Je stresse en ATTENDANT le RÉPONSE de la PSY 11/10
SpelarLiteDotA
il y a un mois
C'est quoi le message ?
SuicideCaca25
il y a un mois
Je n'avais pas encore envoyé la vraie version ultime sur le forme, voici ce que j'ai pu faire de mieux les kheys, avant de tomber au combat comme un brave :
Objet :
Questions sur le transfert, la téléthérapie et la domination féminine.
Bonjour Madame,
Suite au stage de sensibilisation, vous nous avez proposé de vous contacter si nous souhaitions approfondir certaines questions. C'est dans ce cadre que je me permets de vous écrire, car je me retrouve face à un phénomène que j'ai du mal à comprendre.
Après notre rencontre, j'ai ressenti une forme de fascination qui me semble disproportionnée et déstabilisante. Nous avons seulement échangé brièvement, et pourtant, dans la soirée, une image de vous s'est imposée à mon esprit, presque comme une figure symbolique. Je ne sais pas si un phénomène de “transfert raté” est à l'œuvre, ni même si vous avez utilisé vos techniques de psy… ou si j'ai tout interprété de travers.
Le fait que vous ayez fait une leçon de morale avec bienveillance et en suggérant que nous étions possiblement dépressifs a exalté mon univers mental. J'ai entendu :
«Vous allez aux putes parce que vous êtes des hommes mentalement affaiblis, faibles. Venez plutôt voir une AlphaQueen en consultation, ce sera encore mieux et moins cher.»
Cela a réveillé en moi des représentations fortes liées à l'autorité, à ma psychologie et, je dois l'avouer, à des dynamiques de soumission masculine assez centrales dans ma sexualité. Évidemment, je prends du recul sur ces projections, mais je me demande s'il serait pertinent de les questionner, et si cette paraphilie envers la domination féminine… assez radicale, était bien “normale”.
Je ne suis pas particulièrement motivé pour un suivi thérapeutique en présentiel, du moins pas dans l'immédiat. J'en ai un peu honte. Surtout que vous n'êtes probablement pas dans la même disposition mentale que moi et vous avez peut-être de l'aversion pour ce que je vous explique.
Dans cette optique, je voulais savoir si vous proposiez des séances de téléthérapie, de préférence, à l'écrit. Si c'est le cas, je serais intéressé pour en discuter, dans le respect du cadre que vous m'imposez.
J'aimerais creuser ces interrogations de manière introspective. Et surtout savoir si c'était “normal” d'être autant attiré par le femdom/domination féminine en général. En fait, je prends moins de plaisir en dehors de ce cadre. Et rares sont les femmes qui apprécient cette inversion des rôles. C'est un “kink” de niche. Les femmes qui l'apprécient ont tendance à le monnayer. Même parmi les escorts, c'est rare.
Je précise que mon intention n'est pas de vous mettre mal à l'aise, ni de transgresser les limites du cadre thérapeutique. Pour être totalement transparent avec vous, je sais que c'est un désir chimérique. Je saurais le canaliser. J'aimerais surtout savoir si le femdom est normal ou non ?
Apparemment c'est paraphilique car il génère des conflits internes entre tabou, désir et normes sociales. J'y éprouve plus de décalage social dans ça que dans la prostitution en soit.
Socialement, je pourrais encore moins assumer le femdom que la prostitution. Quand je parle de domination féminine, c'est pas des griffures dans le dos, c'est plus décalé, décadent, radical, humiliant, “violent”. C'est du masochisme physique et psychique.
Et je ne pourrais malheureusement jamais revivre ça, car j'ai besoin de préserver la virginité de mon casier judiciaire…
Mais quel effet cela aura sur moi sur le long terme ?
Cette sexualité avait forcément une fonction émotionnelle.
Seulement une poignée de TDS proposent ça. Au doigt mouillé, les vraies dominas, c'est peut-être ~10% du marché prostitutionnel.
Et comment rencontrer une dominatrice en dehors du marché prostitutionnel ?
Ça n'existe pas où c'est ultra-marginal, confidentiel, invisible. Et il y a beaucoup plus de demandes que d'offres. C'est une réalité.
