contact à été imperceptible voire presque illusoire.

Y'a quelque chose de culturel là-dedans oui, dans certains pays quand tu fais la queue tu as des types derrière toi qui se mettent à 10cm de ta nuque ta envie de les dégager, mais eux ont juste l'habitude de vivre en mode fourmilière

moi j'ai plutôt tendance à avoir une sorte de "bulle imaginaire" de 50cm / 1m autour de moi et je fais en sorte que personne ne rentre dedans (en calculant bien mes trajectoires, etc) mais certaines personnes n'ont pas l'air d'avoir ça.

quand je rentre dans mon bled en France je n'ai pas ce souci là.

LO

Lottarare

il y a 2 mois

Je n'ai pas la référence littéraire. Quel est le sujet du bouquin ?

Je t'ai fait un résumé avec chat gpt plus haut

TA

tatagertrude

il y a 2 mois


Ils me saoulent, ils me gavent

T'as des mecs ou des meufs qui passent sur un trottoir en rang de sardines et si tu oses passer au travers ce banc de poissons morts de l'intérieur ils vont pas s'arrêter, ni même le faire par anticipation comme si leur droit de marcher prévalait sur le mien. Ça et les gens qui vont te pousser avec une gestuelle implicite plutôt que de dire "pardon, je voudrais, merci"

Les gens me gonflent, ils m'angoissent et je les déteste de plus en plus et rien ne saurait les rendre moins méprisables.

Un psy peut t'aider.

OP
E2

Etron2Soviet

il y a 2 mois


Dans Carnets du sous-sol de Fiodor Dostoïevski, le narrateur, un homme solitaire, maladivement introspectif et profondément aliéné, raconte un épisode révélateur de ses troubles psychologiques. Il se souvient d'un incident anodin : un officier l'a bousculé dans la rue sans même prêter attention à lui. Cet événement, insignifiant pour n'importe qui d'autre, prend une importance démesurée dans l'esprit du narrateur, déclenchant un torrent de pensées obsessionnelles.

Ce qui pourrait passer pour une vexation ordinaire devient, pour cet homme hypersensible, une blessure insupportable à son ego. Ce sentiment d'humiliation s'enracine dans une estime de soi déjà vacillante et alimente son complexe d'infériorité. Le narrateur est en effet hanté par l'idée d'être méprisé et invisible aux yeux de la société. Son incapacité à gérer cet affront, aussi insignifiant soit-il, révèle une fixation sur la reconnaissance sociale et une lutte intérieure contre un sentiment écrasant d'inutilité.

Déterminé à rétablir une forme d'honneur qu'il croit perdu, il nourrit une obsession grandissante envers cet officier. Pendant des jours, il élabore un plan pour obtenir une revanche symbolique : il se promet de marcher droit sur lui, sans s'écarter, lors d'une prochaine rencontre, afin de l'obliger à reconnaître son existence. Ce projet devient une quête irrationnelle, presque pathologique, témoignant de son incapacité à lâcher prise et de son besoin maladif de validation extérieure.

Lorsqu'il met enfin son plan à exécution, le narrateur se heurte à une réalité implacable : l'officier semble toujours l'ignorer, comme si ce moment n'avait aucun poids pour lui. Cette indifférence accentue le sentiment d'absurdité de la démarche du narrateur, qui ne parvient pas à surmonter son isolement psychologique. Son besoin désespéré de s'affirmer contraste tragiquement avec son incapacité à interagir de manière saine avec le monde.

Oui, je connais ça. En revanche si les choses de la vie anodines déclenchent chez moi des pensées obsessionnelles je vais plutôt ruminer qu'echaffauder un plan visant à rétablir un quelconque honneur. Ce qui va se caractériser chez moi par de l'anxiété d'anticipation et un caractère dépressif.

M1

Misaka-10032

il y a 2 mois

Ayaaaent change de trottoir victiment https://image.noelshack.com/fichiers/2019/48/6/1575130186-ronaldo-troll-rire-zoom.jpg ent
RE

Resetmatrice

il y a 2 mois

Un psy peut t'aider.

Il a raison même si il ne faut pas céder et s'énerver