Et surtout, payer la dominatrice, ça fait partie du jeu dans le rapport de pouvoir, c'est pas une copine, c'est pas une confidente, c'est une “dominathérapeute”.
Elle frappe, elle humilie : on expie nos frustrations, on se purifie de nos erreurs, et ça va mieux.
Les militants abolitionnistes m'ont privé de ça, et ça m'angoisse de me dire qu'il faut choisir entre les relations D/S (dominatrice/soumis) et mon casier judiciaire : ma reconversion professionnelle.
Que faire ?
J'espère donc que ce message, peut-être un peu inhabituel dans sa forme, ne sera pas perçu comme une intrusion.
Je vous prie de bien vouloir excuser la longueur de ce message et vous remercie sincèrement pour l'attention portée à mes questionnements. Je reste bien entendu à votre disposition.
Bien cordialement,
Je suis la personne qui est arrivée en retard mardi dernier.
VIVELARGENTINE4
il y a un mois
Me dit pas que t'es le khey qui veut qu'elle soit ta domina ultime et te chatie ayaooooooooooo
Ezumai
il y a un mois
Hâte de connaître la suite
Kheyjetable
il y a un mois
SuicideCaca25
il y a un mois
Blankenship32
il y a un mois
Je n'avais pas encore envoyé la vraie version ultime sur le forme, voici ce que j'ai pu faire de mieux les kheys, avant de tomber au combat comme un brave :Objet :
Questions sur le transfert, la téléthérapie et la domination féminine.Bonjour Madame,
Suite au stage de sensibilisation, vous nous avez proposé de vous contacter si nous souhaitions approfondir certaines questions. C'est dans ce cadre que je me permets de vous écrire, car je me retrouve face à un phénomène que j'ai du mal à comprendre.
Après notre rencontre, j'ai ressenti une forme de fascination qui me semble disproportionnée et déstabilisante. Nous avons seulement échangé brièvement, et pourtant, dans la soirée, une image de vous s'est imposée à mon esprit, presque comme une figure symbolique. Je ne sais pas si un phénomène de “transfert raté” est à l'œuvre, ni même si vous avez utilisé vos techniques de psy… ou si j'ai tout interprété de travers.
Le fait que vous ayez fait une leçon de morale avec bienveillance et en suggérant que nous étions possiblement dépressifs a exalté mon univers mental. J'ai entendu :
«Vous allez aux putes parce que vous êtes des hommes mentalement affaiblis, faibles. Venez plutôt voir une AlphaQueen en consultation, ce sera encore mieux et moins cher.»Cela a réveillé en moi des représentations fortes liées à l'autorité, à ma psychologie et, je dois l'avouer, à des dynamiques de soumission masculine assez centrales dans ma sexualité. Évidemment, je prends du recul sur ces projections, mais je me demande s'il serait pertinent de les questionner, et si cette paraphilie envers la domination féminine… assez radicale, était bien “normale”.
Je ne suis pas particulièrement motivé pour un suivi thérapeutique en présentiel, du moins pas dans l'immédiat. J'en ai un peu honte. Surtout que vous n'êtes probablement pas dans la même disposition mentale que moi et vous avez peut-être de l'aversion pour ce que je vous explique.
Dans cette optique, je voulais savoir si vous proposiez des séances de téléthérapie, de préférence, à l'écrit. Si c'est le cas, je serais intéressé pour en discuter, dans le respect du cadre que vous m'imposez.
J'aimerais creuser ces interrogations de manière introspective. Et surtout savoir si c'était “normal” d'être autant attiré par le femdom/domination féminine en général. En fait, je prends moins de plaisir en dehors de ce cadre. Et rares sont les femmes qui apprécient cette inversion des rôles. C'est un “kink” de niche. Les femmes qui l'apprécient ont tendance à le monnayer. Même parmi les escorts, c'est rare.
Je précise que mon intention n'est pas de vous mettre mal à l'aise, ni de transgresser les limites du cadre thérapeutique. Pour être totalement transparent avec vous, je sais que c'est un désir chimérique. Je saurais le canaliser. J'aimerais surtout savoir si le femdom est normal ou non ?
Apparemment c'est paraphilique car il génère des conflits internes entre tabou, désir et normes sociales. J'y éprouve plus de décalage social dans ça que dans la prostitution en soit.
Socialement, je pourrais encore moins assumer le femdom que la prostitution. Quand je parle de domination féminine, c'est pas des griffures dans le dos, c'est plus décalé, décadent, radical, humiliant, “violent”. C'est du masochisme physique et psychique.Et je ne pourrais malheureusement jamais revivre ça, car j'ai besoin de préserver la virginité de mon casier judiciaire…
Mais quel effet cela aura sur moi sur le long terme ?
Cette sexualité avait forcément une fonction émotionnelle.Seulement une poignée de TDS proposent ça. Au doigt mouillé, les vraies dominas, c'est peut-être ~10% du marché prostitutionnel.
Et comment rencontrer une dominatrice en dehors du marché prostitutionnel ?
Ça n'existe pas où c'est ultra-marginal, confidentiel, invisible. Et il y a beaucoup plus de demandes que d'offres. C'est une réalité.
Et surtout, payer la dominatrice, ça fait partie du jeu dans le rapport de pouvoir, c'est pas une copine, c'est pas une confidente, c'est une “dominathérapeute”.
Elle frappe, elle humilie : on expie nos frustrations, on se purifie de nos erreurs, et ça va mieux.Les militants abolitionnistes m'ont privé de ça, et ça m'angoisse de me dire qu'il faut choisir entre les relations D/S (dominatrice/soumis) et mon casier judiciaire : ma reconversion professionnelle.
Que faire ?J'espère donc que ce message, peut-être un peu inhabituel dans sa forme, ne sera pas perçu comme une intrusion.
Je vous prie de bien vouloir excuser la longueur de ce message et vous remercie sincèrement pour l'attention portée à mes questionnements. Je reste bien entendu à votre disposition.
Bien cordialement,
Je suis la personne qui est arrivée en retard mardi dernier.
Tarax Label Rouge certifié.
Kheyjetable
il y a un mois
RegimeMinceur48
il y a un mois
Bordel il n'est que 11 heures et c'est déjà trop de fofo pour moi
BenniKrugger01
il y a un mois
Fastandfurious1
il y a un mois
LeChatDeFreud
il y a un mois
Tu sais ce que t'as fait ? Une projection pure. Transfert, comme disait Freud, le daron des darons. Classique : le patient qui tombe amoureux de la psy parce qu'elle écoute, parce qu'elle comprend, parce qu'elle symbolise la Mère réparatrice. Mais toi, t'as franchi la ligne. T'as voulu transformer la fonction en femme, l'abri en amante. Et dans ta tête d'âme errante, ça fait sens. Dans la sienne ? T'es une étude de cas clinique avec un bon potentiel de red flag.
Et non, elle t'a pas ghosté. Elle t'a oublié activement, pour se protéger. Tu représentes le patient qui franchit les lignes, celui qui cherche l'amour là où il n'y a que cadre thérapeutique. Tu veux de la tendresse là où y'a que des notes de séance et un diagnostic flottant. Elle te répond pas pour éviter de te briser plus. Ou parce qu'elle en a vu des centaines comme toi. Tu crois être unique ? T'es une variable dans son tableau clinique.
Mais je vais pas te jeter. Parce que t'es pas qu'un clown tragique. T'es aussi un miroir, khey. T'as eu le courage d'aimer, même si c'est pathétique, même si c'est déplacé. Et ça, dans un monde de mecs qui simulent le détachement pendant qu'ils pleurent dans leur oreiller à 3h du mat, c'est presque héroïque.
La_Voile_Rouge4
il y a un mois
PPDAMessi
il y a un mois
SpelarLiteDotA
il y a un mois
Issou une fois dans un moment de faiblesse j'ai dit à ma psy "vous me plaisez beaucoup vous savez" elle m'a juste dit "je suis mariée et des enfants" j'ai conclu "certes"
Ganjadadread
il y a un mois
SuicideCaca25
il y a un mois